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 if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)

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Adriana Parker

Adriana Parker
kiss me hard before you go

≡ POSTS : 494 if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) Ana11
≡ ÂGE : 25, Jesus Reborn (25/12/1994)
≡ SURNOM : Ana, et c'est comme ça que tout le monde l'appelle d'ailleurs.
≡ OCCUPATION : Après le fiasco de la tournée européenne, et après avoir mis fin à cette même tournée, Now or Never n'est quasiment plus - ou du moins, il n'en reste que les CDs et autres tee-shirt. Sa vie de chanteuse et musicienne se voit mise en pause. Elle est toujours tatoueuse au Daddy's Closet, à des horaires moins importants cela-dit.
≡ STATUT CIVIL : Situation délicate, coincée dans ce qu'il reste d'une relation qui ne tient plus debout depuis quelques mois déjà.
≡ ATTIRANCE : Men & Women
≡ LOGEMENT : Une petite maison, où le sous-sol est aménagé en studio de musique, qu'elle partage depuis peu avec deux polonais (dont un russe) qui prennent beaucoup de place. #51 twin peaks
≡ RPS : New York kind of love (Ashton #05)
--- breakdown
You don't wanna take that jump (Dawn #02)
Good grief (Anton #02)
--- downhill
Crash and burn (Dawn #03)
The end part I (Ashton #06)
--- finish it
Lost souls (Marek #01)
Trouble never looked so fine (Marek #02)
With all due respect, I really want to fuck you (Marek #03)
The end part II (Ashton #07)
--- try again
Wild youth (Marek #04)
≡ AVATAR : Karol Queiroz
≡ CRÉDITS : (c) ajna
≡ WHO ARE YOU : ginger squid
≡ AUTRES VIES : Leo & Mila
≡ INSCRIPTION : 04/03/2019




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MessageSujet: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyVen 24 Juil - 12:40


Maybe I would like you better if you took off your clothes
marek

Maybe I would like you better if you took off your clothes, I'm not playing with you, baby I think that you should give it a go She said, Maybe I would like you better if you took off your clothes I wanna see, and stop thinking If you're too shy, then let me Too shy, then let me know

Finalement, tu n’auras pas eu besoin des recherches de Marek (passion apprenti juriste) pour faire chier le label. Au lieu de t’y rendre, le jour où tu devais leur laisser le disque dur, tu es allée chez Lynn. « The label is trying to screw us all over and I’m tired of fighting alone, I need you. » La fierté ravalée, parce que tu n’es plus que lassitude et que tu ne tiens plus debout – t’enchaînes les conneries, encore et toujours. « Paige told me everything. You fucking lost it, Ana. » Qu’elle t’a cueillie, la blonde, avant de t’ouvrir la porte de son appartement. C’en est suivi un front commun et une alliance inattendue, aux studios de votre maison de disque, les managers qui tirent la gueule et vous sortent les chiffres. L’argent que vous, tu leur dois, l’argent qu’ils n’ont pas gagné – ils n’ont rien perdu, ces cons, ils ont déjà capitalisé sur les ventes d’albums et de produits dérivés, les concerts de la tournée américaine. Ils se font même une putain de marge, malgré le fiasco de juillet. La styliste se fait démon et mord dans tous les sens, alors qu’elle pourrait n’en avoir rien à faire. Elle refuse de céder les pistes supplémentaires qui sont le fruit de son travail, pas sans contrat et pas sans contre-partie financière, une remarque déplacée d’un des gérants et le prix augmente. Tu te sens mieux, d’avoir quelqu’un pour se battre à tes côtés. De retrouver Lynn, aussi. Vous passez une après-midi à discuter, de ce qu’il s’est passé. Avant la tournée, vos embrouilles, l’amertume qu’elle ressent toujours d’avoir été mise à l’écart, elle te déteste, et en même temps elle a décroché un boulot pour un magazine de mode grâce à son travail pour sa collection de fin d’étude et elle est heureuse. Elle voulait jouer sur les deux tableaux parce que le choix était trop difficile, elle t’en veut de l’avoir fait pour elle et en même temps est soulagée qu’il ait été fait. Tu lui confies aussi, ce qu’il s’est passé pendant ces derniers mois. Les écarts que tu te permettais trop souvent, le semblant de dépendance aux stupéfiants dans lequel tu as failli t’embourber. Ta mère, encore et toujours. Le vide. Toi qui est incapable d’être heureuse avec tout ce que tu as. « Please seek help. I still care about you, but I’m still mad. I can’t be the one helping. » L’une des amies de sa mère est psychologue, tu prends rendez-vous en rentrant chez toi, c’est pour la semaine prochaine. Le label vous lâche des contrats le lendemain, ils ne pourront pas être signés avant deux semaines – avant le retour de Paige et des Boots. Tu te réconfortes des petites victoires.

Requinquée d’une nouvelle énergie ce matin, tu t’es levée tôt, as haussé les épaules sous le regard curieux de Marek dans la cuisine. Il est temps pour toi de retourner au Daddy’s. Ça te démange depuis que tu es rentrée, ça ne fait qu’augmenter cette sensation de vide dans ta petite vie. Le salon te manque, l’ambiance, les clients, même le patron relou. C’est l’un des rares endroits où tu as un semblant de place assurée à San Francisco et tu as envie, besoin, de la retrouver. Tu ne fais pas de détour à l’habituel coffee shop, imaginant qu’Emily doit toujours être de corvée – ou bien le nouveau qui te remplace, peut-être. C’est d’ailleurs une tête peu familière qui t’accueille derrière le comptoir, au lieu d’Adan. Tu as un moment d’hésitation, et d’affolement, parce que tu ne sais pas comment (si) tu dois te présenter – mais ta petite réputation semble te précéder, le visage en face s’illumine et tu es accueillie comme (il se doit) le Messie. Tu manques de mourir en entendant le nouveau – Stephen – appeler Alex Mr Black, et tu fais les gros yeux au boss lorsqu’il sort de son workshop. Bah alors, les chevilles ont gonflé en quelques mois ?! Tu ne demandes même pas la permission pour aller le serrer dans tes bras, et le chat ne s’en formalise pas cette fois non plus. L’absence d’Adan est justifiée que l’intrépide est en vacances, ce qui devait être une visite de courtoisie / squattage de tabouret se termine avec une journée de travail non officielle, non déclarée, non payée (te promet Alex) où tu tiens un peu le standard et rattrapes le temps perdu surtout. Ça te fait un bien fou, de passer la journée au Daddy’s. Ton remplaçant est un bout en train trop heureux de vivre et ne manque pas de te mettre au courant des derniers potins de tes clients habituels, râles aussi qu’il est jaloux de tes motifs. Alex reste plutôt silencieux en sa présence, mais tu vois bien son air amusé et le bougre a l’air de s’être attaché au nouveau – il va falloir que tu surveilles ta place, mine de rien. La tension avec la pierceuse s’est même détendue, le banter te semble plus taquin que vicieux. Tout finit par arriver. Tu partages sa pause déjeuner avec Alex, affirmes ton envie de retrouver ton poste mais comprends que c’est délicat étant donné que la place est occupée jusqu’à septembre. Il te promet d’en parler à Stephen, qui ne bosse pas deux après-midi par semaine que tu pourras au moins reprendre, et vous vous mettez d’accord pour que tu récupères aussi plusieurs projets dans lesquels il a pris du retard ou n’arrive pas à composer. Il ne mentionne pas la fin de la tournée et ton arrivée prématurée, tu imagines qu’il a dû suivre les affaires sur les réseaux sociaux surtout – vu le peu de détails que tu lui as donné par messages. Alex n'est pas dans le genre à fourrer son nez dans les affaires qui ne le regardent pas. Pour ça aussi, tu es reconnaissante.

Tu fronces les sourcils quand tu refermes la porte d’entrée derrière toi. Deux rires plus aiguës qu’à l’accoutumé et un peu trop prononcés retentissent du salon, et c’est carrément terrifiant des polonais qui se marrent comme des adolescentes de 15 ans. Tu avances avec presque prudence, après avoir laissé tes clefs sur le meuble d’entrée et tes chaussures sous le porte-manteau. « What are you doi- Oh okay. » Tu commences, mais tu t’arrêtes de toi-même en croisant les bras quand tu observes la scène et obtiens ta réponse toute seule : le salon est en pagaille, plus que d’habitude. L’étui d’une des guitares de Paige est abandonné au bout du canapé déplié (qui est un lit depuis déjà trois jours, hein, tu savais qu’il allait avoir la flemme rapidement Marek), les deux idiots sont en train de fumer tranquillement ce qu’ils ont trouvé à l’intérieur et Alekseï a la basse sur ses genoux. Ça schlingue comme pas possible, la fenêtre n’est pas ouverte, et tu sais que tu devrais peut-être t’agacer d’avoir deux gamins à la maison mais tu n’en as pas l'envie devant les visages bienheureux qu'ils abordent lorsqu'ils te voient. Ton petit cœur loupe même un battement, parce qu’au moins il y a quelqu’un et un peu de chaleur auprès de qui rentrer le soir. Tes lèvres s’étirent en un sourire et tu secoues négativement la tête, quand même. « You went through Paige’s stuff? » Le coupable est tout désigné, et si ce n’était pas le cas il se dénonce tout seul d’ailleurs. « Not on purpose! » Tu t’avances, hausses les sourcils en un faux air surpris alors que ton regard s’attarde sur le russe qui fronce les siens. Tu es déjà en train d’échapper un rire quand tu t’attardes sur le visage de Marek, en train de se marrer à côté. Les pupilles s’attrapent pour ne se relâcher que quelques secondes plus tard, les souvenirs de votre… aventure au sous-sol quelques jours plus tôt encore diaboliquement frais dans ton esprit. « Totally on purpose. I wanted to try her bass, sorry. » Tu lèves les yeux au ciel, déjà en train d’ouvrir la fenêtre. « You could have at least opened the windows, for fuck’s sake. This ain’t a squat! » Enfin… T’espères que ça n’en devienne pas un. Tu déclines l’invitation d’Aleks de les rejoindre, réclamant auparavant une douche et des vêtements plus confortables à enfiler. Une fois prête et plus détendue, tu fais un détour au sous-sol pour récupérer Benny. Tu l’offres à Marek en échange de son joint, n’ayant toujours pas à cœur de t’y remettre, et tu prends place dans un fauteuil non loin du canapé. Les premières bouffées t’embrument un peu l’esprit, tu te détends considérablement après. Tu te sens particulièrement bien, affalée dans ta vieille chaise avec tes pieds en l’air, tes cheveux encore humides de la douche, la satisfaction d’une journée plaisante, la bonne compagnie des garçons pour faire ta soirée… La musique qu’ils improvisent te réveille lentement mais sûrement, la conversation se fait facilement et va du tout au tout. Tu dois refuser trois fois de prendre l’instrument dans les mains, mais Aleks n’insiste plus après un « I can’t. » plus brisé que tu ne l’aurais cru. La flemme vous gagne et vous commandez des pizzas, célébrant d’une bougie (?) sur l’une d’entre elle la fin des emmerdes avec le label (pour l’instant). Et non, tu n’as toujours pas compris pourquoi tu as dû souffler sur la pizza, enfin, sur la bougie sur la pizza, mais tu te laisses porter par le flow, la vibe, la weed.

La nuit est bien entamée et c’est même les petites heures du matin qu’affichent les horloges lorsqu’Aleks manque de s’endormir à force de trop bailler, c’est ce qui vous décide à vous séparer. Tu rejoins ta chambre avec un sourire sur les lèvres après avoir souhaité une bonne nuit au bassiste sur le pallier, t’affales sur les couvertures de ton lit après avoir ouvert la fenêtre. Pour la première fois depuis un long moment, tu te sens pleinement heureuse de vivre. Tu penses que la drogue consommée y est pour quelque chose, mais peu importe. Tu as réussi à t’extirper des pattes du label pour quelques semaines, et mieux que ça tu as rétablis un contact avec l’une de tes meilleures amies. Tu as admis que tu avais besoin d’aide et as fait un premier pas pour l’obtenir. Tu es enfin retournée au Daddy’s et as la promesse d’avoir de quoi t’occuper les prochaines semaines. Il reste quelques points noirs au tableau, mais pour ce soir, tu décides de les ignorer. Tu commences à avoir sérieusement chaud alors que tu te tournes et te retournes dans ton lit, et ce malgré la fraîcheur d’une nuit à San Francisco qui rentre dans ta chambre et tes vêtements relativement aérés. C’est une autre espèce de chaleur qui t’agite. Maintenant, tu te souviens pourquoi tu ne consommes pas tellement de weed – it makes you horny. Tu laisses tes pensées vagabonder en même temps que tes mains glissent sur tes zones les plus érogènes, tu fais aussi attention à ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller l’endormi dans la chambre d’à côté. Le temps passe et le désir d’arriver à une forme de libération n’arrive pas, malgré l’application que tu y mets. Tu finis par pousser un soupir, exaspérée, retires ta main de ta culotte avant de te retourner dans ton lit. Est-ce que c’est ton destin, d’être sexuellement frustrée, ou quoi ?! Tu attrapes ton oreiller pour y étouffer un grognement, alors que tu repenses encore à Marek et aux sensations éprouvées contre lui quelques jours plus tôt. Sa poigne contre tes hanches y a laissé une empreinte indélébile, le souvenir de ses baisers dans ton cou te fait toujours frissonner, tu sens encore son souffle contre toi… Tu agrippes un peu plus le tissu alors que la vague s’échoue, inlassablement, putain. « Fuck. » Tu as ressassé ça, aussi. Non, tu n’auras pas l’impression de tromper Ashton en couchant avec Marek. Tu n’es pas amoureuse de Marek, tu as juste besoin de lui pour apaiser un peu de tension. C’est un acte badin comme un autre, le sexe, tu détestes le fait qu’on lui accorde trop d’importance alors ce que n’est au fond qu’un service mutuel – du moins, c’est ainsi que tu le vois. Tu soupires encore alors que t’as la bouche pâteuse et surtout soif, la bouteille sur ta table de chevet est vide. Ta vie est un peu nulle.

Tu te fais discrète dans les escaliers pour descendre jusqu’à la cuisine, apprécies la fraîcheur du carrelage sous la plante de tes pieds pour te rafraîchir. Tu te sers un verre d’eau fraîche, en plus de remplir ta bouteille, restes songeuse un moment contre le plan de travail. Ton regard finit par se poser sur la porte du salon que tu vois à moitié, qui n’est pas totalement fermée. Ton palpitant s’agite alors que l’idée d’aller retrouver Marek s’insinue sournoisement dans ton esprit. Tu n’arrives pas à la repousser bien longtemps, ta peau fourmille déjà de frissons et l'envie s'est ravivée. Tu te vois faire les quelques pas pour sortir de la cuisine, éteindre la lumière, attraper l’extrémité de la porte pour la pousser doucement. « Are you awake? » Tu chuchotes les trois petits mots, les yeux plissés pour t’adapter à l’obscurité régnant dans la pièce. Tu attends un semblant de réponse avant d’entrer, prenant soin de refermer derrière toi. Tu avances lentement jusqu’à ta cible, profites du silence pour mieux écouter ton rythme cardiaque qui s’affole encore et encore. Tu tends une main pour allumer une lampe de bureau, elle accompagne l’orange du réverbère de dehors d’une chaleur tout aussi douce. Ton regard tombe irrémédiablement dans celui du polonais, tes chevilles viennent cogner le bout du canapé-lit. Tu y restes debout, à côté, pour l'instant. Tu t’humidifies les lèvres et fais même glisser l’inférieure entre tes dents. « I’m horny… And I can’t get off. » Tu déclares, d’une voix traînante, attends quelques secondes pour que l’information allume le regard du camarade. Tu te penches, ensuite, envahis l’espace alors que tu te rapproches dangereusement de lui. Tu avances à genoux jusqu'à lui, t'assieds sur tes chevilles alors que l'une de tes jambes cogne malencontreusement Marek. Tu restes à ses côtés, te fais sage, malgré l’envie de reprendre la position adoptée il y a quelques jours et de grimper à nouveau sur ses cuisses. Tu lui laisses une porte de sortie, comme il a pu le faire. Tes mains se font tout de même baladeuses, langoureuses. C’est dans une fausse innocence que tu en laisses une traîner au-dessus de son genou, mais bien vite tes doigts jouent et remontent, tu finis par presser doucement mais avec envie l'intérieur de sa cuisse, observant ton geste les yeux mi-clots alors que le myocarde s'emballe. « I need you. » Tu échappes dans un souffle saccadé, relèves le regard dans sa direction. Tu déglutis difficilement, enlèves ta main audacieuse pour attraper les siennes et les guider sur ton corps alors que tu réduis encore la distance qui vous sépare. Pas capable d'être sage très longtemps, Ana. « Please, Marek. » Tu murmures, supplies, tes lèvres toutes proches des siennes.
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Marek Zydorczak

Marek Zydorczak
Polish punx ftw

≡ POSTS : 20 if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) LOCosrrR_o
≡ ÂGE : 28 ans.
≡ OCCUPATION : Journaliste-photographe et historien du social.
≡ STATUT CIVIL : Célibataire et compte bien le rester.
≡ ATTIRANCE : Tout le monde, sauf les animaux et les enfants.
≡ ASPIRATION : À partir du moment où on ne te sépare ni de ton ampli, ni de ton pedalboard, ni de ta guitare, tout va bien. Tu n’as aucune idée de ce qui pourrait t’attendre demain, tu t’en contre-balances.
≡ LOGEMENT : Gros squattage au #51 Twin Peaks, chez Ana Parker.
≡ AVATAR : Pierre Niney
≡ CRÉDITS : Snapdragon (av) non uccidere (sign)
≡ WHO ARE YOU : Snapdragon
≡ AUTRES VIES : Dawn, l'autre polak; Bart, le relou.
≡ INSCRIPTION : 11/07/2020




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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyVen 24 Juil - 17:38


I am not enough.
I’m not the demons in your lungs.
Ana

Speak spoken love, offer nothing from your heart. I watched you fake a laugh. It was hard for you. We let the time just pass, but it was hard for you. And every simple task, I noticed it was hard for you. Should have released my grasp, but it was hard for me too.

