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 I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton)

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Adriana Parker

Adriana Parker
kiss me hard before you go

≡ POSTS : 494 I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton) Ana11
≡ ÂGE : 25, Jesus Reborn (25/12/1994)
≡ SURNOM : Ana, et c'est comme ça que tout le monde l'appelle d'ailleurs.
≡ OCCUPATION : Après le fiasco de la tournée européenne, et après avoir mis fin à cette même tournée, Now or Never n'est quasiment plus - ou du moins, il n'en reste que les CDs et autres tee-shirt. Sa vie de chanteuse et musicienne se voit mise en pause. Elle est toujours tatoueuse au Daddy's Closet, à des horaires moins importants cela-dit.
≡ STATUT CIVIL : Situation délicate, coincée dans ce qu'il reste d'une relation qui ne tient plus debout depuis quelques mois déjà.
≡ ATTIRANCE : Men & Women
≡ LOGEMENT : Une petite maison, où le sous-sol est aménagé en studio de musique, qu'elle partage depuis peu avec deux polonais (dont un russe) qui prennent beaucoup de place. #51 twin peaks
≡ RPS : New York kind of love (Ashton #05)
--- breakdown
You don't wanna take that jump (Dawn #02)
Good grief (Anton #02)
--- downhill
Crash and burn (Dawn #03)
The end part I (Ashton #06)
--- finish it
Lost souls (Marek #01)
Trouble never looked so fine (Marek #02)
With all due respect, I really want to fuck you (Marek #03)
The end part II (Ashton #07)
--- try again
Wild youth (Marek #04)
≡ AVATAR : Karol Queiroz
≡ CRÉDITS : (c) ajna
≡ WHO ARE YOU : ginger squid
≡ AUTRES VIES : Leo & Mila
≡ INSCRIPTION : 04/03/2019




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MessageSujet: I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton)   I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton) EmptyDim 2 Juin - 23:33

I don't know if we know why we're here
Oh my, too deep, please stop thinking
Ana & Ashton

Anton n’aurait pas serré ma main dans la sienne que j’aurais collé mon poing dans la figure du médecin qui suit notre mère depuis des années. Elle va mieux, mais on peut considérer ça comme un miracle. Alors qu’on ne lui donnait qu’un mois à vivre, on a repoussé le délai à six mois. Ces trois dernières semaines ont été infernales, éprouvantes, et je suis épuisée aussi mentalement que physiquement. Sans vouloir exagérer. On se prépare du mieux qu’on peut à ce qu’on imagine le pire pour nous informer que le pire n’arrivera pas de suite finalement. C’est une bonne nouvelle, bien évidement, mais. On attendait tous l’après, et on doit encore vivre dans le pendant quelques mois.

J’ai décidé de faire une pause, du groupe. Une pause, ça veut dire quoi une pause, on a besoin de toi maintenant. Je n’en suis pas certaine, Lynn, vous avez quand même eu l’occasion d’écrire une dizaine de chansons sans moi. Déconne pas, Ana. Je ne déconne pas, j’ai juste besoin d’une pause. De quelques semaines, ou quelques mois, j’en sais rien. Je sais que la situation frustre mes amies, elle me frustre aussi, mais je n’ai pas la tête à faire de la musique en ce moment. Et vraiment. Je doute vraiment de ma place dans le groupe, si je l’ai encore et si je l’ai déjà eue. L’histoire se répète, on a des occasions de grandir, mais je nous ralentis. Peut-être qu’il est temps que je me rendre à l’évidence : elles n’ont pas besoin de moi. Personne n’est irremplaçable, moi la première. Cette pause nous sera peut-être bénéfique à toutes, finalement. Même si elle tombe au pire moment, alors que la fin d'année approche à grands pas et que la pression pour le deuxième album monte.

