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 You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)

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MessageSujet: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyMer 22 Mai - 22:44

Thug life ? Drop the T and bring it here.
Romlex

Je regarde avec beaucoup d’intensité la pauvre créature qui me sert de meilleur ami, et qui me regarde avec autant d’intensité. How homoerotic of them. Mes yeux se plissent légèrement, on serait dans un western que nos mains frôleraient les pistolets attachés à notre ceinture de super cowboys pour savoir qui a la plus grosse, parce qu’on n’est pas gays, on est des cowboys. Fun fact, les cowboys étaient en réalité très gays et peu blancs. Fun fact bis, encore quelque chose que la culture américaine a effacé grâce à Hollywood. Yeehaw. Mais ce n’est pas le débat actuel, non. Le débat actuel est de savoir chez laquelle de nos familles européennes nous allons squatter une petite semaine de vacances. Ma grand-mère est prête à nous recevoir à Pompéi, de sombres cousins que je n’ai vu qu’en photos nous ouvrent leur porte à Winterthour. Il prétend que nous sommes déjà allés en Italie l'année derrière, je joue la carte du traumatisme de la Suisse des suites à son accident. Oui, même après toutes ces années. Et aussi, je travaille trop, donc j’ai le droit de choisir le lieu de nos vacances. Ses yeux se plissent à son tour, il n’a pas l’air d’être prêt à me céder. J’vais piquer une crise, il ne faut pas me chercher. « Pourquoi est-ce qu’on ne part pas chacun de notre côté, et tu me rejoins un week-end ? » Haaan, le malotru, il veut nous séparer. J’échappe un soupir scandaleux, c’est scandaleux ! Comment ose-t-il ?! « Après tout l’amour qu’on s’est donné, Oswald Landolt ??? » Il lève les yeux au ciel à mon offusquement et je me mets à glousser. « Rome, on n’a qu’une semaine. » Justement, ce devrait être une semaine d’amour, pas de séparation. « Tu veux m’abandonner avec ma grand-mère. » Il lève les mains en l’air, presque excédé. Eh, non. C’est moi qui suis outrance et colère, pas lui. « C’est TA grand-mère. » « Mais elle t’adore ! » « Elle pense juste que nous sommes ensemble et me glisse tous les ans qu’elle se fait vieille et qu’elle veut venir à notre mariage ! » « Elle. T’adore ! Et tout le monde attend ça, soyons honnêtes. » Maintenant, on est deux à glousser comme des gueux. Unis, dans l’adversité… Poppy fera prêtre, elle va adorer. « D’accord, je veux bien te rejoindre un week-end. » FUCK YES. C’est déjà ça de gagné, je ne vais pas faire le difficile non plus. Je tends une main au-dessus de nos ordinateurs posés sur la table, et il la serre avec son air désabusé. Il m’aime, n’oublions pas. Après ça, il est l’heure de réserver le billet d’avion. Iooooooon. C’est le bruit de l’avion, chut.

Après avoir parlé vacances, on est redescendus sur terre et on s’est penché sur la troupe. Est-ce qu’on a gagné des sous avec la dernière pièce ? Oui. Mais ça couvre juste le budget, les dépenses faites pour les décors et les salaires de l’équipe technique et des comédiens. On a eu quelques articles dans la presse, des plutôt bons. On a encore un mois de représentations au théâtre, après, on remballe. Je crains le pire. Le pire étant, on ne fait pas plus d’entrées que ça ce qui nous conduit à trouver encore d’autres partenaires pour nous financer. La prochaine pièce sera sur l’industrie du Coca-Cola, trop cool. Ou pire, on met la clé sous la porte. Je le vivrais très mal. La troupe tient depuis une quinzaine d’années, et ça ne fait qu’un an qu’on en a repris la direction avec Oswald. La perdre maintenant serait entièrement de notre faute, et non seulement je m’en voudrais mais je perdrais une petite partie de moi aussi. On ne peut, doit, donc pas baisser les bras. Malheureusement, je ne suis pas aussi disponible que je le voudrais. Les cours touchent à leur fin et je vais pouvoir faire une pause avant d’attaquer l’université d’été, mais le mois des fiertés arrive vite et je suis sollicité pour parler ici et agiter un drapeau là. Sans oublier les soirs où je garde Eliott… Mon meilleur ami me fait justement remarquer que je ne suis qu’un homme – j’étais au courant de ça – et que si je continue, ça va mal se finir. Je suis fatigué, les cernes sous mes yeux ont deux étages et sont franchement dégueulasses. Ma mèche de cheveux blancs – la folasse – ne fait que s’agrandir dernièrement. Il va falloir que je fasse des choix, parce que je ne peux pas tout faire. Et même si j’ai commencé à refuser deux trois trucs, ici et là, je ne peux pas me résigner à refuser tout. J’ai envie de m’épanouir dans plein de trucs à la fois, que tout soit priorité, ce n’est pas compliqué. À comprendre, non, en pratique, si. La bonne nouvelle, c’est que depuis Lewis, je n’ai renversé personne d’autre. C’est déjà ça.

Il commence à faire nuit lorsque je range mon ordinateur dans mon sac. « Aight homie, je file. Le bisou, je t’aime, à tantôt. » Je suis une personne polie et je vais embrasser la joue presque barbue du petit suisse avant de quitter son appartement. La porte derrière moi, mon regard tombe naturellement sur celle d’en face. Il me faut quelques secondes, le temps que les neurones se connectent, jusqu’à ce que la lumière se fasse. Alex habite ici, maintenant. J’ai oublié. Je rentre à nouveau dans l’appart’ d’Oswald avant que celui-ci ne ferme à clé derrière moi. « Puis-je t’emprunter une bouteille de vin ? » Je puis. Alors je le fais, je lui embrasse l’autre joue, et je traverse le pallier. Un autre homme à ma place serait rentré chez lui pour aller pioncer, mais je ne suis pas n’importe qui. Je suis beaucoup trop sociable, un tantinet irresponsable et, comme dit précédemment, je n’ai aucun sens des priorités. Alors rendre visite à Alex maintenant semble être une excellente idée. C’est fichtrement pratique qu’elle habite en face d’Oswald, je vais pouvoir la visiter plus souvent. C’était d’ailleurs l’un des principaux arguments pour qu’elle prenne cet appart, mais si, viens, je viendrais te voir plus souvent. C’est la deuxième fois que je mets les pieds chez elle. C’est comme à l’époque où on sortait ensemble, finalement. On a beau être proche dans la théorie, en pratique, on ne se voit pas. And they say romance is dead. Un sourire vient s’afficher sur mes lèvres lorsque les boucles blondes de Miss Harper apparaissent. « Hi sweetheart. » J’agite la bouteille de vin, je viens avec des arguments parce que je suis un parfait gentleman. « Je ne sais pas si tu as mangé, mais je meurs de fin, j’apporte du vin, j’ai envie d’une pizza et d’un peu de bonne compagnie. T’oserais pas me fermer la porte au nez, si ? » Si ? Les gens que j’aime ont-ils tous décidé de me briser le cœur, aujourd’hui ?