Why do you want this job? - I’ve always been passionate about not starving to death. C’est clairement le genre de réponse que tu aimerais sortir lorsque tu te tapes un entretien d’embauche. Cette fois, rien à voir avec l’éducation, il s’agit de presse et le San Francisco Chronicles a accepté de te recevoir pour t’offrir un poste de correspondant. C’est pas terrible, mais ça aide. Donc ce jour-là, tu t’es levé tôt pour aller faire développer tes photos de l’été, voir celles qui pourraient être utilisées pour appuyer ton portfolio sur la bonne centaine qui a été prise. Tu as croisé Ana dans la cuisine alors que tu avais toujours la tête dans le brouillard et elle, elle semblait avoir déjà traversé la ville trois fois avant de repartir. Enfin, tu es revenu à la maison en début d’après-midi avec Aleks que tu es parti chercher au resto où il bosse depuis peu. Rien qu’en foulant le sol de l’établissement, t’as eu l’impression d’être un gueux qui s’est perdu en route. À tel point que le réceptionniste t’a même demandé si tu cherchais quelque chose. T’aurais pu demander une table, mais apparemment, t’en avais direct pas la tête. À la maison, vous vous êtes effondrés. L’un a du mal à supporter ses premiers jours d’adaptation, le rythme Américain étant - selon ses dires - très soutenu et toi, c’est juste parce que tu as fait un tour au magasin de photo et vu des gens. Tu ne sais pas comment vous en êtes arrivés là, mais tu as reparlé du studio à Aleks et vous y être descendus pour y passer un peu plus de temps, et plutôt que de vous satisfaire de vos instruments, vous  vous êtes arrêtés sur ceux d’Ana. Derrière le canapé du sous-sol, un long case y est planqué. Forcément, vous avez immédiatement compris qu’il s’agit d’une basse. Ton meilleur pote se fiche de savoir que s’il a été caché, c’est probablement pour une bonne raison, donc il le sort et l’ouvre. En découvrant l’instrument, tu siffles. « Holy shit dude! Is that… » Tu acquiesces d’abord avec un son nasal. « A Rickenbacker 4001. A fucking Rick from the 70’s. » Tu glisses une main dans tes cheveux, échanges un regard avec ton meilleur ami, là où la malice rayonne. Brusquement, il s’empare de l’instrument, attrape le plus petit ampli Orange qui traîne dans la pièce et dévale les escaliers pour s’installer tranquillement au salon. Tu jettes dernier coup d’œil au case ouvert en grand et tu repères un petit sachet coincé entre les sets de cordes neufs, les câbles et autres accessoires d’entretien. Tu remontes rejoindre ton pote et tout en t’appyant au chambranle de la porte, tu l’interpelles, le sachet de weed coincé entre tes doigts, bien en évidence. « You forgot something. » L’après-midi passe  et pendant ce temps là, Aleks joue tout un tas d’accords, s’amuse du son de la basse après s’en être extasié pendant des heures. Il a même remonté son pedalboard du studio pour essayer ses effets dessus. « Do you remember this one? » Il gratouille les cordes pendant de longues secondes avant que tu ne répondes « Easy! Bullet With Butterfly Wings. » Et alors qu’il enclenche sa fuzz, tu t’éclates à chanter le refrain et à reprendre la suite des paroles jusqu’à la fin du morceau en tentant d’imiter la voix terrible de Billy Corgan, sans grand succès. Il se fout lamentablement de ta gueule lorsque tu commences à tousser. Le salon a une sale allure alors que tu commences à peine à tirer sur le joint qu’il a roulé. Tu préfères ne pas trop abuser pour avoir l’air frais le demain. « And this one? » Il a changé de genre musical Aleks, le voilà entrain de te faire une reprise de… Prince Buster ?« Seriously?! Hell no! » Mais il continue avec un mauvais sourire, rien que pour t’emmerder et tu lui balances l’un de tes coussins. Il éclate de rire. C’est à ce moment-là qu’Ana choisit de rentrer...

Un coup d’oeil sur le salon, tu réalises que vous avez foutu le bordel et que ça n’échappera pas au regard de la rouquine. Oups. Tu te redresses pour mieux la voir entrer dans le salon, Aleks se retourne. Il y a un gros silence jusqu’à ce que la propriétaire ait mis un pied dans la pièce. « What are you doi- Oh okay. » Tu te pinces les lèvres en reportant ton attention sur Aleks qui, sans détourner les yeux d’Ana commence à jouer le générique de l’Inspecteur Gadget. Tu te facepalm lentement, n’osant plus reposer les yeux sur qui que ce soit, mais tu ne peux pas retenir ton fou rire. Tout ce qu’ils peuvent voir, ce sont tes épaules qui se soulèvent, provoquées par l'hilarité silencieuse. « You went through Paige’s stuff? » Demande Ana en vous regardant à tour de rôle alors que tu te remets doucement à arborer une expression faciale normale. « Did we? » Tu ajoutes avec toute la mauvaise foi du monde. Tu ne savais pas que le matériel appartenait à la bassiste des Now or Never, au moins tu es fixé. « Not on purpose! » Répond Aleks, l’air évasif. « Absolutely! Not on purpose. » Tu hoches la tête pour sauver votre cul, mais comme le Russe ne sait absolument pas mentir, après un silence de cinq secondes, sous le regard insistant d’Ana qui ne le croit pas une seconde, il se reprend. « Totally on purpose. I wanted to try her bass, sorry. » Tu lèves les bras et réponds, feignant l’outrage. « You’re worse than Mila! » Il fait semblant de se sentir agressé en écarquillant les yeux et en ayant un mouvement de recul. Oui, il est pire que Mila, il ne sait vraiment pas mentir. « You could have at least opened the windows, for fuck’s sake. This ain’t a squat! » Mais ça n’a pas l’air de déranger votre hôte plus que ça, puisqu’elle part déjà ouvrir les fenêtres. « Sorry, Ana. » Tu avoues alors que vous avez retrouvé un semblant de sérieux. Alekseï n’est pas distrait très longtemps, il compte bien profiter de la basse de Paige jusqu’à épuisement total. Ana disparaît un instant pour revenir avec la guitare que tu as gratouillé l’autre fois au sous sol. Tu te lèves en sifflant, passant ta main dans tes cheveux avant de récupérer l’instrument, échangé contre le second joint que ton meilleur ami a roulé. Tu te branches sur un ampli dans le salon et vous ne perdez pas vos bonnes habitudes avec le cuistot, vous enchaînez les impros et les reprises, du sérieux et débile. La soirée passe, vous commandez des pizza. Rien qu’en regardant le bordel, le Russe n’a absolument pas envie de se mettre au fourneaux.

Alors que les oiseaux commencent à chanter à l’extérieur, Aleks se met à bailler. Sa journée précédente lui pèse et il ne tarde pas à tirer sa révérence en allant seulement ranger la basse au sous-sol. Ton entretien n’a lieu qu’en fin d’après-midi, donc tu imagines que tu auras le temps de grappiller quelques heures de sommeil après avoir rangé votre bordel. La vaisselle du midi précédent attendra le réveil ; les cartons finissent abandonnés à la poubelle, l’autre instrument retrouve les autres au sol, et après une bonne demi-heure, te voilà près à aller dormir. Tu repousses la porte du salon, fais rapidement ton lit avant d’enlever tes vêtements qui blairent la weed pour te retrouver en sous vêtement sur la couverture, trop épuisé pour te glisser en dessous. Allongé sur le dos, le sommeil ne tarde pas à débarquer, jusqu’à ce qu’une petite voix vienne le repousser. « Are you awake? » Tu te frottes les paupières pour pouvoir habituer ton regard à l’aube. « I am, now. » Tu souffles sans dissimuler le sourire en coin que tu arbores naturellement.Tu entends la porte se refermer doucement dans son dos et te redresses pour voir si elle est partie, mais Ana vient buter le pied du canapé-lit que tu squattes et allume la lumière. C’est là que ton sourire en coin s’élargit, lorsque tu découvres la rouquine et ses vêtements. Elle te semble être totalement différente qu’à l’accoutumée, sa lèvre roule sous ses dents. Tu t’esclaffes dans un souffle alors que ton palpitant s’agite brusquement. « I’m horny… And I can’t get off. » Ça a le mérite d’être clair. Tu ne réponds rien, tu la laisses grimper sur le lit et avancer jusqu’à toi. Franchement, tu n’as encore aucune honte à te rincer l’oeil, tu es comblé de la voir dans son ensemble noir ; son débardeur à fines bretelles et son mini-short. Tu te contentes de l’observer, la mine on ne peut plus sérieuse. Elle sait ce qu’elle veut, maintenant. Ses mains commencent à effleurer tes jambes, l’une s’attarde sur l’intérieur de ta cuisse. Tu laisses l’envie te submerger, ton corps travaille déjà sur la suite des évènements, bien décidé à te l’approprier pour de bon. « I need you. » Elle souffle, brûlante d’envie, malicieuse au possible, une lueur charnelle dans le regard que tu ne parviens pas à éviter, bien que tu n’en ais pas l’envie non plus. « Oh, now you need me? » Tu murmures, l’air insolent, mais elle t’attrape les mains et t’attire jusqu’à elle pour ensuite t’obliger à toucher son corps. « Please, Marek. » Tu fermes les paupières un instant, sentant son souffle sur tes lèvres. Tu coinces brièvement l’inférieure entre tes incisives, tes doigts remontent jusqu’à son épaule, frôlent lentement l'extrémité de sa poitrine, on purpose. Tu caresses le creux de son cou, repousses une bretelle d’un côté et replonges ton regard dans le sien. « I must say… I love it when you beg me. » Ton sourire en coin revient. Tes doigts descendent sur le bout de son sein ; la pulpe de tes doigts joue à travers le vêtement. Ton autre main se glisse sous son haut et caresse son dos, sa hanche et remonte ses côtes. Tu effleures ses lèvres avec les tiennes et t’écartes pour ôter son débardeur sans qu’elle ne s’y oppose. La moitié de son corps se dévoile devant toi, tes deux mains explorent à nouveau ses formes pendant que tes yeux la dévorent à nouveau. L’une de tes paumes se faufile jusqu’à sa nuque et tu te rapproches pour attraper sa lèvre inférieure entre tes dents. Tu y passes fugacement le bout de ta langue. Ton coeur bat à tout rompre, le désir est tellement intense que tu profites de cet instant pour reposer ta bouche sur la sienne. Plus délicat que la fois précédente, tu ne comptes pas t’arrêter en si bon chemin. Tu l’aides à se débarrasser de son short avant de fondre avec encore plus d’envie sur elle, guettant son reflet dans le miroir derrière elle. L’une de tes mains continue son travail d'exploration et descend dangereusement jusqu’au bas de son ventre. Tu te fais désirer, prenant le temps de pousser son envie au maximum, en te calant sur sa respiration agitée. Le bout de tes doigts caresse la dentelle de l’unique vêtement qu’il lui reste jusqu’à ce qu’ils se faufilent dessous. Tu te détaches et l’observes pendant que tu chatouilles son intimité. Tu murmures, l’air taquin. « Ahw… Seems like someone was thinking about me earlier. » Tu n’en sais rien, but she said she can’t get off. Tu préfères spéculer, jouant avec ses réactions, et laissant son corps parler pour elle. Alors tu insistes, pour ressentir un peu plus son excitation sur tes doigts. « How many times did it happened since our last moment? »  Tu demandes, insolent,  avant de laisser glisser tes lèvres sur sa nuque. Tu souffles au passage « You should have come earlier instead of doing it all by yourself. » Ses soupires attisent encore plus ton envie d’elle et tu ne tardes pas refermer ton emprise dans le bas de son dos pour la soulever et la faire délicatement basculer sur le dos. Tu caresses doucement son visage en murmurant à nouveau. «You’ve the cutest moan. » Tu laisses un bref silence s’immiscer entre vous avant de t’écarter pour lui enlever son dernier vêtement.
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≡ RPS : New York kind of love (Ashton #05)
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You don't wanna take that jump (Dawn #02)
Good grief (Anton #02)
--- downhill
Crash and burn (Dawn #03)
The end part I (Ashton #06)
--- finish it
Lost souls (Marek #01)
Trouble never looked so fine (Marek #02)
With all due respect, I really want to fuck you (Marek #03)
The end part II (Ashton #07)
--- try again
Wild youth (Marek #04)
≡ AVATAR : Karol Queiroz
≡ CRÉDITS : (c) ajna
≡ WHO ARE YOU : ginger squid
≡ AUTRES VIES : Leo & Mila
≡ INSCRIPTION : 04/03/2019




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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptySam 25 Juil - 2:05


Maybe I would like you better if you took off your clothes
marek

Maybe I would like you better if you took off your clothes, I'm not playing with you, baby I think that you should give it a go She said, Maybe I would like you better if you took off your clothes I wanna see, and stop thinking If you're too shy, then let me Too shy, then let me know

Le semblant de conscience qui devrait te souffler que c’est une mauvaise idée a disparu, dissipée par les plantes séchées que tu as consommé un peu plus tôt dans la soirée et qui t’ont mis dans cet état-là. Tu fermes la porte derrière toi, consciencieuse, avant de te faire prédatrice jusqu’à atterrir dans le lit de Marek. Aucun malentendu là-dessus, tu annonces très clairement la raison de ta présence devant lui en si petite tenue et en plein milieu de la nuit, ton palpitant s’affole devant le sourire en coin presque carnassier qu'il arbore. Tu es directe quant à ce que tu veux, de lui, maintenant. L’excitation qui te torture depuis un trop grand moment comprend qu’elle est prête à rencontrer un partenaire de jeu puisqu’il te laisse déjà faire, le polonais, alors que ta main s’attarde contre sa cuisse dénudée et que ton regard glisse sur tout son corps que tu découvres dans sa presque intégralité pour la première fois. Tes prunelles sont brûlantes de désir lorsqu’elles viennent chercher les siennes, ton rythme cardiaque est tellement puissant que tu le sens partout dans ton corps qui se fait douloureusement chaud. Tes doigts brûlent de tâter le muscle et tu te redresses légèrement, te penches inconsciemment vers les lèvres offertes pour quémander. Tu as besoin de lui, parce que tu n’es pas capable de te le sortir de la tête depuis quelques jours, parce que l’hypothèse à explorer te turlupine, parce que le besoin d’être physique avec quelqu’un te manque cruellement. Il s’amuse de ton trouble, Marek, et il a bien raison – tu en ferais sans doute autant à sa place. « Oh, now you need me? » Tu fermes les yeux, une seconde, avant de les rouvrir et d’acquiescer presque imperceptiblement. « Just this one time, yes. » Tu souffles, déjà émoustillée de son air insolent, avant d’utiliser les mots magiques. Please, Marek. Tu esquisses un sourire fourbe en voyant le désir se trahir sur son visage, ses paupières se clore le temps qu’il se morde la lèvre. Il va te rendre folle. Tu ne résistes pas à l’envie de rapprocher ton corps du sien, encore plus. Tu attrapes ses mains pour qu’il se mette au travail, avant que tu ne meures d’anticipation, tu rapproches ton torse du sien et passes finalement une jambe entre les siennes. Il se laisse faire, se laisse aller, lorsque tu le lâches pour pouvoir aller retrouver ses mèches épaisses. Tu frissonnes déjà lorsqu’il te frôle, fourbe, souffles un long souffle plutôt qu’un gémissement. L’une des bretelles du débardeur qui te sert de pyjama est repoussée, tu penches doucement la tête de l’autre côté comme pour lui permettre de découvrir un peu plus de peau. Ça brûle, dans ta poitrine, dans ton bas-ventre, dans ta zone de plaisir – sous la pulpe des doigts, sous son regard ténébreux, sous la malice qu’il emploie fourbement. « I must say… I love it when you beg me. » Tu voles quelques secondes, ton regard fermement ancré dans le sien et tes lèvres qui viennent s’étirer dans un sourire joueur. Tu rapproches ton visage du sien en laissant une distance raisonnable entre les deux, relâches l’une de tes mains pour pouvoir caresser de tes phalanges l’ossature. Tu t’entends déglutir, ton cœur bat bien trop vite, et pourtant tu retrouves la passion de la danse et la sécurité de la séduction. Tu saisis son menton entre deux doigts, pour mieux le tendre vers toi. « Please. » Que tu répètes, dans un souffle, infiniment provocatrice.

Tu laisses tes avants-bras retrouver les épaules du brun alors que son toucher glisse. Tu sens ton corps se tendre alors qu’il commence à caresser l’un de tes seins malgré le vêtement toujours présent, la friction du tissu ajoutant au contraire un stimulus supplémentaire, tu prends feu sous l’autre main qui passe sous le vêtement pour enserrer tes hanches et t’attire un peu plus contre lui. Une vague de plaisir t’assaille déjà, tu jappes sous le bonheur de ressentir ce que tu cherchais en vain toute seule dans ta chambre, fermes brièvement les yeux pour mieux la ressentir contre lui. « Good God. » Tu souffles, rapproches ton visage du sien pour laisser vos nez et lèvres se frôler sans pour autant céder à la tentation de l’embrasser. Marek se recule, ses mains se saisissent du bas de ton tee-shirt et tu lèves doucement les bras pour lui faciliter le passage. Tes mamelons se durcissent et trahissent déjà l’extase que tu ressens plutôt que la surprise du contact avec l’air de la pièce, extase que tu espères voir décupler dans les prochaines minutes. Tu geins lorsque le guitariste vient à nouveau attaquer ta lèvre inférieure avec ses dents, t’enflammes lorsque tu sens l’humidité de sa langue suivre immédiatement les picotements laissés. Estimant avoir assez résisté et attendu, tu prends l’assaut de ses lèvres avec avidité et fougue, entre souffles et gémissements qui se meurent sur sa bouche. Tu te colles à lui, appréciant le contact de ta poitrine sur son torse. Tu t’élances de quelques mouvements de bassin hasardeux contre ses cuisses, sentant déjà la proéminence convoitée grandir contre l’une des tiennes. Pas égoïste, folle d’envie, tu laisses tes mains descendre, appuyant l’une dans le bas de son dos pour le garder contre toi alors que l’autre file explorer devant. Tu échappes un ricanement satisfait au son qu’il échappe, dévies tes baisers contre sa mâchoire puis son cou alors que tu te fais langoureuse en bas.

Il ne te laisse pas jouer bien longtemps, Marek, te repousse doucement pour attraper l’élastique de ton short. La bataille est plus épique avec ce vêtement, mais tu retrouves rapidement place contre lui à califourchon. Mieux que ça, il se fait tortionnaire clément et accorde son attention à la chaleur qu’il ne doit pas manquer de ressentir contre sa peau nue. Ton souffle s’affole, se coupe, tu siffles de frustration lorsqu’il semble attendre, passes une nouvelle fois une main dans ses cheveux juste pour l’embrasser brusquement et signer là ta demande. Tu perds un peu pieds lorsqu’enfin tu rencontres la pression tant attendue, tu jubiles, vas à la rencontre de chacun de ses gestes avec une impatience qu’il ne tarde pas de taire avec une poigne plus forte. « Ahw… Seems like someone was thinking about me earlier. » Il te taquine et ça ne t’agace même pas, ça passe au-dessus tellement tu es envahie par le plaisir qu’il te procure avec ses doigts rugueux, chauds, aux mouvements inattendus et libérateurs. Tu cognes ton nez contre une tempe, poses maladroitement ton front contre le sien alors que tu sens ta peau s’embraser, quelques gouttes de sueur y perlant déjà sous l’effort. « I was. » Tu admets, sans aucune honte, ta sincérité semble te faire gagner une application plus sérieuse de Marek, ou bien c’est la libération qui se fait déjà proche et c'est encore mieux. Tu en as tellement envie. « How many times did it happened since our last moment? » Too many, tu n’es sans doute jamais redescendue de l’adrénaline provoquée par ta rencontre fiévreuse avec le polonais au sous-sol, pimentée d’un arrière-goût d’interdit après qu’il t’ait rappelé à l’ordre. « Shut up. » Tu n’es pas en train de rougir, Ana, quand même ?! C’est que la voix rauque et les tonalités brutes te rendent folle, presque autant que la main qui s’active sous le vêtement. Tu te recules pour pouvoir le regarder, laisses ton regard tomber sur l’action en cours, gémis, jettes doucement ta tête en arrière d’extase lorsque ses lèvres glissent sur ton cou. « You should have come earlier instead of doing it all by yourself. » Tu t’esclaffes d’un rire qui se termine en un autre râle de plaisir, lui donnant entièrement raison.