Ne plus faire de la musique ma priorité m’a permis d’enfin me bouger pour m’inscrire à la prochaine session pour obtenir mon diplôme. Début juillet. Il va falloir augmenter le salaire, Black. Ce à quoi il n’a à répondre que : back to work, Parker. Je vous jure, à l’écouter, on croirait que je passe ma vie à procrastiner, non mais. Je plisse les yeux dans sa direction. « My next client isn’t here yet, you smarty smart pants. » Et bim, toc, dans ta face. « Maybe I should make you give out flyers on the street, then. » « So you can give more people discounts ? Heck no. » Et puis, notre agenda est déjà assez booké comme ça, calmons-nous. Fort heureusement, la porte d’entrée s’ouvre sur un nouveau client – le sien. Meh. Je vérifie auprès d’Adan que mon rendez-vous s’agit bien d’Ash, avant d’envoyer un message à ce dernier.

WHERE U AT WALKER ?

Bien évidemment, il lui faut à peine quelques secondes pour arriver. Suis-je impatiente ou est-ce que j’aime être à l’heure ? La question se pose, la réflexion se fera plus tard. « Hey there Monkey Man. » Il ressemble à un singe, c'est mignon, le surnom est adopté depuis des années, fight me. J’accueille le blondinet – ah non, pardon, Monsieur a les cheveux rouges maintenant, le swag lolz – avec une brève accolade avant de lui indiquer le chemin de mon poste de travail. Je n’ai pas le temps de lui demander la raison de sa présence ici, nouveau tatouage, retouches ?, qu’il s’assied sur le fauteuil et me regarde avec son air de grand-père pas content. Arf. Pourquoi ? La dernière fois qu’il m’a sorti cet air-là, c’est quand il a appris que j’avais appelé Harper en étant un tantinet alcoolisée. Mais ça date. Je n’ai pas refais de fautes, depuis, je me suis remis de ma rupture avec la demoiselle en partie grâce à l'aide d'Ashton, et on est même devenues plus ou moins amies avec Harper alors… « What ? What’s wrong with your face, why are you looking at me like that ? » Attention, je n’ai toujours pas eu l’occasion d’assassiner un client avec une aiguille… Je serais triste qu’il soit le premier, mais s’il se fâche, je me fâche aussi. « You're gonna get wrinkles. » Je fais, un peu moqueuse, en tendant un doigt pour aller tapoter les débuts de rides sur son front. J'ai peut-être une idée, de pourquoi il est fâché, mais je n'ai pas très envie d'avoir cette discussion non plus.

@Ashton Walker I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton) 677558782
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MessageSujet: Re: I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton)   I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton) EmptyJeu 18 Juil - 19:19

I don't know if we know why we're here
Oh my, too deep, please stop thinking
Ana & Ashton

« Are you sure about the bridge ? I don’t know, I think it’d sound better with the na-naaaw naaaaw first, silence, and then breakdown. Like big drums, bass line and the chorus after the gang vocals. » Derrière l’écran de mon ordinateur, Jude me regarde en hochant la tête avant de consciencieusement prendre en notes mes propositions. Son carnet est déjà noirci par des paroles, des ratures, des schémas en tous genres et quelques notes de musique relevant davantage du gribouillis que d’un réel langage puisque ni lui ni moi n’avons jamais appris le solfège. Mais on arrive tout de même à se comprendre en communicant en grande partie à coups de beatbox approximatif et de discussions capables de faire fuir n’importe quel néophyte. Je l’avoue, nos explications n’ont pas l’air très claires comme ça mais Jude et moi nous côtoyons depuis tellement de temps que ça ne nous pose plus aucun problème. « So you want to delay the guitar riff, right ? » À mon tour d’acquiescer tandis que je passe l’appel Skype en fond pour accéder à mon logiciel de mixage. Après avoir appuyé sur le bouton de démarrage, le son pré-enregistré des guitares empli le studio-garage et je décale mon ordinateur sur le côté pour attraper mes baguettes. Quand vient le moment opportun, je murmure un décompte avant de commencer à jouer, appliquant les dernières modifications apportées au morceau. « See ? That’s more anthem-like, kinda Fall Out Boy-ish. We can work with that ! » assuré-je une fois la démonstration terminée. À l’écran, Jude affiche un grand sourire ainsi qu’un pouce en l’air.

Telle une machine bien huilée, la séance se termine une heure plus tard avec une chanson quasiment terminée. J’envoie le résultat à Jude qui se chargera des derniers ajustements, le guitariste se débrouillant bien mieux que moi en production pure et dure. En attendant, je suis plutôt satisfait de notre travail. Ça fait du bien de finir un projet, surtout vu l’état stagnatif de notre carrière et que je me retrouve assez facilement abattu par la routine. Cette chanson, c’est exactement le genre de distraction qu’il me faut pour ne pas totalement tourner en rond façon lion en cage.

