Identité : Flynn O’Malley Surnom : Est-ce qu’un nom aussi court que Flynn nécessite vraiment un surnom? Oui évidemment! Whore, c’est celui qu’il a choisi de porter avec fierté Age : 47 printemps brumeux même si sa génétique de dieu grec fait en sorte qu’on y croit qu’à moitié Date et lieu de naissance : 26 décembre 1971 à New York Métier : Ancien vendeur d’assurance/bad boy reconverti en revendeur d’identité, reconverti en taulard, reconverti en mécano, reconverti (une nouvelle fois bah oui) en taulard. Il est maintenant chauffeur Uber à temps partiel. Statut civil : Célibataire au coeur brisé Orientation sexuelle : Bisexuel? Pansexuel? Ca lui importe peu vraiment, tant qu’il a droit à un peu de châleur humaine Groupe : Lost Hurricanes Scénario ou inventé : Inventé, He is my beautiful baby boy Est-ce un double-compte : Double-compte, J’ai aucun self-control vraiment. C’est le dernier promis-juré!

Aspiration : Retomber sur ses pieds, déjà ce serait bien. Nouvellement sorti de prison et sans son accolyte de toujours,  pouvoir rester loin des embrouilles pendant un moment est un projet possible quoique un brin irréaliste. Dans le meilleur des mondes, il réussirait aussi à ravoir la garde de ses garçons, mais il sait que ça ne sert à rien d’espérer des miracles.

Certains enfants souhaitent devenir astronaute ou président. Flynn avait très tôt compris que sa vie allait être encore plus particulière, mais pas de la même façon que les autres. Parce que allez savoir pourquoi, après une vie tout à fait morne et monotone avec ses parents tout à fait normaux dont il était le seul enfant, il avait décidé à la fin de son adolescence qu’il ne serait pas ce que la société s’attendait à ce qu’il soit sans que personne n’ai pu voir venir le tournant qu’il avait décidé de prendre. Il n’était pas un homme bien selon les dires de cette même société, même si en règle générale il ne ferait pas de mal à une mouche., Dès qu’il fait face à un choix quelquonque, il fait le mauvais. À tout les coups. Ce n’est pas qu’il n’est pas intelligent ou inconscient, juste qu’il préfère fermer les yeux sur le gros bon sens général que sa fée marraine lui a offert à sa naissance.

Il avait quitté la maison peu après ses 18 ans, officiellement pour l’Université officieusement pour l’argent. Il avait prit son envol avec le poids de ses prêts et bourses en poche et n’avait jamais fait marche arrière, coupant tout contact avec ses parents. Pourquoi? Il l’ignore encore maintenant, c’était peut-être sa façon à lui de les protéger de tout ce qu’il se savait capable de faire. Peut-être aussi que c’était parce qu’il ne ressentait aucune obligation de rester là. En vérité, il y réfléchissait peu, car cela lui donnait le tournis parfois. Pas de projet clair en tête, ni de boulot, ca lui avait prit moins de trois mois à tout dépenser. Il avait vécu en vrai roi entre temps.Pas stressé pour deux sous, il s’était mit à voyager de lit en lit. Espérant trouver une façon comme une autre de gagner de l’argent. À l’époque, ça restait toutefois gentillet. Il n’avait pas encore tapé dans les trucs trop illégaux, c’était une limite flou qu’il se refusait de franchir complètement, encore là sans vraiment savoir pourquoi, et il préférait plutôt la tatillonner. Il avait bien essayé les boulots normaux, mais rien ne lui apportait plus de bonheur qu’une bonne dose d’adrénaline et une fois cette addiction particulière installée au creux de lui, il avait compris que les limites n’existaient que dans sa tête. À quoi bon.

[…]

À la recherche constante d’une dose plus euphorisante que la précédente, il avait de nouveau déménagé et commencé à dealer sur un territoire n’appartenant à personne, mais qui se trouvait à la jonction de deux territoires de gangs différents. Ça avait le mérite de le garder sur ses gardes, question de pas s’installer dans la mauvaise ruelle et perdre, littéralement, la tête. C’est là qu’il avait rencontré Caleb, son meilleure ami, son frère de cœur, son amant occasionnel et son partenaire d’affaire (il possède probablement d’autres noms, mais on se contentera de ça pour le moment) Une rencontre à l’image de leur amitié de cinglé alors que Flynn était tombé face à queueface avec un Caleb de 15 ans, effronté comme vingt en train de faire des cochonneries avec sa copine de l’époque à l’arrière de son lycée de bourgeois. Ils s’étaient revus à quelques reprises et avaient connectés. Flynn était donc resté dans les parages jusqu’à la majorité de ce dernier et ils seraient probablement restés là pendant un moment supplémentaire si la mort des parents du plus âgé n’avait pas rapatrié ce dernier chez lui.