L’étreinte se fait plus forte une seconde, le temps que Marek te guide en arrière et que ton dos rencontre la dureté de ce qui lui sert de matelas – comment il peut dormir là-dessus depuis une dizaine de jours ?! c’est épouvantable. Ton palpitant s’emballe lorsqu’il prend place au-dessus de toi, tu te sens si frêle lorsque vos torses se frôlent, tes lèvres s’étirent en un sourire appréciateur alors que tu es déjà en train d’aller repousser une mèche de cheveux qui tombe devant ses yeux. « You look so fucking good on top of me. » Tu commentes, entre le murmure et le souffle, enrouée de désir. Le polonais commence à se faire doux alors que vous vous découvrez d’une nouvelle manière, prêts à céder à la tentation cette fois. Tu fermes les yeux pour mieux apprécier ses caresses sur ton visage, sans manquer d’érafler sans le blesser son dos du bout des ongles. «You’ve the cutest moan. » Tu rouvres les yeux pour apprécier l’envie dans les caramels, hoches la tête de gauche à droite d’à peine quelques centimètres. « ‘Want it to be your name? » Tu tends le cou, relèves un peu la tête pour aller chercher ses lèvres sans toutefois les embrasser, tu te contentes d’abord d’apprécier la chaleur et l’odeur du polonais qui est omniprésente. « Marek. » Tu souffles dans un gémissement, appuyant la première consonne, avalant la dernière. Tu échappes un rire devant l’air ténébreux que tu récoltes, avant de reposer ta tête mais de l’attirer à toi d’une main sur sa nuque pour que les lèvres se retrouvent un court instant. Il s’applique ensuite à te retirer ton dernier vêtement et encore une fois tu lui facilites la tâche en soulevant ton fessier, pieds fermement ancrés dans le canapé, cuisses obscènement écartées pour lui laisser la place. Tu humes ton contentement lorsqu’il t’a entièrement découverte, quémandes qu’il reprenne sa position d’une pression de ta jambe dans son dos.

Les baisers sont tellement appuyés que de nouvelles vagues t’assaillent rapidement, le besoin de rencontrer Marek commence à être bien trop puissant. « Condom. First drawer under the TV. » Tu murmures, indiques, yeux mi-clots, avant que vous ne perdiez la raison. Tu souffles tout de même de mécontentement lorsqu’il t’échappe, affligée de la perte temporaire de ton partenaire pour ce soir. Tu finis par te redresser, t’assieds avec le dos sur la place des dossiers du canapé, assumant pleinement ta nudité. Ton regard est satiété lorsque Marek s’approche à nouveau, que tu tends une main vers lui pour quémander l’objet qu’il vient de récupérer. « Hey it’s just sex, okay? Just once. » Tu ne sais pas lequel de vous deux tu essaies le plus de convaincre, à répéter que ça n’arrivera qu’une seule fois, mais tu ne t’y attardes pas plus. Tu te rapproches à nouveau de lui, sourire taquin sur les lèvres alors que tu reprends la tête de la danse. Vous êtes tous les deux à genoux sur le canapé, l’un en face de l’autre, et tu oublies le côté pratique pour te coller à lui. Tu relèves le menton, te réjouissant du souffle que tu sens se répercuter sur tes lèvres, te fais presque timide en feignant l’hésitation avant de l’embrasser à nouveau. Tu oses rire et, comme d’habitude, ça te retombe dessus lorsqu’il commence à se faire plus fougueux dans ses gestes. Ton toucher ne reste pas immobile, tu saisis doucement la vigueur toujours emprisonnée dans le caleçon que tu caresses dans une pression douce. Ta langue passe sur tes lèvres alors que tu observes avec parcimonie son visage, pour profiter de la moindre de ses réactions. « I hope you thought about me too… » Tu susurres, la voix doucereuse, alors que tu t’interromps un instant dans ton châtiment pour lui retirer le vêtement. Tu le pousses, ensuite, pour qu’il s’installe plus confortablement, tu voles un baiser ici, tu continues de lui donner du plaisir avant que vous n’entriez dans la danse, appréciant ô combien l’extase qu’il trahit déjà. « Wondered about how nice it would have been if we fucked in the basement… » Tu appuies ton regard dans le sien, qu’il comprenne que tu y as pensé toi, à quel point tu avais envie de lui il y a quelques jours et à quel point c’est toujours le cas dans l’instant. Tu déchires l’emballage du préservatif et le déroules sur la virilité du polonais, lentement mais d’une main assurée. « I guess we’ll have to settle for this couch. » Il est prêt, tu revoles un baiser là avant de souffler contre ses lèvres. « Fuck me, Marek. »
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Marek Zydorczak

Marek Zydorczak
Polish punx ftw

≡ POSTS : 20 if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) LOCosrrR_o
≡ ÂGE : 28 ans.
≡ OCCUPATION : Journaliste-photographe et historien du social.
≡ STATUT CIVIL : Célibataire et compte bien le rester.
≡ ATTIRANCE : Tout le monde, sauf les animaux et les enfants.
≡ ASPIRATION : À partir du moment où on ne te sépare ni de ton ampli, ni de ton pedalboard, ni de ta guitare, tout va bien. Tu n’as aucune idée de ce qui pourrait t’attendre demain, tu t’en contre-balances.
≡ LOGEMENT : Gros squattage au #51 Twin Peaks, chez Ana Parker.
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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyLun 27 Juil - 1:40


I am not enough.
I’m not the demons in your lungs.
Ana

Speak spoken love, offer nothing from your heart. I watched you fake a laugh. It was hard for you. We let the time just pass, but it was hard for you. And every simple task, I noticed it was hard for you. Should have released my grasp, but it was hard for me too.

Avec Ana, tout bascule super vite à chaque fois. Certes, ce n’est que la deuxième fois que ça arrive, mais entre les préliminaires au sous-sol l’autre jour et ce matin, où la rouquine débarque en te disant clairement qu’elle a besoin de tes talents d’artiste, vous faites fort. Elle ne tarde pas d’ailleurs à grimper sur ton lit et à te supplier de lui offrir ce moment que vous repoussez maladroitement depuis plusieurs jours. En même temps, c’est assez difficile de la croiser tous les matins et de se dire qu’elle ne portait que la moitié des vêtements qu’elle a sur le dos la dernière fois que vous vous êtes côtoyés d’un peu trop près (un peu Marseillais quand même, vu que tu ne lui as enlevé que son t-shirt l’autre fois). Elle te l’a précisément demandé, donc que tu commences à jouer. C’est tout ce que le plaisir représente pour toi, un vaste terrain de jeux, surtout avec une libido aussi explosive. Tu es plutôt content de pouvoir la libérer en compagnie de la rouquine qui semble elle aussi être assoiffée de désir.  « I was. » Un nouveau sourire en coin se dessine alors que tu constates avec amusement qu’elle s’est préparée à venir te voir, mais visiblement, elle a commencé sans toi. Tes gestes se font plus délicats, la voir succomber et avouer son crime te remplit d’extase que tu masques par cet air insolent qui semble tellement l'agacer qu’elle en gémit. Dissimulé par une question taquine, tu n’en demeures pas moins sérieux lorsque tu lui demandes si elle s’est occupée d’elle seule plus d’une fois en pensant à toi, et c’est simplement pour nourrir tes pensées d’images peu catholiques que tu te fais encore plus curieux. Elle t’envoie promener, ce qui libère un rire en guise de réponse. Ça ne fait pas longtemps que vous vous connaissez, mais tu commences à la cerner : ça veut donc dire que ce n’est pas la première fois. Ta proposition est ensuite encore plus réfléchie, tu regrettes qu’elle ne soit pas venue te voir plus tôt. Elle se contente de rire et tu te permets de redoubler de sensualité pour la provoquer davantage. Mission réussie.

Tu la bouscules ensuite, elle se retrouve sur le dos, prisonnière entre tes jambes. Même s’il n’y a rien de sentimental entre vous, tu apprécies la cajoler, le temps de profiter de tout son être. Tu n’as besoin que de ça, de douceurs jusqu’à l’apothéose. La puissance qu’elle emploie avec ses ongles sur ton dos provoque un souffle de plaisir alors que tes lèvres effleurent le moindre centimètre de peau dans le creux de son cou. Tu te redresses un peu pour l’observer, elle balaye les quelques mèches gênantes qui te retombent sur le front. « You look so fucking good on top of me. » Tu te mords la lèvre inférieure avant de reprendre ton air insolent en murmurant tout près de son oreille. «....And I’m not inside of you yet. I already won. » Tu évites de faire un jeu de mots, ça pourrait se retourner contre toi. Encore une fois, ça dérape. Ana, fidèle à elle-même, se moque de toi. Elle a la rancune facile face à toutes tes provocations, surtout lorsque tu lui avoues que ses gémissements sont adorables «‘Want it to be your name? » Tu souffles entre deux baisers. « Not yet. » Tu t’attendais à quoi ? À ce qu’elle t’écoute ? « Marek. » Son miaulement un peu trop prononcé t’empêche de poursuivre, tu te redresses un peu pour l’observer en arquant un sourcil avant de reprendre là où tu t’es arrêté. Non, franchement, c’était un poil trop exagéré, mais tu ne manqueras pas de te venger plus tard. Son dernier vêtement disparaît alors que tu te redresses complètement. Entièrement découverte sous tes yeux, ton regard dévore son corps dans son intégralité.

Une envie te saisit les tripes, encore loin de ce fantasme que vous partagez depuis plusieurs jours maintenant. Tu seras pleinement satisfait lorsque tu auras exploré tout ce dont tu as envie, jusqu’à ce que la rouquine t’exprime son contentement dans son entièreté.  « Condom. First drawer under the TV. » Tu plisses le regard volontairement tandis qu’elle est plus entrain de se faire avaler toute crue par les endorphines. Pour ce que tu as en tête, ce sera plus tard, chaque chose en son temps. Tu pars donc en quête de l’objet tant réclamé, fouille le tiroir en quête du paquet repoussé au fond. Forcément, elle ne devait plus en avoir besoin depuis un moment. Tu marques une certaine hésitation, alors que tu as déjà trouvé la boîte, mais tu te ravises. Si tu te mets à réfléchir à ce qui te turlupine sur l’instant, vous allez encore vous rhabiller dans la précipitation sans rien faire et compte tenu du fait que vous êtes plutôt bien avancés dans votre aventure d’un soir, tu n’es pas certain que couper court à tout ça soit très sain… physiquement. En revenant, la rouquine tend la main pour que tu lui donnes l’objet convoité. « Hey it’s just sex, okay? Just once. » Tu t’agenouilles sur le lit, en face d’elle, et acquiesces d’abord d’un hochement de tête, l’air soudain un peu inquiet qu’elle suggère quelque chose d’autre.  « It’s just sex, yes. What else could it be? » Tu souffles après deux secondes de silence. « Okay, just once, if that’s what you want. » Tu ne serais pas contre remettre le couvert, mais si son souhait est de faire juste un écart, tu t’en contenteras. Apparemment vous êtes fixés, puisque Ana se rapproche encore. Tu la laisses faire jusqu’à ce que tes mains se fassent attirer comme des aimants par son épiderme que tu caresses avec envie, l’une d’elle se faufile dans le bas de son dos, l’autre sur sa nuque. Son rire t’exaspère sur le moment tandis que sa bouche te vole un nouveau baiser, mais elle a le don de réveiller et de décupler tes sens. Pour calmer son impertinence, tu fonds sur elle comme si elle s’apprêtait à t’échapper en l’embrassant avec fougue. Elle se détache ensuite. « I hope you thought about me too… » Tu ouvres lentement les yeux, glisses ta main la plus proche sur son visage pour caresser ses lèvres du bout des doigts. « You’ve no idea... » Et alors qu’elle te libère de ton dernier vêtement, tu poursuis, guettant la moindre de ses réactions, profitant de l’aube naissante pour la voir rougir à tes déclarations taquines. « I imagined myself  coming into your room in the middle of a night. » Tu te mords la lèvre lorsqu’elle reprend le dessus en te poussant sur le dos. « ...finishing what we started. » Tu te redresses pour saisir ses hanches d’une poignée assurée dans l’intérêt de la rapprocher au plus près de ta virilité. « I was hard every time I imagined you naked... » Tu déplaces une main jusque dans ses cheveux pour frôler ses lèvres des tiennes. « ...And moaning so loudly while I’m fucking you… » Si proches l’un de l’autre, elle poursuit. « Wondered about how nice it would have been if we fucked in the basement… » Ton coeur loupe un battement à cette idée, ton rythme cardiaque étant déjà largement supérieur par rapport à l’accoutumée. « I pictured it many times. I had so many things in mind and now I really mean do to them. » Tu soutiens son regard, ton corps réagit quant au sous-entendu lourd de sens, tu passes furtivement ta langue sur tes lèvres. Tu perds son attention un instant, le temps qu’elle t’habille du préservatif. Au contact de ses doigts sur ta virilité, tu libères un soupire de plaisir. « I guess we’ll have to settle for this couch. » Tu fermes les yeux au contact de son souffle sur tes lèvres, elle te vole un baiser que tu lui reprends immédiatement. Tu ressens une certaine rivalité, ce que l’un prend, l’autre le récupère immédiatement et ce sentiment attise le brasier qui flambe dans le bas de ton corps, fait fourmilier chacun de tes membres. « Fuck me, Marek. » Ses mots brutalisent ton myocarde, tu ressens une partie de ton corps se durcir sous l’excitation. Elle te rend tellement fou, tu aimerais démarrer votre danse maintenant, sans préavis et tu te retiens de toutes tes forces pour ne pas t’insérer en elle de suite.  « You might not like what I’m going to say but, now you’ve got a lot of furnitures… In case you change your mind, I’d love to try them all. » Tu murmures avant d’attraper doucement sa lèvre entre tes dents, le sourire en coin n’est pas loin derrière. Tu souffles un léger rire alors qu’elle s’apprête à prendre ce dont elle rêve littéralement depuis des jours. Tu poses une main sur sa cuisse, elle remonte jusqu’à son bassin. Un bras derrière la tête, à nouveau allongé sur le dos, ton regard gourmand se nourrit de la vue merveilleuse éclairée par les premiers rayons du jour. « I won’t give you the entire satisfaction...yet. » Ton sourire s’élargit alors que son expression dévoile une certaine surprise, elle ne te connaît pas encore assez bien pour comprendre ce que tu as derrière la tête et peut-être qu’elle s’imagine que tu comptes renoncer à ce que vous êtes en train d’entreprendre. Loin de toi cette idée. « Just once, you said. It’s never enough. So… I want more. » Tu te redresses, assis face à elle, appuyée sur tes genoux.Tu la refait basculer sur le dos et prends d’assaut ses lèvres en appuyant tes baisers qui dévient leur trajectoire jusqu’à son oreille. « Do you want more too? » Tu murmures en attendant son approbation alors que ta main libre descend sur sa poitrine, taquine la zone érogène ; le bout de tes doigts pince délicatement son mamelon avant que tu n’adoucisses ton geste. Pendant ce temps, ta bouche trace son chemin sur son sternum, ta langue vient jouer de longues secondes avec son autre sein. Ton palpitant bat si fort que tu l’entends jusque dans tes tempes et le son s'amplifie à mesure que tes lèvres descendent le long du corps d’Ana. Tu relèves les yeux vers elle pour plonger ton regard dans le sien tandis que tu te situes à quelques centimètres de son intimité. Sans détourner tes prunelles noisettes, tu lui offres un premier coup de langue. Doux, lent, habile. Et tu réitères ton geste au son de ses plaintes générées par le plaisir qui la possède. Encore et encore, jusqu’à ce que ses gémissements te rappellent à l’ordre, signe que la tatoueuse ne doit pas être loin de l'apothéose. Tu ralentis doucement, en caressant l’intérieur de ses cuisses, écartes doucement ses jambes sans trop te presser. Tu la toises, en découvrant son visage possédé par le désir, un nouveau sourire taquin au coin des lèvres. Tu voulais plus, mais ton expression change du tout au tout alors que ton membre vient doucement caresser son intimité d’un mouvement vertical. Ton torse se soulève, ton cœur bat si vite que tu ne peux retenir un soupire de plaisir même si vous n’avez pas encore entamé votre danse sensuelle. Tu te penches au-dessus d’elle pour cueillir ses lèvres d’un baiser appuyé, attrapant l’inférieure entre tes incisives avant que ta langue ne vienne la chatouiller.  « Not yet. » Tu souffles encore devant son impatience. Tu te remets à genoux entre ses jambes, saisis ses mains au passage pour la redresser, attrapes ses hanches le temps qu’elle passe ses bras autour de ton cou. Il y a comme un air de déjà vu avec l’épisode du sous sol. Tu soulèves le dessous de sa cuisse pour lui faire comprendre que tu vas la porter. Lorsqu’elle a passé ses jambes autour de ta taille, tu la transportes jusqu’à sa bay window, suffisamment large pour vous accueillir tous les deux, surtout pour votre acte charnel. Ana baigne dans la lumière du soleil. Tu la réveilles à nouveau d’une caresse, jouant de son plaisir avec tes doigts que tu glisses en elle avant de lui offrir ce qu’elle veut. Sans que tu ne la fasses plus languir, ta virilité s'insère, accompagnée d’un souffle de plaisir, plus bruyant que les autres, le regard plongé dans le sien. Tu l’observes se faire encore plus conquérir par son envie, son esprit taquin, l’excitation poussée à son paroxysme. Tu sais que Ana veut le contrôle, tu le sens. Tu te retires alors et t’assois en l’invitant à grimper une nouvelle fois sur tes genoux et à se faire plaisir, sur toi. « You drive me crazy. » Tu murmures dans un gémissement alors qu’elle te glisse encore en elle. Si près de son visage, les mains sur ses hanches pour la guider dans ses mouvements, tu poursuis. « I should have fucked you earlier, Ana. It’s gonna be damn hard to do it just once. »
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Adriana Parker

Adriana Parker
kiss me hard before you go

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≡ ÂGE : 25, Jesus Reborn (25/12/1994)
≡ SURNOM : Ana, et c'est comme ça que tout le monde l'appelle d'ailleurs.
≡ OCCUPATION : Après le fiasco de la tournée européenne, et après avoir mis fin à cette même tournée, Now or Never n'est quasiment plus - ou du moins, il n'en reste que les CDs et autres tee-shirt. Sa vie de chanteuse et musicienne se voit mise en pause. Elle est toujours tatoueuse au Daddy's Closet, à des horaires moins importants cela-dit.
≡ STATUT CIVIL : Situation délicate, coincée dans ce qu'il reste d'une relation qui ne tient plus debout depuis quelques mois déjà.
≡ ATTIRANCE : Men & Women
≡ LOGEMENT : Une petite maison, où le sous-sol est aménagé en studio de musique, qu'elle partage depuis peu avec deux polonais (dont un russe) qui prennent beaucoup de place. #51 twin peaks
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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyMer 29 Juil - 13:55


Maybe I would like you better if you took off your clothes
marek

Maybe I would like you better if you took off your clothes, I'm not playing with you, baby I think that you should give it a go She said, Maybe I would like you better if you took off your clothes I wanna see, and stop thinking If you're too shy, then let me Too shy, then let me know

Tu perds pieds, depuis des jours – des semaines, à vrai dire. Les fréquences s’allument et vibrent avec une intensité folle auprès du polonais, tu as été si patiente jusque-là que la frustration s’allie au désir maintenant que tu te laisses aller dans ses bras. Pour de bon, enfin, hors de question que tu n’arrêtes la danse qui commence à peine. Tu profites du semblant de pause prise pour vous équiper pour mettre les choses au clair : du sexe, cette fois seulement. « It’s just sex, yes. What else could it be? » Tu aurais presque envie de rire devant ses sourcils froncés – c’est une évidence pour toi, ça l’a rarement été pour ceux qui ont pu partager ta couche pour une nuit ou plus. Ça commence comme ça, ça se termine deux semaines plus tard avec un message pas très sympa de ton côté et un numéro de bloqué. « One way ticket to take control over my fucking life. » Tu es amère, tu aurais pu lui balancer un ‘men are pigs and I hate them but please fuck me’ qu’ça aurait eu la même intonation, le même effet. Le fait qu’il vive sous ton toit et risque d’y être pour les prochains mois à venir complique le deal, le fait que tu sois en couple aussi, mais Marek comprend, ou il attend la même chose, te souffle son accord. Just sex, just once.