@Alex Harper You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 3634053195
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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyJeu 23 Mai - 23:06

Thug life ? Drop the T and bring it here.
Romlex

High in the halls of the kings who are gone, Jenny would dance with her ghosts. The ones she had lost and the ones she had found, and the ones who had loved her the most... C'est sur cet air qu'Alex chantonnait, tout en peignant délicatement sur le mur de son bureau. Si il y a bien une chose qu'elle retenait de la dernière saison de Games of Thrones, c'était cette chanson, chantée par la merveilleuse Florence de Florence and the Machine. Tout le reste de la saison, elle préférait l'oublier à l'heure actuelle. Enfin, sauf les deux premiers épisodes qui étaient vraiment bon. Le reste par contre, était à jeter. Genre vraiment. Elle n'avait d'ailleurs regarder la fin de la série que parce que le visionnage de Game of Thrones était une tradition dans sa bande de pote: chaque dimanche, ils se réunissaient chez l'un d'entre eux, préparaient ou commandaient à manger, et regardaient ensemble l'épisode de la semaine, avant de se perdre jusqu'au milieu de la nuit à le commenter. Le bon et comme le mauvais, surtout le mauvais, sans compter le partage de leur théorie qui les amenait à débattre durant des heures. Et durant cette dernière saison, ils avaient longuement débattu, sauf pour le dernier épisode, où une fois celui-ci terminé, ils ont clamé haut et fort leur frustration. Quant à Alex, elle avait fini par sortir boire un coup avec les garçons pour oublier tout cela. Crap !. Les producteurs avaient gâché une de ses séries préférées à son avis, et cela la frustrait.
Finalement, écouter Jenny of Oldstone n'était peut-être pas une si bonne idée, si bien que la blonde passa à la chanson suivante: du Nirvana. Come as you are. Voilà une chanson motivante, et c'est donc sur un léger déhanché qu'elle reprit sa peinture, une fresque mêlant divers monuments du monde qu'elle avait visité au cours de ses voyages. Elle n'avait pas de plan prédéfini et peignait au gré de ses idées et de son inspiration, s'inspirant de photos trouvées sur internet ou de certaines qu'elle avait prise. Pour le moment, elle avait déjà représenté la Tour Eiffel, le Parthénon, le Colisée, le Taj Mahal, sans oublier bien sur sa chère Statue de la Liberté, qu'elle aimait plus que tout et qu'elle avait bien mieux réussi qu'elle ne l'aurait pensé. Au moins ses cours de peinture obligatoire avait eu un impact positif: elle savait dessiner, ce qui lui permettait d'égayer et personnaliser son chez soi.

La musique toujours en fond, cette fois c'était The Arena de la violiniste Lindsey Stirling qui était diffusée, la blonde repèrait les images pour le dernier monument qu'elle peindrait pour ce soir: l'opéra de Sidney. Enfin, il fallait qu'elle réussisse à le finir car il s'avérait que cela allait bien plus compliqué qu'elle ne l'avait envisageait. Elle multipliait le nombre de photos de vues de la bâtisse, cherchant le meilleur angle à peindre. Bon dieu qu'elle avait adoré visiter cet opéra lors de son séjour à Sidney, tout comme la représentation à laquelle elle avait eu la chance de pouvoir accepter. De bons souvenirs lui revenaient en mémoire, alors qu'elle esquissait les premières courbes sur son mur avec concentration. Enfin ça, ce fut jusqu'à ce qu'elle entende sonner, ce qui la tira de son petit monde. Qui cela pouvait-il être ? Vu l'heure qu'il était, ça ne pouvait être qu'un ami, ou alors ses voisines, les miss catastrophes de l'immeuble selon un autre voisin, mais Alex les appréciait. Elles étaient drôles et sympathiques, et il ne lui en fallait pas plus.
Posant son pinceau dans le verre d'eau à portée, la Harper quitta son bureau, fermant derrière elle la porte histoire de garder les odeurs à l'intérieur, loin de son salon, avant de se recoiffer de la main rapidement, remettant les mèches rebelles à leur place. Puis, elle jeta un regard dans le judas, pour découvrir sur son palier Romeo Flowers. Son ex, et son ami. Qu'est-ce qu'il pouvait bien faire ici à une heure pareille ? Voilà ce que la blonde se demanda, avant de comprendre qu'il devait certainement sortir de chez Oswald son meilleur ami, grâce auquel elle avait entendu parlé de cet appartement. Grâce au Romeo aussi, qui avait d'ailleurs eu de bons arguments pour qu'elle se décide à le louer. Il avait été très doué celui-là, ça elle le reconnaissait. D'ailleurs si on lui avait dit un jour qu'un de ses ex réussirait à la faire emménager dans un appartement précis grâce à des arguments, sans compter le fait que le logement lui plaisait bien sur, elle n'y aurait certainement pas cru. Et pourtant. Comme quoi avec l'italien, ils étaient fait pour être amis plutôt qu'un couple. C'était ce qu'elle se disait tout du moins.
Ouvrant doucement sa porte d'entrée, un grand sourire aux lèvres, Alex secoue la tête en l'entendant la saluer, avant de lui répondre, tout en lui adressant un clin d'oeil amical.

- Hi Honey !

Dit-elle doucement, d'une voix ravie, avant de se pencher vers lui pour lui déposer un baiser amical sur la joue, tandis que le brun agitait une bouteille de vin. Quand elle se redressa, elle le regarda amusée, se retenant de rire.

- En gros, tu viens te faire offrir à manger !

Alex secoue la tête en parlant, toujours amusée, avant de regarder l'heure à sa montre. Il était déjà bien tard, et comme Romeo l'avait deviné, ou presque, elle n'avait toujours pas mangé. Et elle aussi avait envie de pizza. Enfin ceci dit, elle avait toujours envie de pizza, c'était un de ses plats préférés, ce que l'italien savait, tout comme il savait qu'elle ne disait jamais non à ce plat.

- Vin, pizza et bonne compagnie ? Je crois qu'on ne peut pas refuser ! Surtout que je n'ai pas mangé, j'étais accaparée dans autre chose. Quant à savoir si j'oserai te fermer la porte au nez, je n'ai pas de réponse à cette question. Un jour qui c'est. Mais ce soir, non, je te l'ouvre même en grand !

Et joignant les gestes à la parole, la Harper s'écarta de l'encadrement de la porte afin de laisser Romeo accompagnait de sa bouteille de vin entrer dans son petit chez elle.

- Welcome !

Lâcha-t-elle doucement, comme à chaque fois qu'elle accueillait du monde dans son appartement. L'effet nouveau logement sûrement. Logement qui avait d'ailleurs changé depuis la première où le Flowers y avait mis les pieds puisque désormais il était décoré, les tableaux, bibelots et autres affaires, du type coussin, plaid et autre, tout ce qu'on peut imaginer dans un appartement de fille, ayant enfin trouvé leur place.

- J'ai des pizzas au congélateur si ça te dis, sinon on peut commander !


@Romeo Flowers You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 3634053195
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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyDim 2 Juin - 1:01

Thug life ? Drop the T and bring it here.
Romlex

Mes dents elles sont toutes blanches alors je me fais un plaisir de les montrer – faut bien qu’elles servent à quelque chose ces petites quenottes. Bon, en vrai, je suis plutôt content de voir Alex, même si ce n’était pas du tout prévu et même si je m’incruste grave, ouaip. Je suis quelqu’un de poli et j’explique donc ma présence ici, oui, je suis là pour me faire inviter, mais aussi pour profiter de la présence de mon amie parce que je suis un bon épicurien. Comme l’Epicure de taille moyenne l’a dit, pour être heureux il ne me faut qu’un bout de fromage, du vin et une bonne conversation d’un bon ami. J’apporte le vin, Alex est le bon ami, il ne manque plus que le fromage. Mon estomac ayant besoin d’être nourri un peu plus que ça, je propose une pizza, en espérant qu’elle n’ait pas encore mangé. Sinon, je repars bredouille et je me siffle la bouteille de vin tout seul, tant pis pour elle. - En gros, tu viens te faire offrir à manger ! J’acquiesce vivement. Oui, c’est absolument ça. « En gros. » Je répète, retenant de justesse un rire hébété. Je suis une personne grossière, là, pour le coup. Pas gentleman du tout, même si je ne viens pas les mains vides… Rappelons que je viens de voler cette bouteille à mon meilleur ami qui vit en face de la demoiselle. Fort heureusement, la blonde est clémente et veut bien m’inviter chez elle. Coeur sur sa face. - Quant à savoir si j'oserai te fermer la porte au nez, je n'ai pas de réponse à cette question. Un jour qui c'est. Mais ce soir, non, je te l'ouvre même en grand ! Un rire m’échappe, cette fois. C’est un soulagement, j’ai presque envie de frapper dans mes mains de joie mais je me souviens tout de même que je ne suis pas une otarie. « C’est très aimable, t’es trop mignonne, merci. » L’homme a faim, l’homme est invité, l’homme rentre.