Je me laisse tomber dans le vieux canapé qui trône au fond de mon garage, abandonnant ma batterie pour un siège plus confortable. Je demande à Jude des nouvelles de Finn que je n’ai pas revu depuis quelques temps, lui me questionne sur ma relation avec Léna, ce à quoi je hausse les épaules d’un air incertain. La jolie blonde et moi ne sortons pas officiellement ensemble bien je me sois définitivement attaché à elle, mais je ne sais pas… Je ne suis pas sûr que ça fonctionne, au final. D’autant qu’elle a prévu de rentrer en France après l’obtention de son diplôme et ce qu’on a pu construire durant ces derniers mois ne survivra probablement pas à la distance. Jude n’insiste pas et je lui en suis reconnaissant. « Talking about girls, have you heard about Ana ? » Un sourire triste vient répondre à sa question. « Yeah, Lynn told me. It’s unfair what’s happening with her mom… All this waiting must be unbearable. » Ana, chanteuse du groupe Now Or Never et bonne amie à moi, traverse une période plutôt nulle dans sa vie perso et ça se ressent de plus en plus sur son moral au fur et à mesure que les jours passent. Malheureusement, il n’y a pas grand chose que l’on puisse faire si ce n’est la soutenir et la distraire de tout ça. « Yeah but no, not only that. Apparently she wants to quit music. Like, completely. » Je me redresse instantanément, soudain soucieux. « Are you serious ? Did she tell you that herself ? » C’est pas le genre de décision qu’on prend à la légère. La scène a toujours été le rêve d’Ana, son groupe c’est toute sa vie. Aurais-je sous-estimé l’impact de la maladie de sa mère sur ses ambitions ? Merde, j’espère que c’est qu’une rumeur, elle a bien trop de talent et de passion pour tout quitter. Je ne le permettrai pas. Un long soupir m’échappe tandis que je passe une main nerveuse dans mes cheveux. « Erf, that sucks. I hope it’s just a phase, but I’ll talk with her. I have an appointment at the tattoo shop in a bit so… we’ll see. » On verra. Et je n’ai pas l’intention de repartir de ce rendez-vous sans une explication en béton armée si ce n’est une promesse de continuer à jouer.

Mon portable se met à vibrer au moment où je coupe le moteur de ma voiture, une fois garée devant le  salon de tatouages. Le message d’Ana rempli de patience et de bienveillance à mon égard me fait lever les yeux au ciel, sans pour autant que je prenne la peine de répondre parce que non je ne suis pas en retard please sit down. J’ai même deux minutes d’avance, en fait. Je pousse la porte du Daddy’s Closet – ce nom me fait glousser à chaque fois que j’y pense – où règne une ambiance tranquille de milieu de semaine. « Hey there Monkey Man. » Un franc sourire vient étirer mes lèvres lorsque mon amie me salue d’une brève étreinte. Depuis le temps, je me suis habitué au surnom et ne m’en vexe plus, mais je n’ai toujours pas réussi à en trouver un suffisamment bon pour lui retourner la pareille. « Sup, Loser. » Elle n’a pas l’air si déprimée que ça ? Elle n’a pas la tête de quelqu’un sur le point d’abandonner le rêve de sa vie, en tout cas. Je me renfrogne, anticipant déjà la conversation à venir et ses possibles tournants.

Sans me faire prier, je me dirige vers la station d’Ana et m’installe sur le grand fauteuil en cuir matelassé. Mon regard ne quitte pas la silhouette élancée de la tatoueuse entrant dans le box à ma suite. Je ne sais pas ce que j’essaye de discerner dans ses traits, un indice j’imagine, mais je ne dois pas me montrer hyper subtil… « What ? What’s wrong with your face, why are you looking at me like that ? » Je fronce le nez et plisse les yeux. « Like what ? That’s my normal face. » C’est faux. Ce qui est vrai en revanche, c’est que j’ai un visage très expressif et que ça se voit tout de suite quand ya un truc qui me fâche. Je suis fâché ? Peut-être un peu. J’ai pas l’intention de la laisser renoncer à la musique, c’est mort de chez mort. « You're gonna get wrinkles. » Qu’elle me fait remarquer en touchant mon front de ses doigts. Je secoue la tête pour la chasser avant de lâcher un bref soupir. Pas la peine de tourner autour du pot pendant vingt ans. « Ok fine. Jude told me… well, Lynn told Jude who told me that you wanted to quit the band ? Is it true ? » Je marque une pause, cherchant une réponse sincère dans ses iris brunes.