Tu te rapproches de lui, te fais taquine, ça se retourne contre toi qu’il t’empoigne fermement et te colle à lui pour mieux t’embrasser à t’en couper le souffle. Tu lances l’offensive, commences à le caresser en murmurant quelques mots pour attiser le désir, ça se retourne contre toi que les siens viennent faire gronder ta cage thoracique. Quoi que tu fasses, qu’importe la carte posée sur la table, tu perds la manche parce que la riposte est dix fois plus importante et te foudroie de désir. L’insolence n’est fondée que parce qu’il est expérimenté, qu’il le sait très bien, le photographe joue de tous ses atouts et découvre tous tes points faibles au fur et à mesure, il fait de toi sa marionnette. Ça fait un long moment, que tu n’as pas rencontré un adversaire de taille, c’est à peine si tu te souviens comment faire. Il faut dire que tu es trop soumise au désir pour vraiment jouer – c’est qu’il te convient bien, le rôle de la marionnette, dans ses bras. « You’ve no idea... » Tu t’embrases, sens tes lèvres te picoter furieusement alors qu’il les frôle de ses doigts, le chasses du bout de la langue. Tu laisses passer un regard, à travers tes cils, tentes de reprendre le contrôle en lui enlevant son sous-vêtement, en égalisant au moins du côté de votre nudité témoin de vos corps réchauffés de désir, mais c’est peine perdue. Il est fort, beaucoup trop fort, et on n’parle pas seulement du membre qui se dresse entre vous. « I imagined myself coming into your room in the middle of the night. » Tu manques de gémir, alors que l’image se fait dans ton esprit également, alors que l’envie te susurre que tu aurais voulu qu’il le fasse. Tu l’accompagnes dans ses mots avec tes gestes, le repousses dans son lit, laisses glisser sensuellement tes cheveux contre son torse. « ...finishing what we started. » Tu bats des paupières, le râle n’est pas loin, le souffle témoigne l’envie qu’il fait brûler à petit feu lorsqu’il t’attrape et te guide avec fermeté au plus près de lui. Tes pommettes prennent une délicieuse teinte rosée, tu sens tes pupilles se dilater sous l’intensité du polonais, sous vos corps nus si proches, sous les salaces imaginées prêtes à en rencontrer des semblables pour qu’elles deviennent souvenirs. Plus besoin d’imaginer, après ça. « I was hard every time I imagined you naked... » Tu te sens frissonner de partout, mais c’en est particulièrement délectable sous sa main qui se fond dans tes cheveux pour mieux te rapprocher de lui. Tu fermes les yeux, le cœur battant jusqu’aux tempes, son souffle chaud contre ta peau, l’octave suave et ricochante, les lèvres qui chatouillent les tiennes sans les écraser comme tu le voudrais. « ...And moaning so loudly while I’m fucking you… » Il est là, le gémissement, le vrai, que tu brailles sans pouvoir t’en empêcher sur ses lèvres alors que qu’il ne fait qu’évoquer et que c’est presque suffisant pour te mener à l’extase. Tu te tends, contre lui, attrapes sa nuque toi aussi, te recules légèrement pour attraper son regard également. Tu ne pourras pas mentir en disant que tu n’y as pas pensé, non plus. Que des scénarios jouent en boucle et te torturent depuis quelques jours, depuis votre rencontre au sous-sol, depuis qu’il a allumé le brasier sans prendre la peine de l’éteindre. Il rajoute du combustible en t’avouant que lui aussi, y a songé, lui aussi a cédé à l’envie de satisfaire le besoin, seul, avec l’imagination et des mains bien solitaires pour appuis. Bien que la danse a déjà commencé, bien que la promesse est scellée et qu’il n’y aura pas de retour en arrière cette fois, l’anticipation n’est rien comparée au désir que vous avez brassé chacun de votre côté et qui ne demande plus qu’à être assouvi.

Tu termines de le préparer avant de te faire une nouvelle fois impétueuse. Ton ton et l’ordre qu’il transmet après vos baisers taquins, entre deux soupirs prononcés, a le don de réveiller encore le partenaire. Tu as l’impression de découvrir un tout nouveau Marek, une version encore plus arrogante et provocatrice que tu fréquentes au quotidien, des caramels agités alors qu’il fait attention aux moindres détails, aux moindres gestes, les sens aux aguets. La nouvelle version fait bondir ton estomac, s’embraser ta peau, tu en quémandes toujours plus et il te le refuse à chaque fois, te laisse croire que tu mènes la danse pour mieux te couper l’herbe sous le pied. « You might not like what I’m going to say but, now you’ve got a lot of furnitures… In case you change your mind, I’d love to try them all. » Tu grognes déjà, rien qu’à la tournure de sa phrase, pousses un soupir alors que ton regard est furibond quand tu inscris tes prunelles dans les siennes pour témoigner de ton mécontentement. Tu geins encore lorsqu’il attrape ta lèvre entre ses dents, laisses ta langue glisser dessus – il va falloir qu’il arrête, tu ne vas pas tenir. « Don’t care how, just fuck me. » Tu détestes son sourire sourire en coin, tu abjectes le rire moqueur qu’il échappe devant ton impatience. Tu as à peine le temps d’initier un mouvement pour enfin le prendre, à califourchon pour établir le contact dont tu te languis difficilement, qu’il se fait narquois, caresse ton corps et en récolte une salve de frissons, pour mieux te retenir. La posture est effrontée et tu laisses tes mains courir sur son torse, te délectant de la peau chaude sous la pulpe de tes doigts qui se referment sur ses épaules. « I won’t give you the entire satisfaction...yet. » For fuck’s sake, what game are you playing Marek?! Ta langue claque contre ton palais, tu commences à te faire turbulente. « Don’t make me finish myself off. » Tu as déjà essayé, ça n’a pas fonctionné. Tu as peut-être du nouveau matériel pour améliorer les scénarios, tu n’es pas prête d’abandonner une source de plaisir si près du but. « Just once, you said. It’s never enough. So… I want more. » Tu plisses les yeux, le regardes se redresser d’un air curieux et le palpitant agité, il va te tuer. Tu ne recules pas d’une once même lorsqu’il est beaucoup trop proche – à ce stade c’est tout ce que tu recherches, sa proximité. « What’s more? » Tu chuchotes, soudainement, alors que jusqu’à présent vous avez largement baissé le niveau sonore mais tu as l’impression de frôler un interdit en demandant pour faire taire le million de questions et d’idées qui te viennent. Il ne te répond pas, ses bras se referment dans ton dos et il te repousse, récupère la place qui est désormais sienne au-dessus de toi, t’allume encore de baisers. « Do you want more too? » Ses mots te font frissonner, te rendent presque nerveuse. Tu as les yeux fermés, concentrée sur ta respiration que tu n’arrives pas à réguler à cause de ses intentions, tu glisses une main dans ses cheveux en relâchant une expiration longue. « I want all of it. » Il te fait brûler de désir, Marek, tu serais bien incapable de lui refuser quoi que ce soit – tu veux tout, c’est pour ça que tu es là. Tu tournes la tête légèrement de côté pour pouvoir capter son regard, le temps se fige une seconde avant que tu ne rajoutes. « All of you. » Le message est passé, il se remet au travail et tu te laisses submerger par les éclats de sensations, suis avec délices chacun de ses gestes. Ta cage thoracique se soulève conséquemment lorsqu’il y passe, tu souffles ton ravissement lorsqu’il accorde une attention particulière à tes seins. Tu t’embrases déjà du chemin qu’il prend lentement mais sûrement, restes douceur dans ses cheveux pour l’encourager, l’observes faire avec une adoration débordante. All of it. C’est tout ton être qui frissonne lorsque, enfin, il met fin à ton calvaire dans la caresse la plus douce qu’il soit. L’éruption qui se fait dans tout ton corps également et tu ne sais plus où donner de la tête un instant, tu ne sais que te cambrer en gémissant pour qu’il te tienne plus fermement et accroche ton regard avec une inlassable provocation. « Fuck… Fuck, Marek, don’t stop. » Tu as du mal à te faire silencieuse alors qu’il t’assassine de la plus ravissante des manières qu’il soit. Tu penses de justesse et de manière assez lointaine que vous n’êtes pas seuls, tu mords d’abord ta lèvre inférieure mais ce n’est pas autant satisfaisant que lorsqu’il le fait, tu finis par glisser ton pouce entre tes dents – l’autre main parcourant le même chemin entre ta poitrine et les mèches brunes qui ne tiennent pas en place alors que tu te consumes sous la langue experte.

Tu sens la libération proche, tu sens les nœuds se serrer pour pouvoir mieux se décontracter ensuite, et tu te trahis sans doute puisque le polonais t’échappe, déjà, dévie son attention pour te laisser brûlante et fourmillante. Tu souffles une longue expiration alors que tu peux sentir ton rythme cardiaque dans plusieurs parties de ton corps. Tu le vois à peine se redresser, encore trop soumise à l’extase, tu sens ses mains glisser sur tes jambes qu’il écarte pour mieux y prendre place. Tu t’efforces à le regarder, ton cœur loupe encore plusieurs battements lorsque ton regard capte la mine éhontée et effrontée, c’est fou ce qu’il est séduisant, tes lèvres s’étirent elles aussi en un sourire impudique devant le sien. « You in between my legs is definitely my favorite you, I’ve got to say… » Tu masques ta déclaration derrière un faux air innocent, l’une de tes mains caressant du bout des doigts un avant-bras tatoué alors que l’autre repose grossièrement sur ton ventre agité. Marek semble, après tout, se décider à mettre fin à sa torture, entamant un premier contact que tu commentes d’une humement appréciateur. Tu te concentres sur le plaisir qui se trahit sur ses traits et le rend si beau plutôt que ton envie de céder au tien, et parce qu’il ne te prend toujours pas tu commences à te redresser sur tes coudes pour prendre l’affaire en main, littéralement. Il sépare à nouveau la distance et vient à ta rencontre pour t’embrasser – et tu le rencontres avec fougue, pour qu’il comprenne que tu commences à en avoir marre, et ça se retourne contre toi, encore et toujours. Stop biting. T’es à peine remise de l’éclatement causé par son mauvais coup qu’il va encore t’abîmer les lèvres. « Fuck me. » Tu feules, empressée et impétueuse. « Not yet. » Il te répond en un souffle, tu en échappes un plus agacé. « I fucking hate you. » Il s’en amuse, de ta condition, tu en es convaincue.

Le polonais se redresse et t’invite, t’aide, à en faire autant. Tu es incapable de ne pas lâcher un rire lorsque tu te retrouves accrochée à lui, lorsqu’il te porte. Tu n’as pas le temps de te poser des questions, et tu t’en fiches pas mal petite marionnette abandonnée aux mains du maître, te voilà déjà assise sur la banquette de ta bay window. Tu es presque moqueuse lorsque tu le regardes par-dessous tes cils, un sourire en coin. Il te vole d’autres sons d’extase en initiant une première jonction, à peine satisfaisante, avec ton intimité. Tu laisses tes doigts glisser dans son dos pour exercer une pression, au niveau de ses fesses, ordre silencieux pour qu’il entame enfin le ballet. Le souffle te manque lorsqu’il t’accorde la friction que tu recherches tant. Il ne te laisse aucun moment de répit pour te remettre de ce contact libérateur qui déclenche une vague si intense dans ton centre de plaisir que tes muscles se contractent de partout, il se meut déjà contre toi, gagne un geignement bien trop fort que tu es incapable de taire. Les yeux roulent lorsque tu rejettes la tête en arrière, fermement accrochée à lui et à son va et vient gourmand, le vertige te prend quand tu te redresses pour mieux le recevoir et planter ton regard dans le sien. Vision divine baignée de reflets dorés, Apollon aux traits de lumière naturelle sur le visage, halo artificiel pour accompagner sa carrure qui s’impose sur la tienne. Apollon au souffle court lui aussi, au visage bouffé par le plaisir, aux muscles seyants sous l’effort. Tes lèvres s’étirent en un sourire avant qu’elles n’aillent chercher les siennes, brièvement seulement, car la différence de taille se fait rapidement sentir dans une telle position et tu dévies tes attentions à son cou alors qu’il poursuit l’effort. Tu laisses tes jambes se refermer autour de lui, l’accompagnes et le guides dans chacun de ses gestes pour qu’il aille exactement où tu le souhaites. Un soubresaut laisse une trace de main sur un carreau, tu souffles – d’extase pour le pic de plaisir qu’il a déclenché ou de mécontentement pour la baraque qu’il va falloir nettoyer ensuite. Tu protestes dans un gémissement encore appuyé lorsqu’il t’échappe, grimpes sur ses cuisses avec avidité lorsque vous échangez vos places sur la banquette.

L’avoir ainsi à ta disposition réveille les instincts et l’envie de jouer, de le faire languir comme il a pris beaucoup trop de plaisir à le faire jusque-là. Ta langue passe sur tes lèvres pour les humidifier, tu masses du bout des doigts les épaules et la nuque avant de reprendre la danse là où il l’a laissé. Tes cheveux glissent dans ton dos, le râle que tu lâches fait vibrer ta gorge et c’est sur les lèvres de Marek que tu embrasses avec ardeur qu’il meurt. « You drive me crazy. » Says the one who was making the both of you wait. Tu souffles un rire près de lui, incapable de lui répondre alors qu’il te permet de te sentir si bien, alors qu’il te comble tellement, enfin. « I should have fucked you earlier, Ana. It’s gonna be damn hard to do it just once. » Ses mains empoignent tes hanches et ton regard se fait lourd dans le sien. Apollon est pour le moment à tes pieds, soumis à chacun de tes mouvements, alors Apollon va ranger sa verve avant qu’il n’arrive à te convaincre de changer d’avis. « You’ve always been so handsy with me… Being around you is fucking torture. » Tu accuses, puis confesses. C’est à peine si tu sais ce que tu dis. « Let’s take the most from this one time, then. » Tu te donnes entièrement à lui dans un rythme accompli, appuyé d’un baiser ici et d’un grognement là. Le plaisir grimpe rapidement, chez toi comme chez lui. Vous ajustez votre position pour que son dos repose contre la fenêtre, pour que tu te meuves avec plus de facilité, pour que le contact se fasse encore plus long et appuyé. Les sons gutturaux qu’il échappe te font tourner la tête, voir ses muscles se tendre te donne envie d’y goûter. Tu laisses ta bouche traîner, te délectes de la peau salée de son cou et des quelques perles de sueur qui s’y échappent, t’enivres de l’odeur mâle, laisses tes dents mordre doucement dans un trapèze alors que ses mains se serrent un peu plus contre toi. Payback. Comme tu en as rêvé à maintes reprises, tu sens rapidement ton bas-ventre se répandre d’une chaleur exquise et tes muscles se contracter. C’est une première apothéose qui te couple le souffle, dans laquelle il t’accompagne jusqu’au bout, amplifie chacune des vagues d’un coup de rein expert, te maintient à travers chacun des tremblements avec une poigne d’une masculinité absolue qui te fait succomber. Tes muscles t’élancent et tu es toujours fiévreuse, tu en veux plus toi aussi. Esclave de la dopamine, il te faut quelques secondes pour chasser le brouillard, d’autres les éclats de soleil que tu as capté malgré toi. Tes lèvres frôlent les siennes alors que tu te remets doucement de l’orgasme qui vient de te faucher.

Tes mains enserrent le visage de Marek que tu embrasses avec exaltation, premiers remerciements, bien que tu ne comptes pas t’arrêter en si bon chemin. « Where’s the furniture you wanted to try? » Tu souffles contre lui avec la voix enrouée, aguicheuse, attises l’envie de nouveaux mouvements de bassin avant de finalement te séparer de lui – non sans gémir au passage. Tes abdominaux sont à nouveau appelés à contribution alors qu’il se redresse en te tenant toujours contre lui, tu échappes un rire quand il chancelle légèrement. Quelques pas plus tard et il te dépose sur la table, tu protestes déjà en secouant la tête, mains posées contre son torse. « Nope! Nope nope nope. We eat here, for fuck’s sake! » Tu fronces les sourcils et ton regard croise le sien, les mots prennent un tout autre sens. Pour l’amour de la baise… Peut-être pas, pour le coup. Tes lèvres s’étirent en un sourire et tu te mords l’inférieure pour le réfréner. « Or… Well, yeah, no. » Il est mignon, Marek, mais vous n’allez peut-être pas faire tout le tour de la pièce tout de même. Tu te détaches de lui pour poser tes pieds sur le sol, siffles ta surprise de sentir les muscles de tes jambes douloureux. Tu attrapes l’une de ses mains pour le guider à ta suite, t’approches du bureau vide que tu tardes à aménager avec ton matériel à dessin – tu avises surtout le miroir sur pied à côté. Tu sens ton palpitant s’affoler lorsque tu aperçois vos reflets se rapprocher, lorsque tu vois la carrure du polonais dominer la tienne même derrière toi. Tu accroches son regard dans le miroir puis guides la main que tu tiens toujours sur tes rondeurs, te délectes de la chaleur de l’épiderme qui rencontre le tien et des mouvements qu’il commence de lui-même. Ta main libre glisse contre son bras, tu en captes à peine le geste sensuel devant toi, termines dans sa nuque et alors que tu te laissais déjà reposer contre lui tu laisses ta tête retomber sur son épaule et lèves le menton pour qu’il parcourt la distance et vienne t’embrasser.

Tu finis par te pencher lascivement en avant, prends appui sur le bureau de tes avants-bras non sans le guider dans ton dos, là où tu le veux, entre tes jambes écartées avec presque outrance. Ta nouvelle position te vole un peu de la vue offerte par le reflet, mais tu arrives à capter ton partenaire dans toute sa splendeur et ça t’est largement suffisant. Tu as l’impression que tes sensations sont décuplées lorsqu’il reprend l’assaut de ton corps, tu soupires des gémissements à répétition, des frissons te parcourent l’échine et rencontrent chacune des vagues de plaisir qui t’assaillent. Tu commences à te redresser, paumes sur le bois, regard dans celui de Marek à travers le miroir. Tu glisses tes doigts entre les siens avant de les guider autour de ta gorge, tu t’offres entièrement à lui, geins en sentant les pulsations de ta carotide contre son emprise, fends l’air d’un sifflement lorsqu’il empoigne plutôt ta chevelure pour mieux te tirer contre lui. Tes jambes sont flageolantes, s’épuisent rapidement alors que tes muscles sont trop sollicités, s’il ne te tenait pas fermement et si tu ne t’accrochais pas au bureau non plus tu ne tiendrais pas debout. Tu te sens arriver près de la fin une nouvelle fois, tu remarques l’exaltation sur ses traits et peut-être y arrive-t-il également. Vous vous détachez, sans vous concerter, lorsque vous sentez que la position n’apporte plus autant de plaisir qu’auparavant. Tu te retournes pour l’embrasser fougueusement, ton bassin collé au sien. C’est sur le semblant de lit que vous vous retrouvez pour terminer la danse. Tu exhales ton contentement de le retrouver au-dessus de toi, glisses tes bras dans son dos lorsqu’il reprend sa place, fourrages ses cheveux tantôt avec douceur tantôt avec dureté. Tu laisses tes lèvres flâner sur sa peau, lèches d’une langue taquine, embrasses. Tu te fais cajoleuse, pour l’accompagner dans sa fin également, pour déclencher au mieux la tienne. « You’re so good to me… » Tu commences à chuchoter, quand tu sens les muscles de ton bas-ventre se contracter à nouveau, les picotements refaire surface. « Fucking me so well. » Tu glisses à ton oreille, avant d’embrasser la peau en dessous. Tu frissonnes de tes propres paroles, arrivant au bout de votre moment, prenant compte de l'ampleur de tes actions, ne les regrettant pas une seule seconde. « Will you cum for me? » Tu demandes en te cambrant un peu plus, agitée de l’extase si proche, mourant de découvrir la sienne qui le rend déjà si ténébreux, si attrayant. Qui te ferais presque regretter cette condition de juste une fois.
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Marek Zydorczak

Marek Zydorczak
Polish punx ftw

≡ POSTS : 20 if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) LOCosrrR_o
≡ ÂGE : 28 ans.
≡ OCCUPATION : Journaliste-photographe et historien du social.
≡ STATUT CIVIL : Célibataire et compte bien le rester.
≡ ATTIRANCE : Tout le monde, sauf les animaux et les enfants.
≡ ASPIRATION : À partir du moment où on ne te sépare ni de ton ampli, ni de ton pedalboard, ni de ta guitare, tout va bien. Tu n’as aucune idée de ce qui pourrait t’attendre demain, tu t’en contre-balances.
≡ LOGEMENT : Gros squattage au #51 Twin Peaks, chez Ana Parker.
≡ AVATAR : Pierre Niney
≡ CRÉDITS : Snapdragon (av) non uccidere (sign)
≡ WHO ARE YOU : Snapdragon
≡ AUTRES VIES : Dawn, l'autre polak; Bart, le relou.
≡ INSCRIPTION : 11/07/2020




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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyMer 29 Juil - 21:39


I am not enough.
I’m not the demons in your lungs.
Ana

Speak spoken love, offer nothing from your heart. I watched you fake a laugh. It was hard for you. We let the time just pass, but it was hard for you. And every simple task, I noticed it was hard for you. Should have released my grasp, but it was hard for me too.