Il y a moins de cartons que la dernière fois que je suis venu, et c’est déjà beaucoup plus espacé et décoré. C’est mignon, très féminin, tout à son image. Je retiens que c’est plutôt chouette, chez Alex, je viendrais peut-être squatter plus souvent à l’avenir. « Aaarf c’est joliiii, j’aurais dû t’apporter des fleurs pardoooon. » Ce n’est pas parce que je m’appelle Flowers que je me trimbale tout le temps avec un bouquet de fleurs. Badum-tss. La prochaine fois, promis. - J'ai des pizzas au congélateur si ça te dis, sinon on peut commander ! J’exagère un soupir, lève les yeux au ciel quelques secondes pour faire semblant de réfléchir. Mmmmh. Désolé, les ancêtres italiens, Mamie et compagnie, on va bafouer l’art de la pizza ce soir. « T’embête pas, j’ai vraiment faim, les pizzas du congel’ suffiront. » Mais promis, la fois où je lui apporte des fleurs, je lui fais une pizza maison aussi. C’est tout un programme, dites-donc. Je laisse mes chaussures dans l’entrée, ainsi que mon manteau et mon sac et on file dans la cuisine de la blonde. Le temps que la pizza chauffe, j’ai le droit à la visite, c’est tout joli, elle est en train de peindre et j’ai presque envie d’appeler Oswald pour qu’il vienne voir. « Tu sais qu’Oswald peint, aussi ? Tu es célibataire, en ce moment ? Il est célibataire... Je dis ça comme ça, mais vous habitez pas loin, ça pourrait être super pratique si vous décidez de forniquer et plus si infinité. » Mon métier numéro trois, après prof et responsable de troupe de théâtre, c’est trouver une copine à mon meilleur ami, oui. « Promis, je ne serais pas jaloux. » La question à se poser, c'est de qui je pourrais être jaloux dans l'histoire. D'Oswald parce qu'il sort avec mon ex, on partage ça va roh, ou d'Alex parce qu'elle sort avec Oswald et que je suis un tantinet possessif avec mon meilleur ami ? A débattre. Mes dents elles sont toutes blanches alors je me fais un plaisir de les montrer – faut bien qu’elles servent à quelque chose ces petites quenottes. Bon, en vrai, je suis plutôt content de voir Alex, même si ce n’était pas du tout prévu et même si je m’incruste grave, ouaip. Je suis quelqu’un de poli et j’explique donc ma présence ici, oui, je suis là pour me faire inviter, mais aussi pour profiter de la présence de mon amie parce que je suis un bon épicurien. Comme l’Epicure de taille moyenne l’a dit, pour être heureux il ne me faut qu’un bout de fromage, du vin et une bonne conversation d’un bon ami. J’apporte le vin, Alex est le bon ami, il ne manque plus que le fromage. Mon estomac ayant besoin d’être nourri un peu plus que ça, je propose une pizza, en espérant qu’elle n’ait pas encore mangé. Sinon, je repars bredouille et je me siffle la bouteille de vin tout seul, tant pis pour elle. - En gros, tu viens te faire offrir à manger ! J’acquiesce vivement. Oui, c’est absolument ça. « En gros. » Je répète, retenant de justesse un rire hébété. Je suis une personne grossière, là, pour le coup. Pas gentleman du tout, même si je ne viens pas les mains vides… Rappelons que je viens de voler cette bouteille à mon meilleur ami qui vit en face de la demoiselle. Fort heureusement, la blonde est clémente et veut bien m’inviter chez elle. Coeur sur sa face. - Quant à savoir si j'oserai te fermer la porte au nez, je n'ai pas de réponse à cette question. Un jour qui c'est. Mais ce soir, non, je te l'ouvre même en grand ! Un rire m’échappe, cette fois. C’est un soulagement, j’ai presque envie de frapper dans mes mains de joie mais je me souviens tout de même que je ne suis pas une otarie. « C’est très aimable, t’es trop mignonne, merci. » L’homme a faim, l’homme est invité, l’homme rentre. Il y a moins de cartons que la dernière fois que je suis venu, et c’est déjà beaucoup plus espacé et décoré. C’est mignon, très féminin, tout à son image. Je retiens que c’est plutôt chouette, chez Alex, je viendrais peut-être squatter plus souvent à l’avenir. « Aaarf c’est joliiii, j’aurais dû t’apporter des fleurs pardoooon. » Ce n’est pas parce que je m’appelle Flowers que je me trimballe tout le temps avec un bouquet de fleurs. Badum-tss. La prochaine fois, promis. - J'ai des pizzas au congélateur si ça te dis, sinon on peut commander ! J’exagère un soupir, lève les yeux au ciel quelques secondes pour faire semblant de réfléchir. Mmmmh. Désolé, les ancêtres italiens, Mamie et compagnie, on va bafouer l’art de la pizza ce soir. « T’embête pas, j’ai vraiment faim, les pizzas du congel’ suffiront. » Mais promis, la fois où je lui apporte des fleurs, je lui fais une pizza maison aussi. C’est tout un programme, dites-donc. Je laisse mes chaussures dans l’entrée, ainsi que mon manteau et mon sac et on file dans la cuisine de la blonde. Le temps que la pizza chauffe, j’ai le droit à la visite, c’est tout joli, elle est en train de peindre et j’ai presque envie d’appeler Oswald pour qu’il vienne voir. « Tu sais qu’Oswald peint, aussi ? Tu es célibataire, en ce moment ? Il est célibataire... Je dis ça comme ça, mais vous habitez pas loin, ça pourrait être super pratique si vous décidez de forniquer et plus si infinité. » Mon métier numéro trois, après prof et responsable de troupe de théâtre, c’est trouver une copine à mon meilleur ami, oui.


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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyDim 2 Juin - 11:18

Thug life ? Drop the T and bring it here.
Romlex

Venir se faire offrir à manger chez des amies. C'était bien un truc de mec ça. Heureusement pour Rome, Alex avait toujours des pizzas dans son congélateur. Des tonnes de pizza. Les potes qui débarquent à l'improviste, elle connaissait ça depuis des années maintenant, merci les potos de l'université, si bien qu'elle était désormais rodé pour ce genre d'événements. Au moins Romeo n'était pas venu les mains vides lui: il avait ramené du vin. Car oui, quand ses potes débarquaient, généralement ils ne ramenaient rien, du coup, en plus des pizzas, la blonde avait dû s'équiper en bière, et veillait à toujours en avoir que ce soit dans le frigo ou dans ses placards. On pourrait la prendre pour une ivrogne si on ne la connaissait pas.

- Tu es bien un mec, toi !

Lâcha-t-elle en levant les yeux au ciel, un grand sourire sur les lèvres après avoir entendu le "en gros" de l'italien. Puis, doucement, non sans continuer avec humour sur le fait qu'elle pourrait être capable de lui claquer la porte au nez un jour. Ca pourrait vraiment arriver oui, dans des situations bien précises certainement, car malgré tout la blonde était un chamallow au grand coeur, du coup il lui faaudrait une bonne raison pour claquer la porte au nez d'un bon ami.
L'appartement de la blonde est pour une fois rangée correctement. Pas que d'ordinaire elle était bordélique, mais elle avait parfois beaucoup de monde qui passait chez elle, et avec son travail plus toutes ses activités, tenir une maison parfaite, elle ne savait pas vraiment faire. Mais bon, aujourd'hui, il ne restait que quatre cartons contenant des affaires pour son bureau

- Vin ou fleurs, pour moi c'est la même chose, tu sais !

Un haussement d'épaule et un sourire vinrent ponctuer ses paroles, avant qu'elle ne reprenne la parole, commentant les dires du brun au sujet de son petit appartement.

- Joli et plutôt bien rangé pour une fois, malgré les rares cartons qui traînent derrière le canapé. Des affaires du bureau que je suis en train de peindre, donc d'ici deux-trois jours ils auront disparu.