@Adriana Parker ❤
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Adriana Parker

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MessageSujet: Re: I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton)   I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton) EmptyVen 19 Juil - 12:21

I don't know if we know why we're here
Oh my, too deep, please stop thinking
Ana & Ashton

Certes. Certes Ashton est à l'heure, en avance même, mais j'ai besoin d'avoir l'esprit occupé pour ne pas penser à tout le reste. Je m'impatiente de sa présence lorsque Alex reçoit son client. D'autant plus que c'est Ash, et que j'apprécie passer du temps avec lui. Une sombre histoire de rencontres d'âmes et de vibration musicale. Le semblant de rivalité entre nos groupes nous a permis de nous connecter sur une passion commune, la musique. L'amitié née de ma pity party post-rupture amoureuse soutenue par le batteur qui avait lancée la sienne une année plus tôt a presque eu des arrières goûts d'adultère. Aujourd'hui, c'est assez bancal mais ce n'en est que plus trépidant. Des Space Boots, c'est Ashton que je préfère. Parce que nos discussions sont diverses et variées, allant de l'importance de la batterie et des tambours pour un arrangement musical - I'm still waiting for that Twenty-One Pilots friendly date please - à des réflexions très philosophiques sur la mythologie du couple. En passant par la question très importante de savoir lesquelles des variétés de raisins sont les meilleures, et par extension d'où vient le meilleur vin du monde. Avec les autres bottes, c'est différent. Jude est plus léger, tout aussi passionné mais nous avons moins de points de connexion. Zig et Ben sont plus réservés et discrets, et je n'ai jamais vraiment développé mes relations avec eux étant plutôt dans le genre extravertie. Jusqu'à récemment, avec Ben du moins. Mais ça reste un embryon de vibrance, c'est différent. Wow, Ana is in the Walker part of the fandom, can u believe. En bref, je suis plutôt heureuse de voir Ashton aujourd'hui, c'est une distraction plus que bienvenue. Ashton que j'agresse pour qu'il se magne le fion, et que j'accueille d'un semblant de câlin parce que je suis une chic fille quand même. « Sup, Loser. » It's cute that he still tries. Je plisse légèrement les yeux au surnom, esquissant un sourire comme réponse. Even Americans don't know how to answer to that 'What's Up' shit. I don't know what's up, Janet, and I could make a penis joke about your husband and how you never get laid but I won't because I'm a fucking nice person.

J'ai le droit à la tête de grand-père constipé d'Ashton lorsque celui-ci s'installe sur la fauteuil supposé le tenir pendant que je l'assassine avec des aiguilles - ou que je colorie sa peau, au choix - et j'ai assez pratiqué l'individu pour savoir qu'un truc ne tourne pas rond. « Like what ? That’s my normal face. » Je lève légèrement les yeux au ciel, you ain't fooling no one here Sir, hausse légèrement les épaules. « Yeah, and how would you know that? You can't see your face on a daily basis. I see you, Ash, this is your grandpa face and I don't like it. » Et j'ai mes suspicions concernant le sujet qui le tracasse, parce qu'il me tracasse également et qu'il tracasse beaucoup de monde. J'essaie de l'en détourner en le moquant et l'inquiétant sur les rides qui apparaissent sur son front, mais ça échoue lamentablement. Pas cool, Monkey Man, pas cool. Si vous voulez savoir ce qui mettra fin à l'humanité, je peux vous répondre sans soucis. Ce ne sont pas les cancers et autres maladies sympathiques qu'on peut se choper et mettre des années à mourir ensuite. Ce ne sont pas les cheveux rouges qui donnent un air ravageur à Monkey Man, contrastant avec son air naturellement juvénil et jovial et ses fossettes mignonnes - même si les fangirls désapprouveront. Non, la fin de l'humanité sera causée par les gossips. Machin a dit que. Je n'ai pas vu Gossip Girl, j'ai un peu d'amour-propre, mais le truc a duré assez de saisons pour qu'il y ait matière à. On a commencé des guerres pour moins que ça.