C’est en signant les papiers d’assurances pour confirmer le décès (et du coup, récupérer l’argent) qu’il avait eu un éclair de génie. Il était arrivé en fanfarre dans la chambre d’hôtel de Caleb, dégageant la nana qui s’y trouvait d’un coup de fesses pour pouvoir s’expliquer. Si l’un deux pouvait se faire engager dans une compagnie d’assurance, ils seraient en mesure de récupérer les informations des gens qui décédaient pour les revendres à qui en avait besoin. S’ils faisaient ça correctement, ça pouvait leur rapporter une fortune. Flynn n’avait pas eu besoin de beaucoup d’arguments pour convaincre l’autre et le temps de trouver une troisième tête assez doué pour faire de faux papier de qualité dans des temps acceptable ( Parce que Flynn prends encore et toujours trois plombes pour créer un passeport) le business était en branle avant même de pouvoir s’emballer sur le projet.

L’ironie dans tout ça, c’était qu’il avait dû se coller au boulot d’assurance puisque Caleb était trop jeune pour se faire embaucher. Adrénaline much? Don’t think so.

[…]

Lui qui n’avait jamais cru à l’amour. Quelle perte de temps. C’est alors que sa vie roulait comme sur des roulettes et qu’il n’avait besoin de personne d’autre qu’il l’avait rencontré. Et c’est le plus petit euphémisme possible de dire qu’elle avait fait complètement dérailler sa vie. Il l’avait aperçu au travers du bar, ses yeux avaient plongés dans le bleu des siens et il s’était sû perdu d’avance. Il avait ignoré pendant longtemps les signaux pourtant clairs qu’elle n’avait pas l’âge qu’elle disait avoir, mais si ça voulait dire avoir sa peau contre la sienne une nouvelle fois, il s’en moquait. Elle était, et sera toujours, sa plus grande addiction Elle avait sans le savoir, ou bien elle le savait trop bien, le pouvoir de le détruire en quelques mots. Puis, elle était tombé enceinte et même si Flynn ne s’était jamais imaginé papa, avec elle dans le décor ça ne semblait plus si bizarre que ça.

Les jumeaux lui ressemblaient tellement. Ça lui avait mit un peu de baume au cœur lorsqu’il était arrivé à l’hôpital pour découvrir son départ. Ce n’est pas que l’envie de couler ne l’avait pas prit aux tripes, mais il avait maintenant deux minuscules bouées duquelles il fallait s’occuper. Il en avait pleurer d’ironie.

[…]

Les années avaient passé à une vitesse folle. Il avait prit presque un an avant de se remettre en partie de son départ. Puis les accusations étaient tombés, il s’était fait arrêter à la sortie du supermarché. Il ne s’était même pas obstiné et avait plaidé coupable à tout ce qu’on lui présentait.. ou presque, il n’avait tué personne hein. C’était l’entente qu’il avait avec ses partenaires, si quelqu’un devait tomber pour l’organisation ce serait lui. Au final, il avait écopé de presque cinq ans, devenu une fois là un peu plus de six.. Pas de question, d’accord?

[…]

S’il pensait que la vie avait été rapide jusque là, il s’était mit le doigt dans l’œil jusqu’au poumon. La succession de son retour à elle, de son overdose à lui, de son engueulade avec Caleb et du départ de ce dernier, de son essai de faire maison avec la mère de ses enfants et de son retour derrière les barreaux pas nécessairement dans cette ordre là l’avait fait vieillir prématurément.


Il lui avait foncé dedans au détour du Starbucks du coin. Son air surprise lui avait confirmé qu’elle n’avait pas activement cherché à le retrouver. Ils avaient essayé de rester loin l’un de l’autre. Chose qu’ils savaient déjà perdu d’avance, ils s’étaient retombés dans les bras à grand coup de cris et de crises moins d’une semaine plus tard. Caleb avait vu rouge, il savait à quel point elle était mauvaise pour son frère de cœur et il se refusait de recoller les morceaux une nouvelle fois. Ce n’était toutefois que lorsque Flynn lui avait annoncé qu’il aménageait avec elle que le plus jeune avait abandonné la partie. Après quelque insultes bien choisis, il était partit. C’est surtout là que la spirale qu’était sa vie avait échappé à l’homme. Elle était repartit presque aussitôt, après que ses parents aient appris qu’ils étaient grands-parents, laissant Flynn se débrouiller avec les explications. La surdose, accidentelle ou en tout cas c’est ce qu’il dit si on lui demande, avait été le dernier clou sur son cercueil. : Il avait perdu la garde de ses enfants et il était retourné derrière les barreaux. Son absence à elle avait retiré du poids aux accusations, mais son c.v déjà bien remplis avait fait le reste. Il avait signé à contre cœur les papiers donnant la garde complète des garçons aux grands-parents. Ils n’étaient pas de mauvaises personnes loin de là, mais ça voudrait dire qu’il ne pourrait plus les voir. Le baume sur son cœur, c’était qu’ils les aimeraient autant que lui.