Et hop, elle n'aurait plus à penser à ce déménagement. Ca serait officiellement du passé, tout ce qu'elle souhaitait. Tout en parlant, la blondinette était allée sortir deux pizzas de son congélateur, avant de mettre le four à chauffer. D'ici quelques minutes, elle pourrait les enfourner et dix minutes plus tard, ils auraient leur dîner de prêt, et du bon vin comme boisson. Mais en attendant, elle proposa un rapide tour de son appart' à son ami. Rapide car celui-ci n'était pas bien grand: une chambre, un bureau, la pièce principale plus un mini cellier et une salle de bain. Pas bien grand du tout. Néanmoins ils s'attardèrent au niveau du bureau où Romeo admira son chef-d'oeuvre en cours. Finalement ça rendait bien mieux que ce qu'elle pensait en était contre le mur à peindre quelques minutes plus tôt. L'ambiance était sympathique, jusqu'à Romeo redevienne Romeo, essayant de jouer les entremetteurs pour la blonde. En l'entendant, elle ne put s'empêcher de lever les yeux au ciel en souriant et secouant la tête négativement.

- Oswald peint ? Vraiment ? Sinon je ne savais pas qu'il était célibataire, mais je ne pense pas qu'il y aura quelque chose entre nous, même si tu es décidé à jouer les entremetteurs visiblement.

Commenta-t-elle en haussant rapidement les épaules, avant de rire en l'entendant parler à nouveau pour commenter le fait qu'il ne serait pas jaloux. Manquerait plus que ça, surtout si c'était lui qui faisait tout pour les mettre ensemble, ce dont il était capable, elle n'en doutait pas.Tournant les talons, toujours en riant, la blonde alla mettre les pizzas au four.

- Et puis actuellement, les hommes et moi, on fait une pause je crois.

Ajouta-t-elle, avant de sortir deux verres à ballon pour le vin. Oui c'était la résolution qu'elle avait prise après avoir enfin quitté son ex et leur appartement. A voir combien de temps elle pourrait tenir.

- Et toi alors, toujours célibataire ?


@Romeo Flowers You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 3634053195
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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyDim 2 Juin - 12:57

Thug life ? Drop the T and bring it here.
Romlex

- Tu es bien un mec, toi ! Ola malheureuse ! Elle commence à faire de la discrimination entre les genres alors que j’en fais mon combat quotidien – quand je ne suis pas fatigué et à l’université, au moins – de brûler cette notion de l’esprit de mes camarades humains. Bon. Elle a de la chance que je sois fatigué, sinon c’était parti pour 3 heures de leçon. À la place de ça, je me contente de plisser les yeux d’un air pas content, posant une main outrée sur mon pauvre petit cœur catholique. « Don’t be sexist, Janine. » Donner des prénoms pourris pendant une leçon de morale – aussi courte soit-elle – est une passion comme une autre. Pour ce que j’en sais, les demoiselles aussi mangent, paraît-il. Tout comme les personnes qui ne se reconnaissent dans aucun genre, dans un genre neutre ou autre. Mais soit. On a dit qu’on ne faisait pas le débat, pour le coup j’ai faim, et j’ai très envie qu’elle m’invite à entrer chez elle dans la joie, la bonne humeur et le consentement. Je m’impose, mais pas trop. Je regrette de n’avoir apporté qu’une bouteille de vin alors qu’elle vient de plus ou moins finir d’emménager et qu’un joli bouquet de fleurs pourrait bien égayer son appartement. - Vin ou fleurs, pour moi c'est la même chose, tu sais ! Je grimace légèrement. D’un côté, oui, un cadeau est un cadeau et les deux sont plutôt agréables, mais. « J’ai piqué le vin à Oswald, je me sens super coupable. » De ne pas avoir pensé à elle et d’improviser ma visite. Fleurs et pizza maison pour la prochaine fois, qui sera un peu plus prévue et organisée que ça, promis. Je souris à la blonde lorsqu’elle m’annonce que son appart’ est bien rangé pour une fois, « Promis je ne regarderai pas derrière le canapé. », parce qu’elle n’a aucune idée du désordre dans le mien et que son désordre ne sera jamais aussi grand. C’est à ce moment que ça me frappe, ça y est, je suis un mâle célibataire d’une trentaine passée, overbooké et je ne prends pas soin de mes affaires. Julio ne passerait pas régulièrement pour me laisser mon neveu à surveiller que ça ferait au moins trois semaines que les poubelles ne seraient pas sorties. Je suis en retard dans le linge. On bénit le lave vaisselle. Et fichtre, I need a significant other and I need it like yesterday.

Une visite et j’ai le droit d’assister aux talents de peintre d’Alex, et forcément, je suis obligé d’amener Oswald dans la conversation. It’s what brothers do. - Oswald peint ? Vraiment ? Sinon je ne savais pas qu'il était célibataire, mais je ne pense pas qu'il y aura quelque chose entre nous, même si tu es décidé à jouer les entremetteurs visiblement. J’acquiesce, oui il peint, vraiment, et je pousse un soupir exagéré presque immédiatement. « Mais pourquoi ?! » Est-ce que je dois commencer à faire une pétition, à marcher dans la rue, à faire des spots télévisés pour que quelqu’un veuille bien donner un peu d’amour à mon meilleur ami ? Ce n’est pas la première fois que j’ai ce genre de réponse lorsque j’essaie de caser Oswald avec une demoiselle. Il n’est pas moche, pourtant, et il est gentil, non ? « Il est beau, il est gentil et attentionné, il est cultivé, il prend des douches tous les jours ! » Qu’est-ce qu’il vous faut de plus, mesdemoiselles ?! Vous préférez peut-être les mâles moches, qui sentent mauvais, qui ne respectent rien et qui votent Trump ? Comment ça se passe ? Est-ce que je dois dédier un ou deux ans de ma vie sur le sujet, et en faire la thèse de mon prochain livre ? - Et puis actuellement, les hommes et moi, on fait une pause je crois. Uuuh, ok. N’oublions pas que le déménagement de ma copine fut causé parce qu’elle s’est séparée de son précédent compagnon. Ok, je veux bien l’excuser, elle. « Toujours pas besoin que j’aille jouer les gros durs menaçants avec Jon ? » Ma menace est plus dans ma perfidie, mais j’ai des contacts, je peux trouver des gros bras musclés pour m’épauler si besoin. Elle sort les verres pour le vin et je m’occupe d’ouvrir la bouteille. On sent la pity party venir, ou pas ? Je la sens, ça va être bien. Ça va être très bien même.

- Et toi alors, toujours célibataire ? Un rire moqueur m’échappe, le liquide rouge vient remplir les ballons, on se croirait dans Game of Thrones. « Tu plaisantes ? J’ai tout plein d’individus qui attendent patiemment mon retour nus dans mon appart. » I mean, I wish. L’idée me fait rire – c’est déjà ça – nos verres s’entrechoquent dans un toast au célibat, donc. « Honnêtement, je n’ai le temps de rien en ce moment, mon partenaire serait malheureux s’iel a besoin d’un peu d’attention. Il faut dire que je ne cherche pas spécialement, non plus, j’attends que ça me tombe dessus, comme d’hab’. » Je suis un homme charmant mais flemmard, qui croit au karma et qui surtout a la flemme de faire un quelconque effort pour trouver un partenaire de vie. Jusque là, ça a plutôt bien fonctionné cette affaire. Mes histoires sérieuses étaient folles, amusantes, vibrantes, et arrivaient dans un bon moment. Ça ne s’est jamais terminé mal, souvent parce que j’étais occupé ou que mon partenaire vivait à l’autre bout de la terre – littéralement. Avec Alex, c’était un peu des deux. On s’est rencontré à San Francisco, à la naissance d’Eliott, on a vadrouillé un été ensemble comme de jeunes insouciants amoureux transits, puis elle est rentrée à San Francisco et j’ai passé plusieurs mois à l’étranger parce que je bossais sur ma thèse. On est resté copains, quand même, parce qu’on avait aucune raison de ne pas. Je me demande ce qu’il se serait passé, si nous étions restés ensemble. Ça ferait quoi, six ans de couple ? Je l’aurais sans doute demandé en mariage, pour suivre le modèle patriarcal  auquel ma famille italienne est attachée ? Mince, on aurait peut-être même un gosse, s’il faut. Ou un projet d’enfanter. Sans vouloir le lui imposer, je n’ai aucun mal à imaginer la blonde dans un rôle de mère, tellement elle est bienveillante et attentionnée. Wow, c’est bizarre, on chasse ces vilaines pensées, merci. Je secoue la tête, me laisse choir sur une chaise de sa cuisine. « Tu sais que j’ai renversé quelqu’un, l’autre jour ? Il va bien, je te rassure. J’ai aussi fraudé mon assurance au passage, donc si jamais tu entends que je suis en prison… Ne t’inquiète pas pour moi, et envoie moi des livres, s’il-te-plaît. » Changement de sujet, en toute subtilité, même si le précédent n’a été abordé que dans mon esprit.