« Ok fine. Jude told me… well, Lynn told Jude who told me that you wanted to quit the band ? Is it true ? » Je n'aime pas les commérages, du moins pas lorsqu'ils me concernent, je n'aime pas le sujet de cette conversation et je n'aime pas son regard pesant et inquiet. Je reste silencieuse quelques secondes, le temps d'observer les prunelles vert-noisette, d'expirer lentement et de décider si c'est une bonne idée d'éluder ce sujet avec lui. « Somehow, yeah. » Je ne compte pas quitter le groupe de suite, ça ce serait la grande conclusion et on va essayer de ne pas en arriver là. « I'm taking a break, for now. » Il sait déjà, pour ma mère malade et je n'ai pas envie de refaire toute l'histoire. Alors que le sujet est sensible et que ma personne l'est encore plus, c'est la lassitude qui prend le pas sur la tristesse cette fois-ci. J'évite le regard d'Ashton un court instant en rapprochant le tabouret qui me sert de chaise, pour prendre une place plus confortable en face de lui.  « But I've been thinking… Maybe the band doesn't really need me. I feel like I'm always pulling them back, because of my mom. Like her sickness clearly gave us a boost, but it also held us down really quickly. I don't, erm, yeah. » Je bafouille, baisse légèrement le regard pour me concentrer sur le dessin tatoué sur mon avant-bras. « I mean, the girls have created a lot without me since Coachella, they clearly don't need me. And I don't think it's hard to find a replacement, everyone can sing and look pretty today. » C'est la première fois que j'exprime vraiment ces pensées à haute voix, et ce n'est pas un sentiment très agréable. Par contre, cette séance de tatouage est en train de virer en séance chez le psy, et ce n'est pas le but. Je relève la tête, passant une main dans mes cheveux au passage pour me redonner un peu de contenance plutôt que pour me recoiffer. « Anyway. I don't know what I'm doing… With your tattoo, what are you here for ? » Avant qu'Alex n'utilise sa super ouïe et ne vienne m'enquiquiner parce que je ne travaille pas, on peut se reconcentrer sur l'essentiel aussi.

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MessageSujet: Re: I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton)   I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton) EmptyDim 25 Aoû - 23:43

I don't know if we know why we're here
Oh my, too deep, please stop thinking
Ana & Ashton

C’est pas mon genre, de me fier aux rumeurs. Ce scepticisme s’est bien sûr accru depuis que les Space Boots se sont construit une petite célébrité il y a une petite dizaine d’années, que nos vies privées se sont vues scrutées au microscope et que les magazines sont prêts à tout pour dévoiler le scoop de la semaine. Heureusement pour nous, l’ampleur de tout ça reste largement gérable à notre échelle – et ce même s’il m’arrive encore de lire sur le net que j’ai un enfant caché avec trois femmes différentes et autant d’Etats, mais. Des détails. Par principe donc, je ne crois que ce que je vois et préfère me faire ma propre idée des choses plutôt que faire confiance au bouche-à-oreille. Non pas que je doute de la bonne foi de Jude, loin de là, mais en l’occurrence, j’ai vraiment du mal à imaginer Ana renoncer complètement à la musique. On se ressemble beaucoup elle et moi, et je sais tout ce que représente son groupe et ses chansons pour elle : c’est son moteur, son échappatoire et sa raison d’avancer dans un monde parfois cruellement terne.