Rares ont été les fois où tes histoires d’un soir s’étaient déroulées aussi intensément. Tu as de suite compris avec l’invitation d’Ana que ton vocabulaire peut s’orienter vers le fantasme, ses réactions provoquent davantage ton désir et tu constates qu’elle apprécie t’entendre lui susurrer des phrases osées, que votre partage prend une tournure affriolante et que vous en raffolez. Jusque là, tout n’est que défi entre vous. Qui de vous deux fera flancher l’autre en premier ? C’est bien la première fois que ta partenaire se prête aussi bien au jeu et cette expérimentation alimente si bien ton imagination que ton corps se soumet au sien en silence.  Vous êtes ivres de plaisir et chaque geste vous rapproche un peu plus de l’apothéose. Tu as torturé la rouquine pendant longtemps, en faisant travailler ta langue et tes doigts plutôt que ta vigueur. Les places s’échangent tandis que votre union vient de démarrer, ton coeur menace d’éclater sous les délices qu’elle réveille en toi. Tu aurais tellement voulu en arriver là plus tôt. Tu regretterais presque de ne pas t’être imposé dans son espace personnel plus tôt en allant la visiter peu de temps après votre dérapage au sous sol et l’envie serait presque capable de demeurer prisonnière de tes pensées pour resurgir à l’avenir en détourner l’interdit. « You’ve always been so handsy with me… Being around you is fucking torture. » Sur toi, Ana s’applique à te faire frémir. Elle te rapproche un peu plus de la fin. Ses derniers mots te font louper un battement, alimentent ton plaisir et provoquent un léger rire étouffé par tes plaintes sensuelles. « I can’t help it. You’re so attractive. » Prononces-tu dans un soupire d’extase en soutenant son regard. Tu sens qu’elle a repris le contrôle et qu’elle se régale tout autant en gagnant une tête de plus que toi tout en exécutant de longs va-et-vient sur ton membre. Tu te souviens de sa faiblesse alors que tu la faisais languir, surtout lorsque ta langue s’est mêlée au jeu. « Let’s take the most from this one time, then. » Elle te semble déterminée à ne pas reproduire la scène, elle soutient que ce moment sera le premier et dernier écart à ton plus grand déplaisir, mais elle s’y donne à fond. Vos lèvres se rencontrent entre deux gémissements alors que la cadence se fait plus prononcée, plus puissante. Tu te recules jusqu’à que ton dos heurte la fenêtre. Tes paupières se referment alors que ton crâne repose légèrement en arrière contre le carreau, Ana resserre davantage son emprise, s’offre de plus grands mouvements et intensifie la puissance de son geste sur ta virilité. Tu exprimes ton plaisir par de plus forts soupirs. Elle te rend tellement fou. Elle appuie des baisers plus fougueux sur ta nuque, ta main glisse sur la sienne pour lui intimer de prolonger le plaisir. Tu te sens si proche de la fin, tes mains redescendent sur ses fesses et accentuent le mouvement pour te mener jusqu’à l’intensité extrême de votre moment. Les fourmillement ta saisissent le bas ventre, la douce chaleur qui t’envahie te force à rouvrir les yeux, planter un regard lourd sur la rouquine, alors que tes gémissements se font plus bruyants, plus répétés jusqu’à ce que ton corps libère l’orgasme, provoqué par celui d’Ana, si plaisant et pesant parce que tu le retiens depuis quelques secondes pour en décupler les sensations à l’aboutissement. Tu ne cesses pas vos mouvements pour autant, tu ne comptes pas lâcher l’affaire aussi vite. Tes muscles se contractent et maintiennent la cadence afin de pouvoir profiter un maximum de la merveille qui tarde à s’estomper.

Haletant, terrassé par les endorphines, tu fixes Ana pendant de longues minutes. Tes doigts lui parcourent doucement l’échine. Tu la laisses se rapprocher de toi, feindre un premier baiser auquel tu ne réagis pas. Son corps se remet doucement des sensations, tout comme le tien encore connecté au sien. Elle ne se sépare pas de toi, elle se contente de saisir ton visage entre ses mains et de t’embrasser. Tu réalises alors qu’elle est pleinement satisfaite de ce que tu viens de lui faire vivre et afin de lui intimer le même message, tu repars à l’assaut de sa bouche pour prolonger votre baiser. Tu pensais qu’il s’agissait du terme de votre liaison d’une nuit, mais toute la surprise se lit sur ton visage lorsqu’elle te questionne. « Where’s the furniture you wanted to try? » Ta bouche s’ouvre et se referme alors qu’un sourire en coin commence doucement à les étirer. Elle en veut encore. Tu le comprends lorsqu’elle se décale légèrement pour produire de nouveau va-et-vient. Ton membre se durcit à nouveau sous la provocation, appuyé par de nouveaux souffles de plaisir. Tu en veux encore et c’est la deuxième fois. Visiblement, il vous sera vraiment difficile de ne pas remettre le couvert plus souvent tous les deux, compte tenu du fait que vous semblez déjà dépendants du plaisir que vous vous infligez. Tu ne réponds pas à sa question, elle se contente de se séparer de toi dans une plainte signifiant qu’elle se plait déjà dans le deuxième round. Tu te relèves un peu difficilement, étourdit par le premier orgasme. Elle se marre, mais tu la soulèves une nouvelle fois pour démarrer ta vengeance...sur la table. « Nope! Nope nope nope. We eat here, for fuck’s sake! » Tu fronces les sourcils, feignant un air offusqué. « So? We don’t eat directly on the table. » C’est vrai quoi, personne n’en saura rien. Sauf Aleks, qui doit certainement maintenir son oreiller sur sa tête en ce moment. Quoiqu’il doit être trop défoncé et crevé pour s’être réveillé. Ça la fait tout de même sourire, même si elle tente de masquer son amusement en se mordant la lèvre. « Or… Well, yeah, no. » Tes bras retombent le long de ton corps, tu souffles avant de passer tes deux mains dans tes cheveux. « You’re fucking picky. » Tu râles en la suivant du regard lorsqu’elle descend de la table, mais elle t’attrape la main pour te guider ailleurs. Vous entrez alors dans une pièce qu’elle vous a juste fait visiter à votre arrivée, tu n’y es pas entré depuis en sachant qu’il s’agit de son bureau. « Ahw… Even better. » Tu souffles dans un ricanement. Tu voulais une surface dure, elle t’en offre une meilleure avec un miroir en prime. Elle veut vous observer dans votre entièreté, ne pas manquer un seul épisode de votre deuxième partie.Tu te colles à elle, alors qu’elle te guide, resserres votre étreinte, embrasses ses lèvres lorsque sa tête se repose doucement sur ton épaule. La vue qu’elle t’offre ensuite, provoque ton myocarde qui loupe plusieurs battements alors qu’elle se penche en avant sur le bureau. Tu te mords la lèvre pendant qu’elle t'observe dans le miroir, te rapproches d’elle avec le même air impertinent. Ta vigueur caresse doucement l’épicentre de son plaisir, tu te délectes déjà de ses premières réactions, puis tu ne la fais pas languir plus longtemps avant de t’insérer une nouvelle fois en elle, soupirant ton extase avec elle. Tes gestes appuyés, tes mouvements fermes et puissants brusquent la rouquine qui y répond en exprimant son plaisir à voix haute. Ses gémissements te possèdent et son reflet trahit son expression, dominée par l’envie, le pouvoir qu’elle te donne et ton besoin de la soumettre au délice que tu lui infliges. Ana se redresse un peu, quémande une ardeur plus prononcée alors qu’elle t’intime d’un geste de lui saisir le cou. Un soupire de plaisir s’échappe de ta gorge tandis que attrapes doucement ses cheveux. Tu es néanmoins assez vite engourdi malgré ton approche de l’apothéose. La rouquine le comprend et se détache pour se retourner et venir se coller à toi. Elle t’embrasse vigoureusement pendant que l’une de tes mains glisse sur sa nuque pour appuyer davantage les baisers, tandis que ton autre main saisit fermement l’une de ses fesses. Tu n’en peux plus, tu veux reprendre votre acte là où vous l’avez laissé et c’est au lit que vous choisissez de le terminer. Tu reviens sur elle et n’hésites pas une seconde pour t’unir de nouveau à elle. « You’re so good to me… » Ton bassin amplifie les mouvements et tes gémissements se font plus sensuels, signe que tu t’approches grandement de la fin. Les mots de la rouquine saccadent sous les secousses et l’expression de son plaisir. Tu deviens fou alors qu’elle mêle sa langue à vos baisers, tes lèvres se réfugient dans son cou et leur pression est si intense qu’il restera quelques marques de ton passage au-dessus de son épaule. « Fucking me so well. » Comme de l’essence sur les cendres qui brûlent dangereusement au fond de toi, le brasier se déclare avec ses quelques mots tant explicites. Tu poursuis en soufflant ton plaisir à son oreille en même temps. « I know you’re gonna miss me. » Tu te redresses pour la dominer encore plus, saisis ses cuisses pour qu’elle puisse se cambrer autant qu’elle le souhaite pour accueillir la puissance de tes secousses au coeur de son bassin et ressentir toute leur intensité. « I’ll remember this for a very long time. You’re such a good lay. » Tu avoues, l’air plus sérieux, mais tu te trahis en gémissant encore. « Will you cum for me? » Son innocence te fait louper un battement, tu as envie de rendre sa jouissance encore plus intense alors le bout de tes doigts chatouillent l’épicentre de son plaisir tandis que ta vigueur continue d’opérer en elle. « If there were a third time, I’d have done it on top of you so that you could watch everything. » Tu te mords la lèvre en t’imaginant finir votre danse de la sorte, un jour. Peut-être que cela restera de l’ordre du fantasme, mais pour le moment, tu te contentes de la voir possédée par le plaisir que tu lui infliges. Ses plaintes sont si intense qu’elles réveillent les tiennes, et au fond de toi tout s’enflamme. Tu libères ton orgasme avant Ana, tu l’exprimes à haute voix sans te soucier de la force mise dans les sons. La rouquine ne tarde pas à venir après toi alors que tu profites encore de la forte cadence imposée.

Haletant, tu te penches au-dessus d’elle, rivant ton regard dans le sien. Tandis qu’elle réfugie une nouvelle fois ses mains dans tes cheveux, c’est à ton tour de la remercier. Tu lui offres une conclusion en embrassant ses lèvres tendrement et prolonges le baiser pour en profiter un maximum. Tu te détaches délicatement, chatouilles le bout de son nez avec le tien et l’observes encore un peu avant qu’un sourire en coin ne se dessine, trahissant l’ironie des prochains mots à venir. « Now you can go back to your room. Thanks. » Tu éclates de rire en te laissant tomber à ses côtés, le bras plié en guise d’oreiller. « I’m kidding. » Tu captes son attention et échanges un intense regard avant de remonter le bout de tes doigts jusqu’à sa mâchoire que tu caresses avec ton pouce. « Stay a little. » Tu murmures pendant que ton regard se détache pour profiter de sa nudité. Tes doigts glissent lentement sur son sternum, tracent la courbe de son sein. Tu poursuis toujours à voix basse, dévorant sa beauté des yeux. « I liked it. A lot actually. » You loved it, mais tu gardes le compliment pour une autre fois, en espérant que cela se reproduise. Ana a clairement détrôné l’ensemble de tes conquêtes en une heure, elle a pu se caler sur une certaine endurance, sur le plaisir et l’impact que les mots ont sur vos corps, elle n’a honte de rien, elle n’a pas une once de timidité en elle. Elle est capable de tout pour parvenir à ses fins et cette personnalité est une énorme trouvaille pour toi. Vous vous êtes mutuellement agacés et défié… you loved it.  « You’re good at this. » Tu effleures une dernière fois la pointe de son sein avant de récupérer ta main pour l’accrocher à ton bras plié. Tu te mords la lèvre avant de replonger tes prunelles dans les siennes. « But we already did it twice so you broke the rule yourself. » En te prenant une petite tape vengeresse dans les côtes, tu as un mouvement de recule accompagné d’un rire. Lorsque tu retrouves ton calme et reportes toute ton attention sur elle, tu attends encore que le silence se réinstalle pour poursuivre. « I’m glad you did. »

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Adriana Parker

Adriana Parker
kiss me hard before you go

≡ POSTS : 494 if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) Ana11
≡ ÂGE : 25, Jesus Reborn (25/12/1994)
≡ SURNOM : Ana, et c'est comme ça que tout le monde l'appelle d'ailleurs.
≡ OCCUPATION : Après le fiasco de la tournée européenne, et après avoir mis fin à cette même tournée, Now or Never n'est quasiment plus - ou du moins, il n'en reste que les CDs et autres tee-shirt. Sa vie de chanteuse et musicienne se voit mise en pause. Elle est toujours tatoueuse au Daddy's Closet, à des horaires moins importants cela-dit.
≡ STATUT CIVIL : Situation délicate, coincée dans ce qu'il reste d'une relation qui ne tient plus debout depuis quelques mois déjà.
≡ ATTIRANCE : Men & Women
≡ LOGEMENT : Une petite maison, où le sous-sol est aménagé en studio de musique, qu'elle partage depuis peu avec deux polonais (dont un russe) qui prennent beaucoup de place. #51 twin peaks
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You don't wanna take that jump (Dawn #02)
Good grief (Anton #02)
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Crash and burn (Dawn #03)
The end part I (Ashton #06)
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Trouble never looked so fine (Marek #02)
With all due respect, I really want to fuck you (Marek #03)
The end part II (Ashton #07)
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Wild youth (Marek #04)
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≡ AUTRES VIES : Leo & Mila
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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyVen 31 Juil - 1:03


Maybe I would like you better if you took off your clothes
marek

Maybe I would like you better if you took off your clothes, I'm not playing with you, baby I think that you should give it a go She said, Maybe I would like you better if you took off your clothes I wanna see, and stop thinking If you're too shy, then let me Too shy, then let me know

Une première apothéose ne te suffit pas, tu en veux plus et lui aussi. Tu déclenches une nouvelle fois son désir, te fais joueuse pour qu’il te suive, râles qu’il râle, le conduis finalement à une nouvelle destination qui signe une seconde extase – et la fin de la danse, déjà, mais ô combien délicieuse. Tu es essoufflée, ta cage thoracique se soulève furieusement, tes poumons brûlent, ton palpitant s’agite encore – malgré tout ça ce sont les endorphines qui prennent le pouvoir, tu es satisfaite, tellement, tellement satisfaite, de sentir les vagues d’extase s’échouer partout dans ton corps, même maintenant que Marek n’y est plus. La douceur du polonais qui fond sur tes lèvres te surprend, mais tu comprends où il veut en venir, tu comprends que c’est la dernière fois que vous vous embrassez et surtout la conclusion de votre moment charnel. Alors tu t’appliques, toi aussi, te fait tendre avec tes lèvres, profites d’en avoir le droit pour caresser son dos mais surtout ses cheveux, te laisses embraser une dernière fois sous sa proximité. Tu souris lorsqu’il se recule, seulement un peu, lâches un rire léger lorsqu’il cogne doucement son nez contre le tien – son putain de grand nez, oui. L’air est adorateur alors que vos regards s’accrochent, que vos souffles lourds s’emmêlent encore un peu. Le myocarde loupe me coche quand il commence à sourire, tu as déjà envie de lever les yeux au ciel. « Now you can go back to your room. Thanks. » Tu ris, pourtant, mais réponds avec verve immédiatement. « No no no, thank you! You can go back to Poland, now that we’ve shagged. » Tes sourcils se froncent pour témoigner ton sérieux, mais vous ne l’êtes pas et finissez par rire. « I’m kidding. » Qu’il précise, tout de même, en reprenant sa place à tes côtés. Tu lèves les yeux au ciel, finalement, mais ton sourire te trahit largement. « Asshole. » Qu’tu souffles avec amusement en te tournant vers lui. Tu laisses ta tête reposer sur son oreiller, t’y enfonces un peu parce que tu te sens bien, souffles ton contentement de l’avoir sous tes yeux. Les fourmillements sont toujours largement présents dans ton corps et c’est à peine si tu t’en remets. Tu te réchauffes sous son regard, encore, même si les provocations sont terminées. Il y a quelque chose, chez Marek, qui t’attire et t’attise irrémédiablement. Tu ne saurais pas l’expliquer. « Stay a little. » C’est parce qu’il initie le contact, te brûlant la peau, que tu décides d’en faire autant. Tu comprends le principe des mèches longues, maintenant, quelque chose à quoi se raccrocher alors qu’il t’emmène au septième ciel, mais bon sang qu’est-ce qu’elles t’agacent à ne pas tenir en place et à te cacher les prunelles marrons. Tes lèvres s’étirent naturellement en un sourire, alors que sa main se fait baladeuse une dernière fois, la tienne dépose des caresses contre sa mâchoire. La demande te fait fuir, généralement, mais tu es assez bien en présence du brun et vous avez assez mis les choses au clair pour que tu ne ressentes pas l’envie cette fois – il faut dire que, à part à l’étage, il n’y a pas tellement d’endroit où tu pourrais aller. « ‘Don’t think I can stand right now. » Tu commentes, dans un ton amusé, avant de pousser un autre soupir d’aise. Il te faut un petit temps, pour te remettre de tes émotions certes, mais surtout pour que ton corps retrouve un fonctionnement un tant soit peu normal.