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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyDim 2 Juin - 17:54

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En prononçant son "t'es bien un mec, toi !", Alex s'attendait à une réaction de son ami. Une bonne réaction avec commentaire et compagnie, mais sur ce coup, elle n'eut droit qu'à une petite phrase bateau. Et à un prénom qui n'était pas le sien et qu'elle n'aimait pas. Rome aimait affubler ses connaissances de prénoms des plus moches, elle l'avait déjà remarqué, mais là, il avait trouvé vraiment quelque chose de moche. Limite il l'avait appelé Alexandra, alors qu'il sait pertinnement qu'elle déteste son prénom. Genre vraiment.

- Don't call me like that, Dumber !

S'exclama-t-elle en plissant les yeux, un léger regard noir en prime. Elle tint ainsi plusieurs seconde, avant de finalement rire doucement, en secouant la tête. Il aurait pu choisir une myriade d'autres prénoms, mais il avait choisi un des plus moches au final. Du grand Romeo ceci-cit.
Romeo qui avait d'ailleur ramener du vin, une des faiblesses de la blonde qui était ravie de le voir se pointer avec un tel breuvage. Bien que des fleurs lui auraient fait tout aussi plaisir, il ne fallait pas en douter.

- Ah bah bravo, ça pique le vin de son meilleur ami sans gêne ! Y a des choses qui ne changent pas à ce que je vois.

Elle rit doucement en levant les yeux au ciel. Elle éviterait de dire à son nouveau voisin que le vin était pour chez elle. Surtout que pas très loin de l'immeuble, il y avait un excellent épicier qui vendait du très bon vin, où il aurait pu aller en moins de cinq minutes.
Prenant la bouteille délicatement elle l'emmena dans la cuisine où elle s'occupa de sortir les pizzas pour quelques minutes de leur entre froid et gelé avant de les enfourner dans le four bien chaud. Et pour patienter, rien de mieux qu'un tour de l'appartement, à condition qu'il ne regarde pas derrière le canapé et les cartons.

- Bon après à part des boîtes en carton fermées, y a pas grand chose à voir je te rassure.

Et sur ces mots, elle lui fait une petite visite, où Rome put constater ses talents de peintre, si jamais il ne les avait pas encore vu. Sauf que le brun tenta de la caser avec son meilleur ami, ce qui eut le don de la faire doucement rire. Encore plus quand elle vit ses réactions. Se mordillant la lèvre inférieure elle tenta de retenir au maximum ses éclats de rire, avant de finalement se reprendre pour répondre à ces arguments.

- Certes, il est gentil, attentionné, cultuvé, beau je le concède, et comble de la perfection il prend des douches tous les jours et ne vote pas Trump et sa clique parce qu'il est suisse, mais non.

Super réponse n'est-ce pas ? Elle eut le don de faire sourire Alex, qui se reprit pour lui dire qu'actuellement les hommes et elle faisaient une pause. Il faut dire que depuis sa séparation récente, et le fait qu'elle avait dû vivre dans une relative colocation avec son ex pendant quelques semaines le temps de trouver un nouvel appartement, elle ne cherchait pas vraiment à retomber amoureuse. Non pour le moment, elle cherchait à s'amuser comme une petite folle, ce qu'elle faisait relativement bien avec Jay qui l'entraînait dans grand nombre de soirées. Faut dire qu'il avait ses entrées de partout ce petit malin. Alex aimerait bien connaître son petit secret, mais clairement, son meilleur ami n'avait pas envie de partager pour le moment. Mais le jour viendrait ou Alex le ferait craquer, elle n'en doutait pas.

- Mais non, toujours pas besoin que tu ailles jouer les gros durs. Déjà, est-ce que tu y arriverais ? Faut bien se demander ça avant tout. Et sinon il ne s'appelle pas Jon mais Sid, et on s'est séparé en bons termes je te rappelle, d'un commun accord.

C'était ainsi. Mais si un jour, elle avait besoin de quelqu'un pour mettre une correction à un garçon, elle l'appellerait, qu'il n'en doute pas. Et elle viendrait avec lui, sûrement pour le voir se prendre une petite raclée et jouer la bonne infirmière juste après.

- Néanmoins, je te promets de t'appeler le jour ou je serai besoin de muscles comme les tiens.

Petite pique rapide, avant de se tourner vers les placards en hauteur pour en tirer deux verres à ballons pour le vin, tandis que le brun débouché la bouteille. Si elle s'écoutait, la blonde ferait juste du pop corn. Vin et pop corn, voilà une de ses passions le soir devant Netflix. Awkward selon beaucoup, mais parfait à ses yeux, donc leurs avis, les autres pouvaient se les garder.
Vérifiant rapidement la cuisson de leur dîner tandis que son ami sert le vin, elle lui demande où il en est lui dans les amours. Sûrement au même niveau qu'elle, mais s'il y a des choses croustillantes à connaître, elle veut savoir. Les potins, elle aime ça, et ne s'en cache pas. Ce à quoi elle eut droit, outre la blague de départ, sur laquelle elle rebondit. Bien entendu.

- Des Apollons j'espère ? Et des Aphrodites aussi ?

Un petit clin d'oeil malin vint ponctuer sa question, avant qu'elle ne l'écoute lui dore qu'il n'avait pas le temps actuellement pour quelqu'un dans sa vie. Un peu comme elle en fin de compte.

- Oui bah si tu cherches pas, il va mettre du temps à te tomber dessus le grand amour, tu sais. C'est ce que mon frère et ma soeur me disent tout le temps, donc c'est avec grand plaisir qu'aujourd'hui je te transmets leur grande sagesse.

Ou pas. Mais son frère lui disait cela sans cesse depuis des années, quand ce n'était pas sa soeur. Deux grands philospophes, à n'en pas douter. En tout cas, la blonde espérait trouver la bonne personne qu'on lui promettait depuis l'enfance bientôt, même si elle ne le dirait jamais à voix haute, faut pas rêver non plus. Et puis, elle ne le cachait pas, elle aimerait avoir des enfants bientôt, et non à quarante ans.
C'est en pensant à ça qu'elle porta son verre de vin à ses lèvres,et pendant qu'elle buvait sa première gorgée de vin, elle faillit s'étouffer en entendant son ami lui annoncer tranquillement qu'il avait renversé une personne l'autre jour.

- QUOI ? Pardon ? Mais qu'est ce qu'il s'est passé encore ? Et comment ça tu as fraudé ? En tout cas, si tu vas en prison, on verra si je garde contact avec toi. Ca dépendra de l'établissement pénitencier où tu seras incarcéré: si c'est une prison violente, oublie-moi, je tiens trop à la vie. Les livres je te les enverrai par la poste, et je t'enverrai une sélection de mon cru en plus comme ça.

C'était légèrement machiavélique, mais cela la fit doucement rire.