À peine arrivé au studio que je me fais sauter dessus – pas littéralement, mais presque vu l’impatience de la dame – par Ana que je salue chaleureusement. Ça me fait toujours plaisir de voir la brune, malgré les surnoms douteux dont elle m’affuble sans gêne – comme dirait l’autre, c’est une gueuse. Notre amitié n’est pas si ancienne que ça mais c’est tout comme, à tel point qu’elle remarque d’entrée de jeu ma mine préoccupée et ne manque pas de m’interroger de la façon la moins subtile qui soit. Merci pour ça d’ailleurs, j’ai toujours aimé qu’on me rappelle mon quart de siècle et les inévitables marques physiques du temps qui passe sur ma personne. Je ne suis pas vieux, oh, l’âge c’est dans la tête de toute façon. J’élude sa taquinerie, chassant ses doigts de mon front d’un geste impatient avant de lui faire part de mes inquiétudes. Ana a repris son sérieux et m’écoute sagement, assise sur son tabouret, jusqu’à ce qu’une ombre vienne voiler son regard. Mes lèvres se pincent en une fine ligne soucieuse. C’est pas bon signe. Et en effet, après quelques secondes de silence, elle confirme mes soupçons à contrecœur. « Somehow, yeah. I'm taking a break, for now. » L’entendre de sa bouche rend la chose un peu plus réelle et même si rien n’est encore décidé, ça fait naître une petite boule désagréable dans mon ventre. Je n’arrive pas à imaginer Ana quitter Now Or Never et encore moins quitter définitivement la musique, c’est trop important. Je ne compte plus nos soirées et nuits passées à discuter musique et arrangements, à philosopher sur ce qu’est en train de devenir l’industrie, à rêver tout éveillé d’un avenir sur scène et à travers le monde… Non, impossible qu’elle renonce à tout ça. Et pourtant, je peux comprendre d’où viendrait cette idée. « Because of your mom ? » La question n’appelle pas vraiment de réponse, un bref coup d’œil sur les traits las d’Ana me suffit. C’est ce que je craignais. Pourtant et malgré toute ma bonne volonté, je ne peux prétendre comprendre l’épreuve qu’elle est en train de traverser et les conséquences sur son moral, alors je préfère garder le silence et attendre la suite sans la presser. « But I've been thinking… Maybe the band doesn't really need me. I feel like I'm always pulling them back, because of my mom. Like her sickness clearly gave us a boost, but it also held us down really quickly. I don't, erm, yeah. » Je fronce les sourcils – damn, je vais vraiment finir par les avoir ces fameuses rides de grand-père – enregistrant ces informations qui ne me plaisent pas beaucoup. « Ana, of course they need you. You created that band, for crying out loud. You’re the lead singer. Why would you say that ? » Ana baisse les yeux, hésite. « I mean, the girls have created a lot without me since Coachella, they clearly don't need me. And I don't think it's hard to find a replacement, everyone can sing and look pretty today. » Moui alors non, j’suis pas extrêmement fan de ce chemin de pensée. J’aime pas trop beaucoup ça. Parce que premièrement, je connais Lynn et Paige et ça m’étonnerait fort qu’elles tiennent rigueur à Ana d’avoir privilégié la santé de sa mère plutôt que celle du groupe ; et secundo, « Are you really fishing for praise and compliments from me right now ? Because it’s working damn well. The girls managed while you weren’t there, they had to because no one wants to see the band sink. They gotta stay afloat. But that doesn’t mean they don’t need you, quite the opposite actually : they need you to move forward. You’re the voice of NON, it wouldn’t be the same without you. » Remplacer un chanteur, ce n’est pas que remplacer un visage : c’est remplacer une voix à laquelle les fans sont attachés, des paroles qui résonnent avec chacun d’entre eux, et une vision unique qui donne vie au projet. Comme me l’a si souvent répété Ben (avec tout l’amour qu’il me porte), un musicien ça se change aussi facilement qu’une chemise, pas un chanteur. J’aime mon job, sinon. « And don’t flatter yourself, you’re not that pretty. » J’arrive à capter le regard d’Ana pour lui faire un clin d’œil complice, guettant la naissance d’un sourire sur ses lèvres rosées.