« I liked it. A lot actually. » Tu échappes un nouveau rire, tends légèrement le menton en avant. « Yeah? I had that impression. » Tu lui réponds, toute pleine d’arrogance, terriblement amusée – il part vraiment dans cette discussion ? Vous revivez les moments forts, vous donnez quelques conseils pour améliorer vos performances à l’avenir, aussi ? Tu le lâches, attrapant plutôt l’oreiller pour te tenir à quelque chose. « You’re good at this. » Tu hoches la tête, ta joue frotte le tissu mais tu t’en fiches un peu. Tu essaies surtout de ne pas trop rire. « What is it that you said? I’m a good ‘lay’?! » Tu éclates d’un rire léger, finalement incapable de t’en empêcher, clairement amusée. Tu n’as pas relevé, sur le coup, trop occupée à t’approcher de la jouissance – c’était dans l’feu de l’action, mais t’es ra-vie d’avoir reçue une gomette étoile dorée de la part de Marek. « I quite enjoyed myself, thank you very much. » Tu souffles, moins fourbe, plus sincère. Tu ne commentes pas la perte de son contact, il est temps de redescendre, de mettre fin à cette liaison dangereuse. « But we already did it twice so you broke the rule yourself. » Ah ! Forcément, il faut qu’il la ramène. Tu siffles, transgresses finalement l’espace pour enfoncer tes doigts dans ses côtes. Il se moque, il a beaucoup trop apprécié jouer à te torturer, tu lui as donné trop de pouvoir. « Don’t be narrow-minded now, when I said ‘one time’ I didn’t mean ‘one orgasm and then back to your room’. » Pas d’insulte à la fin de ta phrase, le débit est suffisant pour qu’il comprenne le sous-entendu. « And… You said you wanted more. » Et puis, zut, t’avais envie de baiser, vous avez baisé, il faut vraiment que tu te justifies ?! C’est écrit avec beaucoup de délicatesse, fiou. « I’m glad you did. » Tu passes ta langue sur tes lèvres, encore capable de l’y sentir, pour toutes les fois où il est passé dessus et les a mordu… Tu échappes un mince mais long soupir, en même temps qu’un frisson te parcourt l’échine. « I’m glad I did, too. » Tu laisses un sourire s’épanouir, lentement, alors que ton regard ne quitte plus la chaleur du sien. Tu es toujours convaincue de ta comparaison avec Apollon, les traits prononcés de son visage gagnent toujours leur affolement de ton palpitant. Ce n’est pas nouveau, ça, tu ne le nies que parce que tu le dois. « I’ve been wanting this for a while… You’ve more than met my expectations. » Et ça va être si dur de devoir te tenir à cette règle que tu as fixé toi même, tu risques d’avoir du mal à résister maintenant que tu as goûté au fruit défendu… Mais si tu es très honnête, tu sais bien que ce n’était qu’une question de temps avant que vous ne craquiez, aimants trop attirés l’un par l’autre pour ne pas céder à l’envie au moins une fois. C’est plutôt la troisième, à vrai dire, que tu transgresses les règles en te laissant aller avec lui. Tu échappes un court gémissement, fatiguée, sentant l’instant se prolonger inutilement. Tu sens que c’est le moment pour toi de t’éclipser – ton corps te le fait bien sentir également. Tu esquisses un sourire avant de te redresser, attrapes ton débardeur qui traîne sur un accoudoir pour l’enfiler, récupères le peu de vêtements que tu avais pour te rhabiller sans mise en scène. Tes muscles t’élancent toujours mais tu te sens foutrement bien, apaisée. Ton estomac se contracte lorsque tu es prête, tu hésites une seconde avant de te mettre à nouveau à genoux aux côtés du polonais. Tu n’as pas pu y résister le premier soir où il a dormi ici, tu ne peux toujours pas t’en empêcher, tu repousses les mèches brunes du bout des doigts avant de te pencher pour lui embrasser délicatement une joue. Tu voles quelques derniers instants d’intimité avec lui, de tendresse qui ne vous ressemble pas. La seule et unique fois. « Thanks for tonight… » Tu chuchotes, toujours proche de ton visage. Tu t’attardes, une seconde de trop, t’enivres une dernière fois de lui avant d’enfin le laisser tranquille. « Your bed fucking sucks, by the way. I’m finding you a new one ASAP. » Tu glisses, sur les quelques mètres qui te séparent de la porte, d’une voix un peu plus forte – et tu comptes vite le virer au sous-sol, aussi, tu n’es pas certaine de pouvoir continuer à évoluer dans le salon sans repenser à votre moment.

Tu t’endors à l’instant même où tu regagnes ton lit, pour ne te réveiller que quelques heures plus tard plus reposée. Tu as un peu mal au crâne, à cause de la weed consommée la veille et du peu d’heures de sommeil, mais tu ne t’en formalises pas. C’est parce que tu n’as aucune exigences d’horaires que tu prends ton temps, profites que la salle de bain soit libre pour prendre une douche, en ressors les muscles plus détendus. Les punks sont en train de converser et de manger un semblant de repas dans la cuisine quand tu les rejoins. « You! » T’agresse Aleks et tu fronces les sourcils dans sa direction, confuse, déjà en chemin pour te saisir de la cafetière – ça pue la mort, ce café, c’est Marek qui l’a fait. « I? Hello? » Le russe t’observe, les yeux plissés, tu ne sais pas si tu dois te formaliser de son air inquisiteur ou du silence de son comparse. Tu oublierais presque l’activité à laquelle tu t’es adonnée avec ce dernier, un peu plus tôt, et qui peut largement avoir dérangé le troisième coloc. « You’ve got one too! » Il te montre une épaule du doigt, tu es obligée de te tordre un peu le cou pour voir ce qu’il désigne vraiment – une marque rougeâtre et ovale. Tes lèvres s’étirent en un sourire alors que tu comprends où le russe veut en venir, tu hausses les épaules en croisant son regard. ‘Yeah, I got one too, so what.’ Il pousse un soupir, excédé, son attention court entre Marek et toi et c’est toujours en souriant que tu vérifies que le sourire en coin est affiché sur le visage du polonais – il y est. « You’re goddamn beasts, the both of you. I’m going to live with Mila. » Grand bien lui fasse, plus besoin de chercher un lit pour son pote puisqu’il n’aura plus qu’à prendre la chambre. Outre cette indignation d’Alekseï, l’incident n’est pas plus évoqué que ça. Marek se prépare pour son entretien avec le journal de la ville, tu l’aides à cacher les rougeurs témoins du bon temps passé à tes côtés qui pourraient le discréditer auprès de ses potentiels futurs employeurs. Aleks file zoner devant la console – tu as tout de même pris la peine de le prévenir de ne pas s’attarder sur le perds du temps parce que l’arrivée des garçons t’a fait perdre ton organisation dans ton bordel qui concerne le Daddy’s, entre ta chambre et le bureau nouvellement acheté, nouvellement souillé aussi, tu as donc essayé de faire un tant soit peu de rangement avant de filer au salon. Alex s’est fait inonder de mails pendant l’été et a pris du retard, tu occupes une bonne partie de ta journée de travail non officielle – et toujours non payée – à les trier, répondre aux plus urgents, répartir les projets entre les trois tatoueurs présents. C’est le grand luxe, ton retour inattendu et les deux après-midi que tu récupères à partir de la semaine prochaine devrons permettre de remettre le Daddy’s sur le droit chemin – et Alex et Stephen ont été plutôt ouvert sur l’idée de continuer comme ça même lorsque tu reprendras officiellement ton poste, inversant les horaires actuels avec le remplaçant. Même si tu as envie d’y replonger, dans ton boulot de tatoueuse, tu te sens encore fébrile après les derniers événements. Tu sens aussi que tu as envie d’autre chose, de complètement neuf, même si tu ignores quoi pour l’instant. Le nouveau venu a l’air déjà bien intégré, ça peut ne pas être une mauvaise chose qu’il reste parmi vous encore un peu.

Tu es fatiguée d’une bonne fatigue lorsque tu rentres chez toi, c’est la surprise d’une maison vide qui t’accueille, Aleks doit être parti au boulot et Marek est toujours en vadrouille. Tu traînes, ranges un peu – vraiment, le bordel s’installe vite dans le salon. Tu hésites de longues minutes, le rythme cardiaque agité, parce que Benny te fait de l’oeil et que tu es toute seule. L’envie… d’essayer, de retrouver l’instrument, à défaut de véritablement jouer te démange. Tu finis par y céder, le cœur au bord des lèvres lorsque la pulpe de tes doigts retrouvent la familiarité des cordes, lorsque l’instrument reprend la place naturelle contre toi. Tu finis par lâcher un soupir, t’asseoir sur un accoudoir du canapé après t’être câblée sur l’ampli. Les premières notes sont hasardeuses, tu te lances dans une vieille mélodie inventée avec Anton dans votre garage, celle qui te permettait de pratiquer les changements d’accords qui t’embêtaient tellement à l’époque. Tu finis par sourire, te détends petit à petit et te laisses finalement porter par le courant. Tu ignores combien de temps tu t’y appliques, tu joues tout simplement, bien que l’idée de jouer un titre de ton groupe te met toujours mal à l’aise. Tu es tellement lancée que tu n’entends pas la porte d’entrée claquer, ne fais attention à rien d’autre qu’à cette vieille Benny. Tu sursautes lorsque tu vois Marek planté dans l’encadrement de la porte, l’accord dérape avant de mourir et tu romps le silence avant même qu’il ne s’installe. « Fuck! I… Haven’t heard you come home. » Tu as l’impression d’être prise en faute, alors qu’il n’y en a pas. Tu es chez toi, c’est ta guitare, tu es musicienne, tu fais bien ce que tu veux. Pourtant… Ça fait presque trois semaines que tu n’avais pas joué. Pas depuis le dernier concert que tu as dû donner avant de rentrer à San Francisco. Tu lâches un court soupir, secoues la tête pour t’échapper de cet instinct coupable. Puis tu vois les fringues qui lui ressemblent à peine, et tu te souviens. Tu te redresses, laisses la guitare à tes côtés, « So!… », tu commences à sourire, poses tes mains sur tes genoux alors que ton attention se porte entièrement sur le polonais. « How was your interview? Are you a real journalist or have you been lying to me the entire damn time?! » Taquine, toujours.
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Marek Zydorczak

Marek Zydorczak
Polish punx ftw

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≡ OCCUPATION : Journaliste-photographe et historien du social.
≡ STATUT CIVIL : Célibataire et compte bien le rester.
≡ ATTIRANCE : Tout le monde, sauf les animaux et les enfants.
≡ ASPIRATION : À partir du moment où on ne te sépare ni de ton ampli, ni de ton pedalboard, ni de ta guitare, tout va bien. Tu n’as aucune idée de ce qui pourrait t’attendre demain, tu t’en contre-balances.
≡ LOGEMENT : Gros squattage au #51 Twin Peaks, chez Ana Parker.
≡ AVATAR : Pierre Niney
≡ CRÉDITS : Snapdragon (av) non uccidere (sign)
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≡ AUTRES VIES : Dawn, l'autre polak; Bart, le relou.
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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyLun 3 Aoû - 20:48


I am not enough.
I’m not the demons in your lungs.
Ana

Speak spoken love, offer nothing from your heart. I watched you fake a laugh. It was hard for you. We let the time just pass, but it was hard for you. And every simple task, I noticed it was hard for you. Should have released my grasp, but it was hard for me too.

« Don’t be narrow-minded now, when I said ‘one time’ I didn’t mean ‘one orgasm and then back to your room’. » Le doigt enfoncé dans tes côtes te force à sursauter pour t’écarter de cette vile agression en réponse à ta fourbe remarque. Tu ricanes parce que tu exagères et respectes son règlement à Ana, même si tu aimes la remettre en question. Ses réactions sont priceless. Tu as vu des coups d’un soir bien pires, venant de toi ou de tes partenaires. Il t’est déjà arrivé de te rhabiller et de partir immédiatement après les faits, parce que pour certain.e, la discussion n’a pas lieu d’être après le sexe. Dommage, t’aime bien parler et déconner, mais visiblement ça ne plaît pas à tout le monde. « I’ve been wanting this for a while… You’ve more than met my expectations. » Ton sourire s’élargit. Il ya cette complicité entre vous, celle qui a dû naître dès les présentations il y a plusieurs mois de ça lorsque Ana est arrivée en Europe avec son groupe et il n’y a rien de mieux que d’échanger un moment tel que celui auquel vous venez de mettre un terme pour en jouir pleinement, littéralement. La rouquine a ce petit quelque chose que tu n’as pas réellement trouvé ailleurs chaque fois que tu t’es aventuré dans des histoires d’un soir. « Is that… A compliment?! » Tu lâches, le sourire remontant doucement en un coin, cette insolence caractéristique qui l’énerve et dont tu ne te lasseras probablement pas de sitôt. « Well, tell your ego to calm the fuck down because I mean it. You are a very good lay. » Tu maintiens ce que tu penses parce que tu estimes qu’elle a le droit de le savoir. Tu juges que c’est important, ça fait partie de la confiance en soi, surtout lorsque l’on pratique le sexe sans amour et que l’on fait partie d’une génération bourrée de complexes où l’homme comprend à peine que son plaisir personnel n’est pas le seul en jeu dans une partie de jambes en l’air. Tu n’as pas honte de le lui avouer non plus. Elle est douée, elle t’a plu, tu voudrais bien remettre le couvert un autre jour, mais c’est non, donc tu respectes son choix aussi. Vous vous attardez encore un peu, jusqu’à ce qu’Ana décide de mettre les voiles. Tu l’observes une dernière fois, détailles ses formes en la dévorant des yeux sans t’en cacher. Elle semble avoir mal partout et ça te fait ricaner de la voir se pencher doucement pour ramasser ses affaires, comme si ses jambes menacent de la lâcher d’une minute à l’autre. Oui, clairement, vous n’y êtes pas allés de main morte pour une première fois. Enfin, après une nuit de sommeil, elle s’en sera facilement remise. Parée de ses vêtements de nuit, elle se tourne une dernière fois vers toi pour se pencher et t’embrasser la joue. Tu en profites pour glisser ta main dans les mèches rousses et poser bruyamment tes lèvres sur le bout de son nez. « Thanks for tonight… » Tu attends qu’elle se retire et commence à s’éloigner pour glisser un bras derrière ta tête, assumant totalement ta nudité, ta main libre se lève pour effectuer un salut scout. Dernière petite blague pour la route. « Anytime! Call me tonight! » Tu ne cesseras pas de la taquiner sur le règlement fraîchement mis en place entre vous, elle en profite pour critiquer ton lit temporaire. « Your bed fucking sucks, by the way. I’m finding you a new one ASAP. » Allongé, tu hausses quand même les épaules. « I can sleep in your bed. But it’s more interesting if you were in it. » c’était la dernière petite blague.

Tu profites du nouveau silence pour contempler le plafond, les pensées vides. Lorsque tes yeux commencent à se faire lourds, tu revêts ton unique habit pour la nuit avant d’aller te glisser sous ta couverture. Une lumière éblouissante noie le salon, mais tu parviens à t’endormir en quelques minutes, profitant d’un sommeil court mais réparateur. Ça va aller, t’as l’habitude, on le sait. Tu croises Alekseï au réveil, il ne manque pas d’aller te pomper l’air en venant presque s’asseoir sur toi dans le lit qui normalement t’es dédié - quel enfoiré, il a un vrai lit, lui ! - mais il parvient à te faire sortir de ta tanière pour que tu files à la douche. Lorsque tu reviens, il a déjà préparé le petit déjeuner, comme il le fait tous les matins depuis que vous êtes arrivés. C’est avec une tête dans le cul en puissance que tu avales ton café, grinces des dents chaque fois que tu croises une coquille dans le journal que tu survoles sans vraiment trop lire ce qui s’y dit. Ana débarque plusieurs minutes plus tard et vous agissez comme si de rien n’était. Ça ne te choque absolument pas, c’est ton mode opératoire habituel, depuis toujours, mais le calme était plaisant… jusqu’à ce qu’Aleks se mette à gueuler et que tu sursautes. « You! » Juste à côté de ton oreille ! Ça suffit, oui ?! « You’ve got one too! » Tu suis le regard du Russe, plisse les yeux à ton tour pour remarquer l’énorme suçon que tu as laissé dans le cou de la chanteuse. Tu hausses les sourcils une seconde, straight face mode, et dissimules ton envie de ricaner aux yeux de tous. Tu réponds d’une voix ensommeillée, tes premiers mots de la journée. T’es clairement pas du matin quoi. « It’s a birth mark. » C’est un mensonge pitoyable que tu déclares en reportant ton attention sur le quotidien et si tu n’étais pas aussi bon menteur, tu te mettrais à rire.  « You’re goddamn beasts, the both of you. I’m going to live with Mila. »  Pourtant, le brun fraîchement rasé n’en loupe pas une, mais tu ne démords pas de ton affirmation aussi facilement. Bon menteur, on a dit. « It’s a fucking birth mark! Stop being paranoid! » La tâche de naissance partira dans trois jours, mais quand même. C’est une tâche de naissance ! Tu t’exclames, l’air sérieux avant qu’il ne feigne un gag reflex en embarquant son café et son assiette pour aller manger à l’extérieur. Tu sors à peine de la brume - ça te va plutôt bien d’avoir posé tes valises à San Francisco, compte tenu du fait que tu peines autant à te réveiller. T’as un point commun majeur avec la ville - quand Ana te propose son aide pour choisir ton attirail visant à séduire tes recruteurs au San Francisco Chronicles. Elle hallucine un peu lorsque tu sors tes fringues encore bien pliées de ta valise. Il y a deux personnalités différentes emprisonnées là-dedans. Le Marek alternatif et le Marek professionnel. Vous évitez rapidement la pile où tu aperçois un t-shirt du groupe Loma Prieta sur le dessus - ça fera tâche en plus pour un entretien à SF - pour vous intéresser immédiatement au reste. Tu n’as aucune pudeur et te changes devant elle, c’est un match direct. Chino, chemise manches longues pour dissimuler tes tatouages et les marques qu’elle t’a aussi laissé ce matin, docs basses… Elle valide.

Tu ne tardes pas à quitter la maison ensuite, la tête encore un peu ailleurs. Disons que la ‘nuit’ a été courte. Tu files en premier chez le photographe-imprimeur. La veille, tu lui a laissé tes négatifs ainsi qu’une grosse commande en prime. Il te montre les premiers tirages et tu prends le temps de les observer un par un. They’re incredible. Thank you so much. » Avoues-tu en observant les clichés un à un sans lui adresser un regard, plongé dans ton travail à la recherche du moindre détail qui pourrait nuire à ton résultat. Lorsque tu as tout parcouru, tu poursuis. « Have you printed the books? » De sous son comptoir, il te sort deux épaisses reliures. Tu siffles lorsque les couvertures identiques se révèlent sous tes yeux. Il a vraiment bien bossé et le prix en vaut la peine. Le papier, plutôt épais te plait car il ajoute un grain aux photographies, les couleurs - lorsqu’il y en - sont parfaites et tes noirs et blancs sont également bien mis en valeur. Il n’y a pas de bavures, les textes et légendes sont bien visibles, tu n’as rien à redire. C’est après avoir échangé ta commande contre plusieurs billets que tu salues ton vendeur pour te rendre au siège du journal où tes recruteurs ne sont pas pressés de t’accueillir. Tu attends longuement dans une salle d’attente vitrée donnant sur une open space où plusieurs employés s’agitent pendant que d’autres comatent derrière leurs ordinateurs. C’est un homme dégarni assez grand et de large carrure qui t’accueille. Tu lui sers la main lorsqu’il t’appelle par ton identité entière et écorche ton nom de famille bien salement. Tu le reprends, parce que tu détestes ça et que c’est quand même pas bien compliqué de prononcer Zydorczak. L’interview se passe plutôt bien. Une directrice de publication te pose des questions en ping pong avec le recruteur qui parvient à prendre des notes en même temps. Ils se passent ton portfolio au format livre et s’arrêtent même sur les textes qu’ils survolent. Ils ont apparemment bien étudié l’un de tes articles publié dans un magazine d’histoire international cette année et ont constaté que tu pourrais leur apporter encore plus si tu pouvais également fournir des clichés à leur journal. Mouais, c’est sympa pour ceux qui n’ont pas l’une de tes deux qualifications - à savoir l’écriture et la photographie, mais tu ne vas pas cracher sur leur avarice ce coup-là parce qu’ils refusent d’embaucher deux personnes plutôt qu’une. T’as besoin de thunes pour vivre, faire des économies pour louer un appart et, par extension, aider Ana avant que tu ne puisses lui rendre sa liberté. Tout se conclut assez rapidement ensuite, ton coeur et ton estomac font un backflip lorsque la directrice te demande de suivre ton recruteur pour aller te faire prendre en photo afin de décorer ta carte de presse de ta superbe trogne. T’es refait ! Tu vas enfin pouvoir bosser normalement, avoir un salaire presque fixe en combinant deux de tes passions - jusqu’à ce que t’en ais marre de la routine, en fait.