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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyDim 23 Juin - 12:49

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Eh, ça va s'finir qu'on va se chamailler sur le pallier et que je vais finalement retourner chez Oswald pour boire son vin en toute tranquillité. Janine vs Dumber, Dumber rage-quit the game. Mais finalement, on s'aime, je rentre chez la petite blonde, que je ne dépasse que de trois centimètres mais size doesn't matter, tout va bien. J'ai le droit à une brève visite de l'appartement, je promets de ne pas regarder derrière le canapé, on se décide pour ses pizzas surgelées. Promis, je ne dirais rien à ma maman pour cet outrage à notre culture. Lorsque j'ai le droit de voir ses peintures, je suis obligée d'essayer de la caser avec Oswald. C'est le combat de ma vie, que voulez-vous. Et non, ce ne serait pas bizarre, parce que j'ai moi-même eu la chance d'être le petit-ami de la demoiselle fut un temps. On partage tout, que voulez-vous. - Certes, il est gentil, attentionné, cultuvé, beau je le concède, et comble de la perfection il prend des douches tous les jours et ne vote pas Trump et sa clique parce qu'il est suisse, mais non. Je ne comprends pas les femmes. Ah ! Les femmes. « Mais ? Pourquoi ? Que te faut-il de plus ? Tu préfères les imbéciles avec zéro culture qui te colle des gifles pour prouver leur virilité ? Alex ! » Je vais me fâcher, attention. Ne pas être né femme est peut-être l'un des plus grands regrets de ma vie, parce que j'aurais adoré avoir des cheveux longs et soyeux et pouvoir plaire à Oswald pour qu'on puisse s'épouser et fonder une famille et être l'un de ses couples hétéros qui réussissent et vous donnent envie de vomir. Rome, your gay is showing. Mais d'acc', Alex a d'autres arguments, elle sort d'une relation longue et importante et c'est pardonnable. Je lui en reparle dans quelques mois, c'est aussi noté. Je glousse lorsqu'elle me rappelle le prénom de son ex-compagnon, parce que j'arrive qu'à avoir l'image du petit truc poilu et dégueux de L'Âge de Glace. Sid, Prince des flammes. « Bien sûr que j'arriverais à jouer les gros durs, j'ai des muscles, tu veux voir ? » 'Tention, j'suis prêt à sortir les biscottos, même s'ils sont assez inexistants à côté d'autres. Dwayne 'The Rock' Johnson, par exemple. - Néanmoins, je te promets de t'appeler le jour ou je serai besoin de muscles comme les tiens. MEH, elle ne me croit pas. Et ok, peut-être qu'en ce moment ma masse musculaire n'est plus ce qu'elle était, mais. Dès que j'ai un peu de temps cet été, je me remets au sport, et on verra bien si elle continue de se moquer la gueuse. « Parfait. » Ça aussi, c'est noté.

Après sa vie amoureuse, on en vient à la mienne, et elle n'est pas plus glorieuse. Il ne se passe rien, pour la simple et bonne raison que je n'ai pas le temps. Je n'ai le temps de rien, oui oui, on a déjà fait cette discussion, roh. - Oui bah si tu cherches pas, il va mettre du temps à te tomber dessus le grand amour, tu sais. C'est ce que mon frère et ma soeur me disent tout le temps, donc c'est avec grand plaisir qu'aujourd'hui je te transmets leur grande sagesse. Sa remarque me fait rire, parce que j'ai la même à la maison. « C'est amusant, mon frère et ma mère me répètent la même chose. » Mais bizarrement, lorsque je leur proposent de faire la moitié de mon travail, il n'y a plus personne. C'est dur, d'être un homme, j'vous jure. Ma mère a essayé une fois de me brancher avec une jeune demoiselle une fois, et j'ai fini par hurler que j'étais gay avant d'aller bouder dans la pièce d'à côté. Je n'aime pas, lorsqu'on force les choses, non plus. C'est peut-être autant par flemme que par croyance en de vieilles idéologiques grecques que je laisse les choses se faire naturellement. Ce n'est pas pour ça que ma vie est triste, non plus, non Monsieur. Il m'arrive des choses de fou : je renverse des gens et j'arnaque les assurances. Ça semble affoler mon amie, et je suis obligé de me retenir pour ne pas rire trop fort. Je suis coupable, ne l'oublions pas. « Je m'énervais au téléphone en conduisant, Lewis était sur son portable en traversant, pof. J'ai fraudé en le faisant passer pour mon époux, mais notre mariage était trop récent pour qu'il ne soit inscrit dans mes papiers d'assurance. Il va bien, il s'en est remis, et on échange souvent par messages. Je n'ai pas de nouvelles de l'assurance, par contre. » Ni petit courrier pour dire qu'ils ont bien pris en compte mes frais d'hôpitaux, ni grand courrier et convocation au tribunal parce qu'ils ont compris que je n'ai pas d'époux et que je n'ai pas eu besoin d'aller à l'hôpital. Je vis dans l'illégalité et l'insûreté de mon sort, mais je le vis bien. Pas l'temps d'y penser, surtout. « T'es obligée de garder contact avec moi, Alex, par contre. Sinon je vais devoir m'échapper pour venir te fâcher et prendre quelques années en plus. » Et elle ne voudrait pas ça, non ?! Quand même. « J'ai faim. » Au passage, mon estomac n'est toujours pas rempli et l'odeur de pizza commence à se faire sentir fortement.



@Alex Harper You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 3610622266
Et pardon pour l'attente
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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyMar 23 Juil - 9:23

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Alex ne peut s’empêcher de lever les yeux au ciel quand elle entend Romeo vouloir la caser avec Oswald. Tout ça parce qu’il avait vu ses peintures et que les deux aimaient peindre. Comme si cette amour de la peinture faisait tout. Néanmoins, un petit sourire amusé apparaît sur les lèvres de la blonde quand elle l’entend continuer d’argumenter. A croire qu’il y tenait vraiment. Surtout qu’il argumentait le bougre, et qu’il avait de bons arguments, ce que la blonde en pouvait que lui reconnaître.

- Pourquoi je ne veux pas de Oswald ? Rien contre lui, je te rassure, mais pour le moment, je vais profiter de mon tout récent célibat. Et puis, confidence pour confidence, j’apprécie Oswald, mais je ne ressens pas le moindre sentiment pour lui. Si ce n’est pas triste !

Dit-elle en haussant les épaules, un sourire malicieux sur le coin des lèvres, avant de reprendre la parole rapidement, pour finir de répondre à ces dires.

- Et pour infos, je ne supporte pas les imbéciles en manque de culture, je te rassure. Encore moins ceux qui frappent ou violentent leurs femmes, que ce soit physiquement ou psychologiquement.

Ca c’était bien une des choses qu’elle ne tolérerait jamais au sein de son couple. Elle voyait déjà bien assez de femmes battues à son boulot, sans parler des enfants qui les accompagnaient. Bon dieu, si elle était violente, elle aurait sûrement tout fait pour régler leur compte à ces mâles alphas qui se sentent supérieurs à tout le monde, sans la moindre raison. Heureusement pour elle, Sid, enfin Sidney, mais comme elle, il préférait les raccourcis, n’avait jamais été violent envers elle, ce qu’elle n’aurait jamais accepté de toute façon.
Sid que Romeo ne pouvait s’empêcher d’appeler d’une autre manière, à chaque fois. Et comme d’habitude, le prénom du jeune homme fait glousser le brun. Allez savoir pourquoi… mais connaissant Romeo, la raison ne devait pas être des plus profondes, certainement une connerie.

Détournant la conversation, Alex s’intéressa aux amours de l’italien, histoire que la balle ne soit pas toujours dans le camp de celui-ci mais au centre pour une fois. Et puis sa vie amoureuse, elle en entend déjà assez parler avec son frère et sa sœur. A chaque fois que la fratrie se réunit, elle y a droit… Comme si vivre célibataire était un crime. En tout cas, ça la rassure de savoir que Romeo vit la même chose de son côté, avec sa famille.

- Au moins, on se comprend sur ce point-là… A croire que rester seul est un crime !

Son rire cristallin vint ponctuer sa phrase durant quelques secondes, tout en secouant la tête. Et puis la conversation glisse vers un nouveau sujet de conversation de Romeo, qui lui annonce qu’il a eu un accident de voiture et lui explique qu’il avait frauder… Certainement pour s’éviter des ennuis avec son assurance, mais ce n’était pas une bonne idée. Au moins, il semblait avoir fait une rencontre, ce Lewis, qu’il avait renversé.
Après un regard surpris, puis elle se ressaisit et reprends la parole, lui disant qu’à frauder il va finir en prison, où peut-être elle ne viendrait pas le voir. Les prisons, très peu pour elle, peu importe ce que lui dirait son ami.

- Obligée ? je n’ai pas signé de contrat aux dernières nouvelles qui m’oblige à garder de contact avec ta personne le jour où tu finis en taule pour meurtre ou autre. Encore plus dans les prisons américaines, ce n’est pas des endroits à fréquenter selon moi ! Donc, à la place, je t’enverrai Oswald.