Elle finit par changer de sujet sur un terrain que j’imagine moins glissant pour elle, recadrant la conversation sur la raison de ma venue au Daddy’s. J’ai bien envie de lui répondre que je n'ai pas pris rendez-vous pour un cours d’aquaponey, mais je me retiens. Par contre, je ne me retiens pas de lui faire remarqué que si elle avait lu ses mails comme une professionnelle qui se respecte, elle aurait eu toutes ses réponses. « I did things the proper way, booking an appointment and shit and that’s what I get ? Gee ! » La prochaine fois je me pointe les mains dans les poches avec une vague idée de ce que je veux, ça me prendra moins de temps ! Quoique à bien y réfléchir, le patron serait capable de me chasser avec un coup de pied au derrière. « I wanted a snake on my arm, like that… » Mon doigt trace une sorte de serpentin au niveau de mon biceps gauche tandis que je m’évertue à décrire l’image que j’ai en tête à l’aide de mon vocabulaire d’enfant de 5 ans. « Like black and skinny with a white belly… Wait actually I think I took it from your portfolio, last update. » Loin de me considérer comme heavily tattooed, rien ne m’empêche de suivre avec intérêt chaque update du site internet où son posté régulièrement les nouveaux flashs disponibles. Bien m’en a pris puisqu’il y a quelques jours, l’une des dernières créations d’Ana m’a tapé dans l’œil : un beau serpent stylisé en noir et blanc qui appelait mon nom. « But don’t think you got away with that change of topic, I’m still on you, Parker. » Je lui rappelle, juste comme ça, tout en lui jetant un regard en coin.


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MessageSujet: Re: I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton)   I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton) EmptyMar 27 Aoû - 20:18

I don't know if we know why we're here
Oh my, too deep, please stop thinking
Ana & Ashton

Parler de ma carrière musicale est quelque chose que j’adore faire au Daddy’s, quand je milite pour qu’on diffuse l’album comme musique d’ambiance. Ce n’est pas particulièrement plaisant d’en parler quand je doute de tout et que je pense avoir envie d’arrêter, assez pour avoir prononcé le mot « pause » auprès de mes amies. Ce qui est agréable, avec Alex, c’est qu’il n’est pas trop du genre à me poser de questions là-dessus. Il s’enquiert de savoir où je vais lorsque je pose des jours de congés pour partir en concert, mais généralement pas plus. Ashton, en revanche, est capable de demander plus. Le bougre partage ma passion pour la musique, a son propre band et ça fait quelques années qu’on se connaît et se suit ainsi. On se chamaille et s’espionne, une rivalité innocente et mignonne existe entre nos groupes, mais on est aussi les premiers à chercher à avoir les dernières nouvelles des autres. Le poisson n’est pas frais, cette fois, et Walker a l’air particulièrement concerné. Alors au lieu de discuter tatouage comme on est supposé le faire, j’expose à Force Rouge mes doutes et mes craintes musicales. Je suis fatiguée, et j’ai l’impression d’être inutile au groupe, facilement remplaçable. J’ignore l’argumentaire d’Ashton, auquel je pourrais rétorquer que si le lead singer de Smile n’avait pas quitté le band nous n’aurions jamais eu Queen, parce que ce n’est pas tellement le moment d’avoir un débat musical. « Are you really fishing for praise and compliments from me right now ? Because it’s working damn well. » Un bref rire m’échappe et je lève légèrement les yeux au ciel. « I really am not, I’m just having a pity party, Ash. » Mais s’il est lancé sur les compliments, please do tell. Papy sort la voix de la raison, l’heure est grave. Et il n’a sans doute pas tort, je sais bien que Lynn et Paige ont juste crée en gardant la hype gagnée à la suite du festival, et que je n’ai pas suivi uniquement parce que ma mère a fait une rechute. Ça n’empêche pas que le problème est toujours le même, qu’il est toujours de mon côté, et que je ne me sens absolument pas d’aller de l’avant – pas en ce moment en tout cas. Mes lèvres commencent à s’étirer dangereusement vers le bas et j’évite soigneusement les prunelles vertes d’Ashton avant de ne commencer à pleurer. Ce n’est pas tellement une expérience que j’ai envie de vivre, on va donc éviter de commencer à chouiner maintenant. « You’re the voice of NON, it wouldn’t be the same without you. » No but it might be better. Je force un léger sourire, prête à changer de sujet pour virer cette sale tension faiblarde qui m’habite et que j’avais réussi à éviter aujourd’hui. « Did Ben threaten to kick you out of the band again? He’s right, you’re super annoying. » Il peut toujours devenir Grand Maître Sage, il lui manque juste les cheveux blancs pour compléter sa panoplie. « And don’t flatter yourself, you’re not that pretty. » Ouch. Mon visage se tord en une expression outrée mais un rire m’échappe lorsque je croise son regard – et son clin d’œil un peu trop mesquin. « And you’re still wondering why you don’t have a girlfriend, Walker? You clearly don’t know how to speak to girls. » Oh hey, you’re not very pretty but I think you’re awesome, wanna make out? part d’une bonne attention mais tout de même. J’arrête de le taquiner quelques secondes pour prendre une grande inspiration. « But thank you. Not for that last un-compliment, but for the rest. » It’s nice to feel supported, Ashton is an great friend.