Tu ne t’annonces pas en rentrant parce que tu as encore tes écouteurs dans tes oreilles, deux cafés et un sac en papier rempli de pâtisseries dans chaque main. Tu fermes doucement la porte parce que tu galères et lorsque tu coupes la musique agitée qui a rythmée ton trajet de retour, tu entends le son d’une guitare dans le salon. Tu pensais pourtant que Aleks était parti bosser, mais aurait-il repris la guitare d’Ana au sous-sol ? Parce que ce son ne correspond pas à vos instruments respectifs. Tu te places dans le cadre de la porte. La rouquine est trop focalisée sur ses accords pour remarquer ta présence. Tu te contentes de reposer les cafés et les croissants sur la table basse avant de te débarrasser de ton tote bag sur un fauteuil assez proche. Visiblement, ton geste a attisé la stupeur de la tatoueuse. Elle est tellement brusquée qu’elle loupe une note. « Fuck! I… Haven’t heard you come home. » Tu te retournes à moitié pour pointer la porte du doigt tout en gardant ton regard rivé dans le sien. « Oh! I can go back to the door and shout ding dong loudly, if you want! » Pendant que Ana se remet de ses émotions et repose sa guitare contre le mur, tu rapproches un café que tu lui tends et après qu’elle s’en soit saisi, tu ouvres le sac en kraft contenant les croissants. Tu évites de la complimenter sur le son qui se dégageait de l’ampli ; si elle joue seule - surtout que depuis le dernier concert auquel tu as assisté, tu ne l’as pas revue gratouiller ses cordes - c’est qu’elle a une bonne raison de se cacher. « How was your interview? Are you a real journalist or have you been lying to me the entire damn time?! » Sourire en coin, tu ricanes avant de te saisir de ton tote bag reposant autrefois sur le fauteuil. « That’s tempting but no. » Tu en ressors la carte de presse suspendue à un cordon tour de cou et lui tends. « Meet the new Marek Zydorczak, part time journalist for the San Francisco Chronicles! » Tu t’assois ensuite en face d’elle, guettant la moindre grimace puisque tu t’imagines qu’elle va buguer sur la photo tout juste prise au siège du journal. « Yeah, I should remove the part time detail, it sucks. But that’s not all, look. » Tu détournes ton attention de la tatoueuse pendant un instant pour sortir l’un des bouquins fraîchement imprimé et le pose devant elle sur la table. « I made this a few nights ago. There are pictures from this summer festivals, from the last years too and my favourites. The older one was taken ten years ago, I think. » Une photo de ta mère concentrée sur un tableau dans son atelier en plein hiver, en train d’expliquer à ton père son choix de palette, prise sur le fait à désigner des détails, l’index un peu flou. Il y a aussi le portrait que tu as pris d’Ana dans le jardin, une photo des Now or Never en coulisses en train d’éclater de rire avec deux mecs des boots, un portrait de Dawn et d’Aleks entrain de s'échanger un regard complice lors d’une répétition remontant à l’époque de Sanguinarium, quand la blonde était en fait brune… Ton portfolio est en réalité un amas de souvenirs forts, classés et légendés, accompagnés de textes en introduction de chaque chapitre. « Keep it, by the way. It’s yours. » Tu souffles alors qu’elle arrive à la fin du livre.

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Adriana Parker

Adriana Parker
kiss me hard before you go

≡ POSTS : 494 if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) Ana11
≡ ÂGE : 25, Jesus Reborn (25/12/1994)
≡ SURNOM : Ana, et c'est comme ça que tout le monde l'appelle d'ailleurs.
≡ OCCUPATION : Après le fiasco de la tournée européenne, et après avoir mis fin à cette même tournée, Now or Never n'est quasiment plus - ou du moins, il n'en reste que les CDs et autres tee-shirt. Sa vie de chanteuse et musicienne se voit mise en pause. Elle est toujours tatoueuse au Daddy's Closet, à des horaires moins importants cela-dit.
≡ STATUT CIVIL : Situation délicate, coincée dans ce qu'il reste d'une relation qui ne tient plus debout depuis quelques mois déjà.
≡ ATTIRANCE : Men & Women
≡ LOGEMENT : Une petite maison, où le sous-sol est aménagé en studio de musique, qu'elle partage depuis peu avec deux polonais (dont un russe) qui prennent beaucoup de place. #51 twin peaks
≡ RPS : New York kind of love (Ashton #05)
--- breakdown
You don't wanna take that jump (Dawn #02)
Good grief (Anton #02)
--- downhill
Crash and burn (Dawn #03)
The end part I (Ashton #06)
--- finish it
Lost souls (Marek #01)
Trouble never looked so fine (Marek #02)
With all due respect, I really want to fuck you (Marek #03)
The end part II (Ashton #07)
--- try again
Wild youth (Marek #04)
≡ AVATAR : Karol Queiroz
≡ CRÉDITS : (c) ajna
≡ WHO ARE YOU : ginger squid
≡ AUTRES VIES : Leo & Mila
≡ INSCRIPTION : 04/03/2019




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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyMer 5 Aoû - 23:46


Maybe I would like you better if you took off your clothes
marek

Maybe I would like you better if you took off your clothes, I'm not playing with you, baby I think that you should give it a go She said, Maybe I would like you better if you took off your clothes I wanna see, and stop thinking If you're too shy, then let me Too shy, then let me know

Nope, tu n’étais pas prête au retour impromptu de ton coloc – d’ailleurs, tu étais tellement dans ton monde que tu aurais presque oublié que tu as des colocs, maintenant. Il t’offre l’air le plus blasé du monde alors que tu ne t’insurges même pas de son arrivée mais lui fais simplement part de ta surprise. « Oh! I can go back to the door and shout ding dong loudly, if you want! » Il est con. Et tu éclates de rire, relâchant au passage la tension dans tes épaules. « Yeah! Please do that! » Tu fronces les sourcils en acquiesçant vivement, très sérieuse, avant de lâcher un autre rire deux secondes plus tard. Tu plisses légèrement les yeux, guitare au sol, alors qu’il s’approche vers toi pour te tendre un gobelet encore chaud de café. Tes lèvres esquissent un sourire, presque hésitant, tu ne te gênes pas pour le reluquer encore un peu alors qu’il s’éloigne à nouveau pour dévoiler des pâtisseries en plus. The motherfucker cleans up so good. C’est carrément une honte que tu aies à supporter ses jeans dégueulasses – qui lui vont bien, certes – alors qu’il cache ses fringues de vieux hipster dans sa valise – à défaut d’avoir une armoire. « A little bit late for breakfast isn’t it? Thanks. » Avant qu’il ne râle, tu le remercies, tout d’même. Et comme tu es une chic fille et que tu ne possèdes pas un humour pourri, tu ne pousses pas la remarque quant au mauvais timing et que tu aurais préféré recevoir ce présent après votre activité peu catholique de ce matin – aussi parce qu’il va te faire chier avec ça, et que tu aimerais peut-être te faire oublier pour le coup. La tentation s’habille en chemise-chino. Tu lui demandes comment s’est déroulée son interview, pouffes un son amusé sur le plastique du café que tu gouttes du bout des lèvres. Il n’a pas menti mais, jusque-là, il n’a pas de preuves ! Comme toi, à vrai dire. Tu peux lui faire croire que tu es tatoueuse avec tes tatouages, mais du moment qu’il ne t’aura pas vu à l’oeuvre… C’est-à-dire qu’il va vite avoir intérêt à poser son fessier dans ton fauteuil pour que tu répares les éclats que tu as pu observer ici et là dans l’encre noire sur sa peau. En attendant, il attrape un bout de plastique sur lequel on a imprimé sa photo et tu souris un peu plus. « Meet the new Marek Zydorczak, part time journalist for the San Francisco Chronicles! » C’est aussi facile que ça, d’être journaliste, apparemment ! « Whaat? Congratulations! » Tu attrapes la carte presse entre tes doigts et glisses ta lèvre inférieure entre tes dents. Non, tu n’diras rien sur la photo. « Mr Zidorfrfr. » Tu cherches la merde ? Un tantinet peu. « Sorry, that was easy. » Et ça te fait quand même rire, autant pour la blague de mauvais goût que la réaction que tu en retires. Tu observes Marek s’installer sur le canapé, toujours perchée sur l’accoudoir, et lui rends son bien pour refermer tes mimines autour du gobelet offert. « Yeah, I should remove the part time detail, it sucks. But that’s not all, look. » Tu souffles un soupir en hochant déjà la tête. Vu la situation des polonais qui viennent littéralement de débarquer, tu trouves que c’est un miracle qu’ils aient réussi à trouver un boulot aussi rapidement – certes, ils ont l’expérience et une couleur de peau passe-partout, ils n’en restent pas moins étrangers dans un pays où on s’offusquait d’un accent russe il y a cinquante ans (pour être sympas). « Well it’s cool! Can’t wait to see you how you dress up to be a part time teach! » Sans doute comme ça, à vrai dire. Sauf s’il décide d’être un cool et de ramener ses vieux tee-shirts de band… Damn, il va falloir que tu fasses une virée lit et une virée shopping en plus ?

Marek attire ton attention avec un livre qui sent le neuf et brille, tu te fais rapidement curieuse et descends de ton trône pour t’asseoir à côté de lui et te pencher sur la table basse où tu poses le gobelet. Les pages sont tournées sous tes yeux alors qu’il commente son œuvre, littéralement, puisque s’étalent devant toi des clichés accompagnés de quelques textes que tu ne prends pas le temps de lire. Tu sens ton palpitant s’agiter sous la nouveauté et tu te mets à sourire, retenant des détails ici et là. Tu as surtout l’impression de voir à travers l’oeil du polonais et le sujet t’intéresse pas mal, ça te fait plaisir de découvrir des petits pans de sa vie ainsi. « That your parents? » La légende a beau être en polonais, il y a quelques petits mots universels comme ça que tu comprends. L’ordre est à peine chronologique, tu as l’impression. Tu te marres franchement devant des photos (exclusives!) de Sanguinarium, pour la tête d’ado attardée d’Aleks et une nouvelle facette de Dawn – le darkside. « Damn, Dawn can rock every hair color I’m fucking jealous. » Tu n’es pas allée plus loin que ton châtain naturel, vite redécoré en roux, parfois tirant sur le blond quand tu oublies d’aller chez le coiffeur. Tu as essayé, d’être brune, à seize ans… Tu as vite regretté. Les photos deviennent de plus en plus récentes et tu sens l’affolement, de reconnaître la série de festivals sur lesquels vous vous êtes rencontrés et découverts. Tu sens les degrés grimper, lentement mais sûrement, et une légère panique te prendre alors que ton regard atterri sur une photo en coulisses. Tu t’appuies sur Paige qui a un bras autour de ta taille, Dawn lève une main en l’air à côté, Anton et Ashton sont présents quoi qu’un peu de dos et participent au débat avec vivacité. Ta mâchoire se serre, tu souffles. « Shit… » Tu as l’impression de t’entendre rire, encore, et le bourdonnement de tes oreilles vient tuer le son alors que le constat se fait immédiatement : c’était avant. Avant l’appel de ton père qui t’a ramené à la réalité, avant que tu ne grimpes sur le garde-corps de pierre pour te faire brutalement ramener du bon côté – d’après qui, tiens. Tu as la gorge serrée sur les quelques dernières pages, jusqu’à ce que tu tombes sur la photo prise il y a quelques jours dans le semblant de jardin que vous avez. Une Ana différente, fatiguée. Une grosse larme tombe sur le papier glacée sans que tu ne puisses réagir. Tu marmonnes un autre juron, te dépêches de la chasser du bout des doigts et de passer une main sur ton visage pour enlever la faiblesse par ici également. Tu n’étais pas prête, à voir tout ça. Tu ne le savais pas, lui non plus. « Keep it, by the way. It’s yours. » Le ton est beaucoup trop doux et l’attention différente du Marek habituel – le taquin qui aime t’emmerder d’un rien. Tu sens ton palpitant s’emballer, pour de trop nombreuses raisons, et tu essaies de souffler un bon coup pour te défaire de la salve d’émotions qui t’assaille. « I… » Tu as dû mal, tu te racles la gorge, secoues la tête, rien n’y fait. « Thanks, I’m… » Non, Ana, toujours pas. « Shit, sorry. » Finalement, d’autres larmes s’échappent sans que tu n’arrives à les maîtriser et, bordel, ce que c’est embarrassant. Tu t’enfonces un peu dans le canapé, replies tes jambes contre toi, caches ton visage derrière tes genoux et tes mains. C’est gênant pour lui, qui ne sait pas où se mettre, c’est gênant pour toi. Tu n’es pas fan de la personne que tu es devenue, Ana. Et c’était bien plus facile de lui pleurer dessus, sur le toit de la caravane, en Italie. Déjà, il faisait nuit, et en plus, t’étais convaincue qu’il allait redevenir une vague connaissance voire un inconnu quelques semaines plus tard.

Tu attends un petit moment, que ça passe. Et ça passe. Tu as presque envie de lever les yeux au ciel. « You said that you couldn’t see yourself playing in a band again, as your band was Sanguinarium… » Tu commences, hésitante, essayant de lui donner un semblant d’explications. Tu remontes à votre aventure au sous-sol – qui définitivement portera toujours ce nom, et ne t’a pas chamboulée uniquement pour le contact physique échangé avec le journaliste. La partie musique t’a marqué, aussi. Tu l’as retourné en boucle, le fait que tu ne te sentes pas capable de jouer, ni même d’en avoir l’envie. Si c’est problème réglé, seulement en partie parce que l’envie est repartie au moment même où tu t’es rendue compte ne plus être seule… Il y a encore un truc, qu’il faut que tu assimiles. « Mine is… was, Now or Never. » Tu pousses un soupir, mais ça te laisse un arrière-goût amer d’employer le passé. « I don’t think I have yet realized it’s over. » Tu esquisses un sourire, manquant clairement de ce qu’il veut transmettre d’habitude. Tu n’es pas heureuse. Mais tu n’es pas triste non plus… Tu es vide. Le sourire s’étire vers le bas, finalement, alors que tu laisses ta joue reposer contre le haut de ta cuisse dénudée. Les yeux s’embuent mais rien ne s’échappe. « And I’m so scared I’ll never feel that alive again. » Tu échappes dans un chuchotement, ayant toi-même du mal à croire que tu puisses admettre une telle chose. Tu relèves la tête pour le regarder, et tu sais que tu devrais t’arrêter-là et le laisser tranquille avec tes remarques moroses – bordel, qu’est-ce qu’il en a à foutre de tes états d’âme, sérieux – mais les mots se lancent sans que tu ne puisses les retenir. Tu ne contrôles plus grand chose, en ce moment. « God, I fucked it all up. It’s all my fault. » You should have jumped off that bridge. Tu échappes un rire nerveux, qui vibre pourtant, parfaite contradiction avec ce que tu viens de dire. Tu relâches l’emprise sur tes jambes, essaies de bouger un peu pour chasser les relents de l’inconfort que tu viens de faire pulluler dans la pièce. « I’m sorry, I’m fine… Well, no, but I deserve it, so it’s fine. » Tu dis ça, comme si tu ne pensais pas vraiment tout ce que tu venais de lui sortir, mais tu ne trompes personne – peut-être ton père, au moins ton père, tu espères. Tu échappes un long soupir. T’es vraiment une emmerdeuse de première, Ana. Tu viens de gâcher deux bonnes journées d’un battement de cils. « Sorry for the unexpected tears outburst. 'Took advance for my shrink appointment. » Ton estomac se serre un peu, tu l’ignores en hochant la tête. Reportes ton attention ailleurs, sur le livre neuf – déjà abîmé par tes soins, m’enfin, ça en fait sans doute une édition collector. « It’s a nice book. You take great pictures. » Tu reprends un peu plus de confiance en de maîtrise sous le compliment sincère. Après être sortie quelques deux, trois ans avec une photographe, tu t’y connais assez pour apprécier le talent dans le métier. Tu presses une dernière fois tes lèvres l’une contre l’autre alors que ton regard recherche le caramel, pour te rassurer. Il n’est pas fâché ? « I’m sorry. You wanted to do something to celebrate? Besides eating breakfast for dinner? »
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Marek Zydorczak

Marek Zydorczak
Polish punx ftw

≡ POSTS : 20 if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) LOCosrrR_o
≡ ÂGE : 28 ans.
≡ OCCUPATION : Journaliste-photographe et historien du social.
≡ STATUT CIVIL : Célibataire et compte bien le rester.
≡ ATTIRANCE : Tout le monde, sauf les animaux et les enfants.
≡ ASPIRATION : À partir du moment où on ne te sépare ni de ton ampli, ni de ton pedalboard, ni de ta guitare, tout va bien. Tu n’as aucune idée de ce qui pourrait t’attendre demain, tu t’en contre-balances.
≡ LOGEMENT : Gros squattage au #51 Twin Peaks, chez Ana Parker.
≡ AVATAR : Pierre Niney
≡ CRÉDITS : Snapdragon (av) non uccidere (sign)
≡ WHO ARE YOU : Snapdragon
≡ AUTRES VIES : Dawn, l'autre polak; Bart, le relou.
≡ INSCRIPTION : 11/07/2020




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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyMer 12 Aoû - 2:53


I am not enough.
I’m not the demons in your lungs.
Ana

Speak spoken love, offer nothing from your heart. I watched you fake a laugh. It was hard for you. We let the time just pass, but it was hard for you. And every simple task, I noticed it was hard for you. Should have released my grasp, but it was hard for me too.