Sourit-elle, amusée, fière de sa connerie. Ok Alex. Il est tard, et tu es vraiment fatiguée… Pensa-t-elle, se retenant de rire, avant de se tourner vers le four en entendant son invité, enfin si elle pouvait l’appeler ainsi puisqu’il s’était invité de lui-même chez elle, dire qu’il avait faim. Ouvrant la porte de l’électroménager avec délicatesse, elle put constater que la pizza était parfaitement cuite, du moins comme elle aimait elle, et l’en tira d’un geste sûr.

- Respire l’italien, tu vas manger sous peu. Je ne te garantis pas de la grande cuisine par contre. La pizza de ta mère est forcément mille fois meilleure à celle là… La mienne aussi, quand je prends le temps d’en faire une à la main.

En parlant de pizza maison, elle se rappela qu’elle avait quelque chose à lui demander.

- Au fait, tu n’aurais pas une recette de Minestrone de légumes au pesto ? J’en ai goûté dans un resto italien l’autre fois, à tomber par terre, et depuis je cherche une recette similaire. J’ai donc naturellement pensé à mon italien préféré et sa mama !


Petit resto italien parfait d'ailleurs. Elle y retournerait sans doute bientôt, à n'en pas douter.



@Romeo Flowers désolée pour l'attente j'ai eu quelques soucis... j'ai un peu honte --'
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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptySam 3 Aoû - 21:17

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Oswald est le célibataire le plus incompris et mal-aîmé de cette planète terre. Je ne vois que deux solutions : je l’inscris à la prochaine édition du Bachelor ou I’ll tap that ass myself. Rappelons que la première fonctionnera sans doute mieux, car je ne suis malheureusement pas le genre préféré du garçon. Je désespère de lui trouver une chaussure à son pied, et qu’il ne doive passer le reste de sa vie en chaussons. Alex n’est donc pas la bonne, soit. Je l’excuse, parce qu’elle est gentille, jolie et qu’elle a accepté de me nourrir ce soir, et parce qu’elle sort d’une rupture. « C’est très triste. » Je glisse quand même, pour conclure, avant qu’on en vienne à ma personne. Rien de mon côté, si ce n’est qu’une certaine pression familiale pour se trouver un quelqu’un. - Au moins, on se comprend sur ce point-là… A croire que rester seul est un crime !  Je hausse les épaules, poussant un soupir exagéré en plus. « Et encore, toi, t’es jeune. Attends de passer les 30 ans, tu verras que ce sera pire. » Si on fait un calcul des points de pression sociale, ça double lorsqu’on passe les 30 ans ou lorsque quelqu’un dans votre famille a déjà des enfants. Je suis en plein dedans, mais j’arrive à berner ma maman en étant présent à tous les repas de famille et en lui faisant mes yeux de biche. On s’en sort comme on peut. Ma maman aurait adoré avoir Alex en belle-fille, cela dit. Elle est fraîche, gentille et sans doute douée avec les enfants – puisqu’elle travaille avec eux. Et avant de ne m’embarquer sur le chemin sinueux de « et si on était resté ensemble huhuhu ? », je m’embarque sur celui non moins tordu de mon accident de voiture tourné en arnaque en assurance qui, si le destin le décide, me mènera tout droit en prison. Alex refuse de me visiter, et préfère m’envoyer Oswald à la place. Elle est pas super sympa, comme copine. « Je vais te rayer de mon testament, Blondie. » C’est tout ce qu’elle mérite, vraiment.

L'homme réclame à manger et le manger veut bien coopérer pour être prêt. Fantastique. - La pizza de ta mère est forcément mille fois meilleure à celle là… La mienne aussi, quand je prends le temps d’en faire une à la main. Un sourire délicat vient s'inscrire sur mes lèvres, alors que la simple pensée de la cuisine de ma maman me ravie. « Oui mais c'est la cuisine de ma mamaaaaan. » Ceci explique tout, d'accord ? Love your mothers, y'all. L'idée d'Alex qui cuisine aussi, me rend jouasse, parce que je trouve ça chouette et beau les gens qui cuisinent. C'est avec grande tristesse que je dois avouer que je n'ai malheureusement pas le temps de cuisiner, et que je me contente des plats préparés et emballés par ma mère ou mon frère ou, pire, des surgelés de l'industrie polluante du coin. SHAME. Alex sort la pizza et je me lève de mon siège pour chercher divers instruments de cuisine je sais qu'on dit ustensiles pour manger le plat plus proprement. Et c'est l'interro surprise, pour une recette de cuisine italienne. J'aimerais, vraiment, être une encyclopédie de recettes. Malheureusement, je suis une encyclopédie de mythes antiques et principes féministes. « Je peux effectivement demander un peu de son savoir à Mama Flowers. » Plutôt qu'impoviser une recette et pleurer devant l'atrocité culinaire qui en ressortirait. « J'peux même lui demander de t'en faire, si jamais tu veux venir dîner un week-end. » Je ne sais pas si ça branche Alex, un repas avec ma mère, mais je suis sûre que cette dernière serait ravie de voir que j'ai encore des fréquentations féminines autre que Poppy. Et ce serait lui donner de faux espoirs et je suis un homme cruel, j'en ai bien conscience. « Aussi si tu peux lui dire que tu regrettes l'époque où on sortait ensemble, ça me gagnerait quelques mois de pression, j'dis ça je ne dis rien. Mais c'est un bel échange pour ta recette de champignons, non ? » Et en plus je n'ai pas retenu le plat qu'elle voulait, quel malotru.


@Alex Harper tqt You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 2491817768
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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyVen 30 Aoû - 10:46

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Si Alex avait choisis de prendre du temps pour elle et de profiter de son tout récent célibat, c'était surtout pour éviter d'aller trop vite dans sa nouvelle relation pour combler un manque qu'elle ne ressent pas vraiment. Et puis, mieux vaux être seule par moment, ça fait du bien, surtout que le célibat permet nombre de choses qu'elle ne se permettait plus quand elle était avec Sid, telle que aller en boîte de nuit toutes les semaines avec ses amies, pour ne rentrer qu'aux aurores. Rien de plus excitant non ? Alors désolée pour Oswald et encore plus pour Romeo qui souhaitait caser son ami avec la blonde, mais c'était non. Sans compter que bien qu'elle appréciait l'ami de Rome, il ne l'intéressait pas plus que ça, pour ne pas dire du tout.
Seul problème au célibat de la blonde actuellement: la pression que les siens lui mettaient car elle était seule. A croire que c'était un crime, et qu'on était mieux à deux dans la vie. Enfin c'était ce que ses aînés lui répétaient souvent, et elle savait que bien que ses relations avec ses parents soient limités, ils en pensaient de même. Ce dont Alex se fichait complètement.
En entendant la remarque de Romeo, elle leva un sourcil amusé, en souriant, avant de reprendre la parole.

- Jeune ? Mais toi aussi tu es jeune, même si tu as légérement dépassé le cap des trente ans, Rome ! Trente ans ne signifie pas le début de la fin, hein. Et si à ton âge je suis encore célibataire, et bien, il en sera ainsi, et je ne m'en ferai pas le moins du monde, écoute !  

Oui trente ans ce n'était pas la fin de leur jeunesse, bien au contraire, ils avaient encore de la vitalité à cet âge là pour s'amuser et profiter de la vie. Certes beaucoup de personnes dans la société avait cette idée préconçue que trente ans c'est l'âge où on s'établit, où on se marie car on a un bon job, mais pour Alex ce n'était que des conventions, dont elle se fichait royalement. Et si elle était seule à cet âge là, elle ne se ferait pas de soucis. Au pire, le jour où elle désirera un enfant, si celui-ci vient, et qu'elle est seule, elle fera un bébé toute seule comme on dit. Ce n'est pas une idée qui la terrifie.
Mais le sujet de leur conversation dévie vers autre chose, et plus précisèment vers l'accident que l'italien a eutquelques jours auparavant et à l'anarque aux assurances qui en a découlé. Manquerait plus qu'il finisse en taule pour ça... Et cette idée ne ravissait pas la blonde.