On se recentre sur la raison initiale de sa présence ici, et Monkey Man s’indigne que je lui demande pourquoi il est là. Eh, oh, calmos Ramos, j’ai au moins une dizaine de rendez-vous par jours, je ne peux pas retenir l’intégralité des mails et des commandes faites. Et puis, ça fait la conversation, et ça permet de m’assurer que le gus n’a pas changé d’avis avant de n’incruster sur sa peau un motif qu’il détestera toute sa vie. « Gee, Ash, what you get is one of the best tattoo artist of San Francisco, a pretty face to stare at when you’re pretending it doesn’t hurt and a 10% discount because you’re my friend. Poor you. » More like lucky bastard, eh. « I wanted a snake on my arm, like that… » Son doigt vient tracer une sorte de huit sur son biceps gauche, et je plisse légèrement les yeux alors que je commence à visualiser la chose. La lumière se fait lorsqu’il mentionne mon portefolio, please start here next time, et un sourire vient s’inscrire sur mes lèvres. J’aime bien ce motif, il est plutôt badass avec un côté mystérieux, j’en suis assez fière je dois dire. « Ooooh okay, it’s pretty cool, good choice. » Je valide. Il a peut-être une réduction de 10 % parce que c’est mon poto, mais il a aussi le droit à mon jugement sur le choix de ses tatouages. Si je me suis moquée de son cœur près de son poignet – rapidement contré de son côté parce que je possède moi-même un trèfle – je valide celui-ci. J’attrape doucement son avant-bras pour qu’il tende son bras et que je puisse tripoter son biceps du bout des doigts. J’ignore de mon mieux le petit tressaut que fait mon estomac lorsque je sens la peau musclée sous mon toucher, mais damn those drummers. « How big d’you want it? » Je propose des semblants de taille en écartant mes doigts, exagérant un écart trop petit lorsqu’il demande smaller ce qui m’arrache un rire, avant de sortir les papiers transferts déjà prêts avec le motif sous plusieurs formats.

« But don’t think you got away with that change of topic, I’m still on you, Parker. » M’informe-t-il lorsque je reprends place à ses côtés. Je tourne légèrement la tête en sa direction, soutenant son regard dans un souffle qui semble résonner dans l’air. Mes lèvres sont pressées fermement l’une contre l’autre alors que j’hésite quant à la manière de lui répondre. Funny/Flirty or Serious ? Mais c’est trop important pour que je tente une nouvelle fois l’humour, aussi je finis par pousser un léger soupir avant de me mordre trop brièvement la lèvre inférieure, comme si je regrettais déjà ce choix. « You’d better be. You’re my safe place, Walker. » Même si je n’avais pas encore pris le temps de lui parler de mes doutes, je l’aurais sans doute fait à un moment donné. Parce qu’il écoute, parce qu’il donne des conseils justes, parce que c’est un soutien inattendu mais fort bienvenue depuis ma rupture avec Hannah. Nos ressemblances me permet de ne pas craindre son jugement, et d’espérer une nouvelle vue sur mes pensées. Ça marche pour l’écriture, ça marche pour mes tracas. J’irais sans doute lui raconter mes malheurs, à partir de maintenant, et il devra sans doute me dissuader une ou deux fois encore que le groupe a besoin de moi avant que l’idée ne me quitte définitivement. « Anyway. Let’s get down to business. » To defeat the Huns. Trêves de sentiments, notre rendez-vous est compté dans le temps et je dois faire un homme d’Ashton Walker.

@Ashton Walker I'm forced to deal with what I feel, there is no distraction to mask what is real. (Ashton) 677558782
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