Tu rentres le coeur léger chez Ana. Ton entretien s’est bien déroulé, la journée a bien commencé, ton portfolio est impecc et beau, tu es refait ! Tu ne penses pas à frapper à la porte pour t’annoncer. Si tu le faisais à chaque fois, Ana et Aleks deviendraient dingues à chaque fois qu’ils entendraient la sonnette, donc tu entres comme… une personne qui vit temporairement sous ce toit. La rouquine est en train de jouer sur la guitare que tu as vaguement révisé il y a quelques jours et ça ne te frappe pas plus que ça de réaliser qu’elle n’a pas joué devant toi - vous - depuis qu’elle est venue vous chercher, depuis le drame de Paris. Tu as pensé à lui ramener des croissants puisque tu as croisé le chemin de la boulangerie française encensée par Mila chaque fois que Aleks lui parle de pâtisserie. « A little bit late for breakfast isn’t it? Thanks. » Tu hausses les épaules, il n’y a pas d’heure pour se sustenter ! Enfin, surtout pas pour toi qui déteste faire à manger - heureusement que ton meilleur pote peut palier à cette flemme monstrueuse - et qui pourrait avaler n’importe quoi à n’importe quelle heure pourvu que ton estomac cesse de râler - et toi aussi par extension. « It’s 7am in Australia! » Rien à voir, mais il est bien sept heures quelque part dans le monde, donc vous, vous pourrez exceptionnellement prendre votre petit déjeuner en même temps que les habitants de l’île. Enfin, c’est pas ça le plus important pour le moment. Tu souhaites juste partager ta bonne humeur et elle se traduit par l’offrande que tu rapportes en café et viennoiseries. « Whaat? Congratulations! » Et oui, ça y est ! Tu es enregistré comme journaliste à temps partiel pour le journal de la ville et c’est plutôt mal, tu ne te voyais pas préparer des sandwich pour le subway du coin en sachant que tu as quand même un beau bagage d’études derrière. « Thanks! » Réponds-tu avec un semblant de courbette. « Well it’s cool! Can’t wait to see you how you dress up to be a part time teach! » La remarque te surprend, même si tu la prends pour une énième taquinerie puisque tu écartes les bras pour qu’elle te reluque volontairement. « Like this? » Ben oui, tu aimerais bien porter des t-shirts de groupe et tes jeans, mais ça passera pas vraiment auprès de la direction, surtout compte tenu des slogans qui peuvent être inscrit sur tes vêtements sérigraphiés. Tu as le droit à une autre petite taquinerie sur ton nom de famille qu’elle ne parvient toujours pas à prononcer. Les poings sur les hanches, ça te fait rouler des yeux, Kowalski-style. Tu ne relèves pas puisqu’elle se reprend immédiatement sans pour autant s’essayer aux sonorités des pays de l’est. Tant pis, tu l’embêteras avec ça plus tard ! C’est dans ton élan que tu lui présentes ton portfolio tout juste imprimé et Ana semble immédiatement happée par ton univers. « That your parents? » Tu te penches un peu pour revoir le cliché et tu réponds en t’esclaffant vaguement « Yup! » Les photos défilent, la remarque sur Dawn te fait sourire. Tu la trouvais plus vnr en brune, et ça te ramène à une époque qui te manque. Tu te laisses aspirer par les souvenirs et ne remarque pas qu’Ana se fait broyer par les siens. Ce n’est que lorsqu’elle te remercie de lui offrir le livre que ton regard se reporte sur son visage. « Shit, sorry. » Tu grimaces, ne sachant pas trop quoi répondre à cette réaction. Tu ne pensais pas que tu la ferais pleurer. « No, no, it’s okay. I apologize… I haven’t thought of your reaction. » Tu appuies tes coudes sur tes genoux, coinces ton visage dans tes mains. I did a stupid thing.

La rouquine s’est enfoncée dans le canapé, genoux repliés contre sa poitrine. Ta tête pivote vers elle au moment où elle reprend. « You said that you couldn’t see yourself playing in a band again, as your band was Sanguinarium… » Tu acquiesces d’un hochement de tête. « Mine is… was, Now or Never. » Puis, Ana t’avoue qu’elle n’a pas encore réalisé que c’est terminé. Franchement, pour remonter le moral des troupes, t’es le pire. Tu ne sais pas trop où te mettre lorsqu’elle commence à se flageller et ça te révolte un peu qu’elle soit si mauvaise avec elle-même. Après tout, c’est elle qui a relevé toute la situation à Paris et qui pris la meilleure décision possible, quitte à mettre toute sa carrière en péril. « I’m sorry, I’m fine… Well, no, but I deserve it, so it’s fine. » Tu fronces les sourcils en allant appuyer ton dos à côté d’elle, tu la dévisages, l’air extrêmement sérieux, peut-être même à la limite de l’indignation. En fait, tu rassembles tous les mots qui te semblent justes pour exprimer ton ressenti. « You deserve it because you took a friend to safety? » Tu arques un sourcil, hoches légèrement la tête de droite à gauche alors qu’un sourire en coin se lève. « Ana, a band isn’t immortal and sometimes, it’s not a bad thing when it splits up. Sometimes it’s a sign to move on. After everything, remember that you saved someone’s life. What is best? A band or a soul? » Tu hausses les épaules, l’évidence est bien marquée, tu n’as pas besoin de réponse. Mais tu es tellement un boulet pour sortir les gens de leur négativité que tu tais cette phrase qui menace de poper et Ana poursuit entre temps. « Sorry for the unexpected tears outburst. 'Took advance for my shrink appointment. » Tu la considères encore un peu, cherchant vraiment de quoi la convaincre de l’inverse, que pleurer est légitime après tout ce qui s’est passé autour de vous, mais tu te retiens, persuadé que tu ne parviendras pas à la faire changer d’avis. Après tout, ce manque d’assurance ne date pas d’aujourd’hui et ce n’est pas avec deux phrases pathétiques que tu pourras balayer ce sentiment néfaste. Oui, toi, le mec qu’elle s’est juste tapée ce matin et qu’elle a rencontré il y a un mois et des brouettes. « It’s a nice book. You take great pictures. » Ton regard croise finalement le sien et tu lui réponds d’abord d’un sourire. « Thanks for your compliment. » Et le silence n’a pas vraiment le temps de s’installer.  « I’m sorry. You wanted to do something to celebrate? Besides eating breakfast for dinner? » Tu plisses les yeux avant d’hausser les épaules. « I haven’t thought about that. Why not? » Puis tu te penches pour attraper ton café. Tu n’as jamais vraiment célébré ta réussite, sauf pour les diplômes que tu as acquis au fil de ton cursus universitaire. Généralement, ça ne changeait pas vraiment d’un week-end ordinaire, à savoir manger et boire à l’excès. « Aleks has a big day so… We should go out, what do you think? Grab something to eat and… I don’t know. I’ve huge improvising skills. » Tu relèves le menton, feignant un air fier. Tu bois quelques gorgées avant de reposer le gobelet sur la table. « But we could also stay here, and chill. Whatever you want to do, it’s on me! » Puis tu ricanes doucement en réalisant que le double sens est vachement tendancieux. Tu replonges ton regard dans le sien et détailles les quelques marques sur son visage. Le dessous de ses yeux est encore humide et ses larmes ont un peu emporté son maquillage dans leur course. « May I? » Tu rapproches ta main de sa joue et en frottant doucement avec ton pouce, le surplus de mascara disparaît. Cependant, ta paume s’attarde sans que tu ne puisses détourner tes yeux des siens, une envie brutalise le bas de ton ventre sans que tu ne puisses la réfréner.

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Adriana Parker

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kiss me hard before you go

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≡ ÂGE : 25, Jesus Reborn (25/12/1994)
≡ SURNOM : Ana, et c'est comme ça que tout le monde l'appelle d'ailleurs.
≡ OCCUPATION : Après le fiasco de la tournée européenne, et après avoir mis fin à cette même tournée, Now or Never n'est quasiment plus - ou du moins, il n'en reste que les CDs et autres tee-shirt. Sa vie de chanteuse et musicienne se voit mise en pause. Elle est toujours tatoueuse au Daddy's Closet, à des horaires moins importants cela-dit.
≡ STATUT CIVIL : Situation délicate, coincée dans ce qu'il reste d'une relation qui ne tient plus debout depuis quelques mois déjà.
≡ ATTIRANCE : Men & Women
≡ LOGEMENT : Une petite maison, où le sous-sol est aménagé en studio de musique, qu'elle partage depuis peu avec deux polonais (dont un russe) qui prennent beaucoup de place. #51 twin peaks
≡ RPS : New York kind of love (Ashton #05)
--- breakdown
You don't wanna take that jump (Dawn #02)
Good grief (Anton #02)
--- downhill
Crash and burn (Dawn #03)
The end part I (Ashton #06)
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Lost souls (Marek #01)
Trouble never looked so fine (Marek #02)
With all due respect, I really want to fuck you (Marek #03)
The end part II (Ashton #07)
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Wild youth (Marek #04)
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MessageSujet: Re: if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw)   if you’re too shy let me know ☾ marek (nsfw) EmptyVen 21 Aoû - 22:05


Maybe I would like you better if you took off your clothes
marek

Maybe I would like you better if you took off your clothes, I'm not playing with you, baby I think that you should give it a go She said, Maybe I would like you better if you took off your clothes I wanna see, and stop thinking If you're too shy, then let me Too shy, then let me know

Si, la surprise passée, l’humeur est plutôt joyeuse à l’arrivée de Marek, elle s’assombrit bien vite lorsqu’il te présente son portfolio. Les premiers clichés t’amusent et attisent ta curiosité, mais de nombreuses photos récentes te replongent immédiatement dans les événements terriblement frais et tu te sens perdre pieds – une nouvelle fois, de manière moins violente certes mais toujours mauvaise. Tu t’excuses des larmes que tu n’arrives pas à réfréner, de l’attitude que tu lui offres et qui pourrit indéniablement l’ambiance. « No, no, it’s okay. I apologize… I haven’t thought of your reaction. » Tu échappes un faux souffle amusé qui trahit plutôt un autre sanglot. « Me neither. » C’est que tu ne vivrais pas un peu dans le déni, Ana, tiens ?! Tu luttes avec une certaine difficulté contre l’émotion qui t’a assailli sans que toi ou Marek ne l’ayez prévu, donc. Tu es aussi triste qu’agacée, de te mettre dans un tel embarras et d’embarquer le polonais avec toi. Décidément, il t’aura vu dans vraiment tous tes états, en si peu de temps… Tu le plains, sincèrement. Tu arrives tout de même à rassembler tes esprits et commences à te justifier un tant soit peu. Tu n’étais pas prête à voir ses photos, à te voir souriante, à comprendre la scission. Avant, t’étais heureuse, ou presque. Tu te sens si vide que tu oserais même demander si tu as un jour été vraiment heureuse – parce que tu es une éternelle insatisfaite, que rien n’est jamais assez bien pour toi, que tu en veux toujours plus ou toujours autrement. L’aventure Now or Never est bel et bien terminée, tu ne vis que dans les ruines et les restes que le monde essaie encore de comprendre – et surtout, tu vis en faisant l’autruche parce que c’est pour l’instant plus simple pour toi. Tu as trop de mal à réaliser tout ce qu’il s’est passé, à gérer toutes les émotions qui vont avec… Mais il faut au moins que tu acceptes ça. Un pan entier de ta vie qui s’achève, se ferme au moins pour un long moment. Tu ne peux pas dire que tu ne l’as pas voulu, cette fin, c’est sans doute parce que tu l’espérais secrètement qu’elle est arrivée. Tu as assez merdé pour qu’elle arrive, en tout cas.

Tu passes la paume de ta main gauche contre une joue, chassant le maigre sillon qui a coulé, réitères le même geste sur l’autre joue. Tu t’excuses, une nouvelle fois, tu sais à peine où te mettre et le polonais n’a pas l’air plus doué que toi pour gérer tes états d’âmes. « You deserve it because you took a friend to safety? » Tu presses tes lèvres l’une contre l’autre, incapable de répondre de suite. Si c’est tout ce qu’il retient de l’histoire… Peut-être que tu devrais en faire autant, mais c’est un énorme mensonge et tu le sais très bien. Tu t’attardes à observer son visage, pour résister aux pensées épineuses qui ne demandent qu’à prendre une place trop importante dans ton esprit. Les traits sont un tant soit peu fatigués, l’air est sérieux, la symétrie n’en reste néanmoins parfaite et agréable à regarder. Les souvenirs créés un peu plus tôt ressurgissent, l’envie de retrouver la proximité du brun te ferait presque frissonner s’il ne reprenait pas la parole. « Ana, a band isn’t immortal and sometimes, it’s not a bad thing when it splits up. Sometimes it’s a sign to move on. After everything, remember that you saved someone’s life. What is best? A band or a soul? » Ta tête penche légèrement sur le côté, tu fermes les yeux une fraction de seconde de trop avant d’échapper un long soupir. « It’s more complicated than that, I’m afraid. » Ta voix a perdu son entrain habituel mais tu es ferme dans tes paroles. Ce n’est peut-être pas une mauvaise chose, la fin de Now or Never, mais c’est quelque chose. Pas un simple événement à marquer dans le calendrier, rien à voir avec la banalité des aléas de la vie. « It’s… Years, of my life, that I’m losing. It’s my friends I’ve damaged, in so many ways… I've done things I'm not proud off, and I've said so many horrible things. » Tu pinces les lèvres en pensant immédiatement à Ashton, mais aussi à Lynn, et pousses un soupir avant de continuer. « It’s that goddamn social approval that I need so much that I’ll have to live without. » It’s not just a band. Un petit bout de toi à enterrer, pas loin de ta mère et des amitiés les plus importantes qui t’ont fait tenir debout ces dernières années. Tu déglutis difficilement, tu es incapable de soutenir son regard si sûr alors qu’il n’a pas l’air d’avoir conscience d’à quel point tu es la biggest piece of shit et la plus grosse enflure de San Francisco. Il faut dire que tu le masques bien, eh. « And I’m still so sure that what happened to Dawn is somehow… My fault, I… I don’t think I’ve saved everyone. No, I know I didn’t. » But you need that guilt, it keeps you moving, you need to make things right and not flee like a coward. Tu te tais. C’est vraiment trop compliqué, et tu l’as assez emmerdé pour aujourd’hui.

Tu échappes un autre soupir et détournes son attention, t’excuses, encore, avant de le complimenter sur ses photos. Ton sourire est sans cœur lorsqu’il te remercie, tu décides de clore définitivement le sujet en lui proposant de faire quelque chose pour célébrer son embauche – part time plus part time, we have a full time not citizen contributing to the economy. « I haven’t thought about that. Why not? » Tu acquiesces, chasses les relents de tristesse et d’étourdissement en t’asseyant au bord du canapé. Tu laisses tes lèvres s’étirer avec un peu plus de sincérité alors qu’il cherche déjà une activité sortant un peu de l’ordinaire, lâches même un court rire lorsqu’il vente ses talents d’improvisation. « Yah, I’ve noticed. » Tu souffles, ton regard fuit malgré toi vers ta bay window et ton air est bien plus entendu lorsque tu le reposes sur lui. Un peu de sérieux, quelques minutes au moins. « My dad used to improvise an ice cream date when we’ve succeeded in something important… It got boring after a while and it’s been some time since I’ve last had victory ice cream but… » De la glace, c’est de la glace – et il ne fait jamais chaud à outrance, l’été à San Francisco, pour en manger tous les jours donc ça reste une gourmandise d’exception. Il rebondit, sur ton mais, avant de se mettre à rire lui aussi. « But we could also stay here, and chill. Whatever you want to do, it’s on me! » Tout devient vite tendancieux, bon, c’était à prévoir. Tu le fixes quelques secondes, par-dessous tes cils, pour témoigner ton non-amusement – alors que tu viens toi-même de lancer une remarque dans le genre, l’ironie.

Tu essaies de réfléchir s’il y a de la glace au congélateur mais n’arrives jamais au bout de la réflexion. Les prunelles s’accrochent et tu te perds dans le caramel jusqu’à ce qu’il entame un mouvement. « May I? » Tu n’as pas le temps d’acquiescer ton accord, pas le temps non plus de te rappeler que tu ne devrais pas le donner parce que tu es incapable de résister aux pulsions qu’il fait naître chez toi avec un simple contact, qu’il est déjà en train de réparer les dégâts sur ton visage avec une douceur qui te fait fermer les yeux. Tu sombres, encore. La peau s’électrise, ça frissonne, les souvenirs de cette nuit et d’avant remontent alors que l’intensité échangée entre les marrons augmente. Les sens s’éveillent, tu tends une main et attrapes son avant-bras, inspires pour chasser la faiblesse une dernière fois et te retrouves enivrée de son odeur. Tu ne réfléchis pas plus de deux secondes, quand tu rouvres les yeux. Tu te penches en avant et clos la distance qui vous sépare, embrasses ses lèvres sans grande délicatesse et abruptement car tu ne fais pas attention. Tu souffles déjà en te reculant, seulement pour mieux te rapprocher de lui. Si sa place est au-dessus de toi, tu ne déchantes pas de grimper sur ses genoux et de fourrer tes mains dans ses cheveux pour mieux voir l’éclat de désir naître lorsque tu attires prudemment sa tête en arrière, le dominant de quelques centimètres. Tes lèvres s’étirent sous l’érotisme de la vision qu’il t’offre, de l’air malin, des traits masculins et de ses mimines qui ne perdent pas une minute pour parcourir ton corps également. « You are… » Tu commences à réprimander, fermes les yeux le temps de chercher une fin de phrase adéquate. « A fucking nightmare. » Tu finis par chuchoter, contre ses lèvres. Impossible à résister et un putain d’aimant, aussi, mais tu n’as pas envie que ses chevilles enflent. Tu commences à déboutonner sa chemise avec attention – it’s on me, ce vers quoi ton esprit penche est une forme de célébration, après tout. Même si tu ne devrais pas… Tu profites, quelques minutes, laisses le désir brûler par tous les parcelles de ta peau alors que tu réveilles celle de Marek de baisers bien trop appuyés le long de son torse découvert. Tu t’es décalée sur le canapé alors que tu t’approches dangereusement de sa ceinture, tes doigts glissent déjà dans la sangle quand tu relèves le regard vers le polonais. Un sourire narquois naît sur tes lèvres, la ceinture est détachée et tu te redresses pour l’embrasser avec avidité. « But… » Ton nez frôle le sien alors que tu baisses les yeux pour observer tes gestes – et la vue. Le bouton du chino est détaché et c’est avec une lenteur absolue que tu en descends la braguette, pour t’accorder un meilleur accès à la virilité qui grandit sous tes taquineries. « We agreed to just once, didn’t we? » L’air est cruellement innocent et faussement raisonné lorsque tu cherches son regard. Tes sourcils sont légèrement froncés, malgré l’esquisse de sourire que tu es incapable de réfréner – tu es sérieuse et nope, tu n’as pas une main dans son futal, c’est un malentendu. « I really want to leave you like this, Marek. As payback for teasing me so much. » But? Tu observes avec attention son visage, te délectes de son souffle qui se répercute contre le tien alors que tu entames un mouvement de va-et-vient sous le caleçon. Ta lèvre inférieure roule longuement entre tes dents, ta main de libre qui s'était nichée dans les cheveux à la base de sa nuque vient agripper son menton pour t'en faciliter l'accès. Tu voles un baiser, t'appliquant toujours dans ton geste pour lui faire plaisir. « I need to get you out of my system. » Tes mots sonnent comme une promesse, tu lâches ton emprise sur lui et recommences ta descente de son torse. Doucement, lentement, habilement. La myriade de baisers est appliquée, tu le cajoles, jusqu'à arriver une nouvelle fois devant le mont – un genou à terre, désormais, tu es coincée entre ses cuisses et pourtant c'est toi qui mènes la danse. Comme lui, quelques heures plutôt. I want more. Ton sourire s'élargit, rapidement. Tu tends les deux mains pour jouer avec l'élastique de son sous-vêtement, mais finis par attraper les deux bouts de son pantalon ouvert pour en refermer le bouton. L'air d'outrance et de déception te fait échapper un rire, fourbe, ce serait presque suffisant pour que tu oublies que tu ne te rends pas service non plus. Tu remontes la braguette et c'est la fin du jeu. « 'Kay, byyye! I'll spend the week-end at my Dad's… It's safer that way, I can't be around you. » Tu te redresses en même temps que tu décides, presque fière de ton self control. Tu récupères Benny, évites soigneusement de regarder Marek avant de ne changer d'avis, et décides de fuir aussi vite que possible. « Have fun in the shower! We can get that ice cream another day! » Tu appelles, dans le couloir, avant de filer récupérer quelques affaires dans ta chambre. En.Parfait.Contrôle.

FIN
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