- Non mais tu pourras me rayer de ton testament si tu le souhaites. Mais tu me vois, moi, toutes les semaines venir au parloir d'une prison pleine de mecs tatoués de partout et baraqués comme Vin Diesel ou The Rock ?

Demanda-t-elle, le plus sérieusement du monde. Elle imaginait déjà Romeo entouré de ce genre de mecs baraqués, et si l'image la fit d'abord grimacer, elle finit par rire doucement, tout en reprenant la parole.

- Quoi que, te voir là-bas, entourés par ce genre de gros bras, mériterait un déplacement de soutien de temps en temps, je te le concède !

Et de toute façon, s'il venait à finir en prison un jour ou l'autre, bien sur qu'elle viendrait le voir. Peut-être pas toute les semaines, mais elle viendrait, avec de bons muffins et des livres. Et une pizza surgelé, histoire de le faire rager en lui parlant des bonnes pizzas de sa mère dont il n'aurait plus droit.

En parlant de pizza, le brun avait faim, et dieu que c'était pas facile de faire patienter un italien affamé. Heureusement pour la vie de la blonde, leur repas improvisé était prêt, et en un tour de main, posé sur l'îlot central de la cuisine. Bon ce n'était pas de la grande pizza, mais ça serait mangeable.

- La cuisine des mamans, c'est toujours meilleur de toute façon, sauf si se sont de piètres cuisinières !

Comme sa mère, mais la blonde avait grandi avec une gouvernante qui cuisinait à merveille, du coup les bons plats avaient remplis son enfance, comme celle de son ami fut remplie par les bons plats de sa mère à elle. Une vraie mama italienne. En parlant d'Italie, cela rappela à Alex qu'elle voulait demander quelque chose de précis à son ami, concernant une certaine recette italienne, tandis qu'elle tire d'un placard deux assiettes, laissant son ami s'occuper des ustensile.

- Serait-ce une invitation à venir dîner chez les Flowers ?

Demanda soudainement la blonde en se retournant vers le brun, grand sourire sur les lèvres, les assiettes à la main quand elle l'entendit parler de demander à la Mama de lui préparer le plat pour un soir.

- Je suis sûre qu'elle sera ravie de voir que nous avons encore de bonne relation.

Ajouta-t-elle en penchant un instant la tête sur le côté, sourire amusé. Alex n'avait pas beaucoup vu la mère de Romeo, mais les quelques fois où ça avait été le cas, elles s'étaient plutôt bien entendu. Alors la revoir lui ferait vraiment plaisir. Mais possible retrouvailles qui s'accompagnaient d'une demande de son ami. Elle aurait dû s'en douter.
S'installant sur un des haut tabourets du comptoir, posant les assiettes, elle le dévisagea quelques secondes en silence, avant de finalement hocher la tête.

- Ok, deal ! J'ai ma recette et droit à la version de Mama Flowers et en échange, je te fais gagner quelques mois de répits niveau pression maternelle. Par contre, ce n'est pas une recette de champignon, mais une recette de Minestrone de légumes au pesto. Retiens bien Flowers, car si j'ai pas ce plat là ce jour-là, le deal est annulé, et je te torturerai avec ta chère maman !

Elle eut un sourire sadique qui apparut sur les lèvres tout en parlant. Oui, si il se trompait, elle l'embêterait avec grand plaisir.


@Romeo Flowers You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 749944536 désolée pour le pavé You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 3877165405 j'espère que ça t'ira You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 677558782
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MessageSujet: Re: You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex)   You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) EmptyVen 20 Sep - 12:51

Thug life ? Drop the T and bring it here.
Romlex

Après la question de couple, on traite la question de l'âge. Tout est relatif et dépend de son point de vue influencé par la société dans laquelle on a évolué, la famille dans laquelle on a grandit et si oui ou non maman faisait une fixette sur la crème anti-rides à même pas 40 ans. Mon problème à moi, c'est cette foutue mèche de cheveux blancs qui trône sur le coin de mon visage comme un marque page. C'est d'ailleurs la mèche que j'agite lorsque Alex s'indigne que je suis jeune, même à 30 ans un peu passés. C'est mon anniversaire dans pas longtemps en plus, un peu beaucoup passés donc. « Je suis plus vieux que toi, pas d'arguments là-dessus. » Et le problème n'est pas réellement le début de la fin mais plutôt qu'on ne sait pas quand est cette fin.

J'ai quand même rencontré des gens récemment, même si c'était plus un tragique incident qui peut me conduire tout droit en prison plutôt que quelque chose de joyeux et indolore. Lewis, si tu lis ça, encore désolé. Et si tu lis ça c'est que tu es télépathe à distance donc calme-toi Charles Xavier, oh. Question importante, par contre : « Vin Diesel a des tatouages ?! » DJ, comme il aime qu'on l'appelle, oui Rome a rencontré The Rock yakoi, il n'y a pas de doutes. Je suis plus sceptique pour l'autre chauve. - Quoi que, te voir là-bas, entourés par ce genre de gros bras, mériterait un déplacement de soutien de temps en temps, je te le concède ! Un gloussement m'échappe, je conclue l'affaire d'un « Merci bien ! » Et pense déjà à inscrire Alex pour des visites conjugales. Ça peut-être sympa, je dis ça comme ça.

C'est une autre histoire aussi, et bien que j'adorerai en débattre mon estomac a d'autres priorités : la pizza. C'est tout à son honneur évidemment. Alex la sort du four et on épilogue sur la cuisine de ma maman, parce qu'on aime la cuisine et qu'on aime ma maman et donc on aime la cuisine de ma maman. - Serait-ce une invitation à venir dîner chez les Flowers ? J'acquiesce vivement, dressant la table au passage. « Ça l'est, si jamais ce n'était pas clair. » Viens boire un p'tit coup à la maison. - Je suis sûre qu'elle sera ravie de voir que nous avons encore de bonne relation. J'acquiesce encore, parce que si elle en est sûre j'en suis convaincu. Je tiens ma capacité à aimer les gens de ma maman, n'oublions pas. Elle a ce don de se souvenir d'à peu près toutes les personnes qu'elle rencontre, et dedans on peut mettre tous mes petits camarades de classe de la primaire au lycée, mes quelques connaissances ramenées au hasard d'une soirée, les sombres inconnus venus de l'étranger que j'ai invité à San Francisco à plusieurs reprises lorsque je rédigeais ma thèse. Bref. Forcément, elle se souvient d'Alex, d'autant plus que la blonde tombait dans la catégorie préférée de ma maman : mes relations amoureuses. J'arrive à négocier un deal avec Alex : elle joue les ex regrettant et salue notre bonne relation actuelle et je lui file sa recette de champignons. Minotaure au pesto, pardon. « Diantre, il va falloir me l'écrire celle-là. » Alex peut aussi être fourbe dans son genre et je prends très au sérieux sa menace de torture, instinct de survie.

La pizza, évidemment pas aussi bonne que celles de ma maman mais ma foi mangeable, est vite engloutie et on se retrouve avachis sur le canapé, le ventre plein et l'esprit content. Je lui ai déjà parlé d'Épicure ? Probablement 100 fois, et c'est pour ça que je tiens ma langue alors que je tapote distraitement le rythme de la musique passant sur l'enceinte contre le genou de la blonde. Il est content, il touche, y'a pas de mal promis. Je tourne la tête vers Alex lorsque je me rends compte du silence qui s'est installé, mes lèvres s'étirant en un mince sourire. « Je n'ai toujours pas le droit de regarder derrière le canapé ? » Comme si j'allais découvrir une contrée magique derrière, et pas des cartons. Je la taquine, évidemment. « Merci de m'avoir invité, enfin d'avoir accepté que je m'incruste. T'es plutôt sympathique comme personne avec qui traîner. » Et comme personne en général, certes, mais je ne voudrais pas qu'elle prenne la grosse tête. Les quelques secondes suivantes s'attardent également, et je ne sais quelle impulsion me prend, mais je me penche légèrement vers la blonde pour aller poser délicatement mes lèvres sur les siennes. Je blâme la fatigue, le vin, une certaine solitude et ses jolis yeux bruns.


@Alex Harper You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 1244053093 You can call me Nemo, because I’m never afraid to touch the butt. (Rome & Alex) 2491817768
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