Comme un ordinateur, il avait crashé. Entre son entrée et sa sortie de prison, il ne se souvient d’absolument rien si ce n’est que des flashbacks flous.

Et il se retrouve là, en plein San Francisco sans même savoir comme il y est retourné



BANQUE D’ANECDOTES

- Possède un amour indescriptible pour Britney Spears et un talent discutable pour la danse.
- Est le papa de jumeaux d’environ 10 ans.
- A peur des aiguilles et c’est toujours chiant à expliquer au tatoueur
- N’a jamais avoué à personne (à part Caleb, mais ca ne compte pas) qu’il avait vendu son corps en échange de passe-droit à plus d’une reprise alors qu’il était en prison la première fois.
- Aime Caleb plus que ses propres parents alors qu’ils étaient encore en vie. Ils ont le même anniversaire. C’était écris dans les étoiles.
- Ceux qui le connaissent vraiment savent qu’il ferait à peu près tout pour une bonne dose d’adrénaline et un petit paquet d’argent.
- A un penchant pour les jeunettes et les jeunots vu l’âge auquel il a recontré l’un et imprégné l’autre. ( à vous de savoir qui est qui là-dedans)
- Doit sa liberté actuelle au fait qu’il a accepté de laisser la garde de ses enfants à leurs grands-parents maternel… et la signature d’un interdit de contact. Il a déjà payé pour la minorité de leur mère à l’époque par quelques mois derrière les barreaux.
- A un faible, qui frôle l’obsession, pour les yeux clairs
- A déjà participé à un film porno qu’il montre à qui le lui demande .. et même ceux qui ne le demande pas.

Pseudo/Prénom : Praimfaya Age : Trop Pays : L’hiver mon pays ce n’est pas un pays, c’est l’hiver Avatar : Jared Leto Rang : baby blue eyes Comment as-tu connu le forum ? PRD ? J’ai oublié pour tout avouer Qu'en penses-tu jusqu'ici ? Je le déteste visiblement, c’est pour ca que je restge Un dernier mot ? Pouet

Il n’y avait pas une nuit qui ressemblait à une autre dans la magnifique ville de San Francisco. La plupart du temps, on parlait de nuits trop lumineuses qui empêchaient d’admirer les étoiles et de nuits qui cultivaient les cuites et les excès, mais parfois, entre deux buildings et un peu de brouillard, on réussissait à oublier que la bétise humaine faisait tourner cette même ville. Natif de New York,, Flynn avait rouler sa bosse au gré des chemins et avait terminé plus souvent qu’autrement dans des minuscule bourgade, reste que la ville s’était dans ses veines et rien ne lui plaisait plus que de parcourir les rues jusqu’au petit matin et observer la dépravation humaine dans toute sa splendeur.

Ca.. et parce qu’il avait besoin d’argent mine de rien.

Il remerciait à chaque chèque de paie le bon samaritain qui lui avait appris l’existence d’Uber. Être payé à se promener en voiture et en bonus pouvoir se foutre de la gueule, plus ou moins ouvertement, des gens qui réchauffaient le siège arrière ce n’était peut-être pas le boulot le plus intéressant qu’il avait eu, mais il avait aussi connu bien pire. Biaisé un peu comme avis? Beaucoup même, mais faut s’y faire. Cette soirée là était plutôt emmerdante si on lui avait demandé son avis, mais Flynn allait d’un endroit à l’autre sans rouspèter. Il avait eu droit à quelques escortes (elles semblaient s’être passé un message ou un truc du genre), quelques businessmen en complet veston sous le coup du jetlag et quelques gosses de riches sortis après leurs couvres-feu. Rien de bien intéressant. Une offre de trajet était apparue sur son téléphone vers les deux heures du matin et il l’avait accepté en se disant que ce serait la dernière pour la soirée.

Il aurait probablement dû aller se coucher en fait.

Il avait arrêté la voiture devant un bar qui lui était inconnu et avant même qu’il ai pu sortir de la voiture pour trouver son client, celui-ci ouvrait la portière arrière pour permettre à une demoiselle de s’y asseoir ou d’essayer de l’empêcher de se vautrer..ce n’était pas vraiment clair pour ce qu’il en voyait dans son miroir. Elle s’était au final retrouvé à moitié couché sur la banquette, la tête bien placé dans la poubelle de plastique installé là pour exactement cette raison. Il n’avait pas pu s’empêcher de ricaner et avait descendu la fenêtre du côté passager pour s’adresser à l’homme qui venait de déposer sa conquête dans son véhicule.

« Eh mec! J’la dépose à quelle endro…Cal ?!? » Il avait relevé les yeux de son téléphone à la moitié de sa phrase et avait reconnu l’autre homme en moins d’une seconde. Il avait physiquement sursauté. Il avait ouvert puis fermé la bouche, à la recherche de quoi dire. C’est que ca ne s’était pas vraiment bien terminé entre eux. à qui la faute

… « Hey!...? » Il lui avait offert un sourire sincère.. mais pas très sûr.